Je ne sais pas si c'est tout le monde : Critique presse
Je ne sais pas si c'est tout le monde
Note moyenne
3,8
5 titres de presse
Télérama
L'Obs
Ouest France
L'Express
Les Inrockuptibles
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
5 critiques presse
Télérama
par Valérie Lehoux
Album audacieux, Panorama, et premier film poignant, Je ne sais pas si c’est tout le monde… Une plongée douce dans les souvenirs dont l’artiste a le secret.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Obs
par Grégoire Leménager
Le principe : des gens célèbres (Alain Souchon, Vincent Dedienne, Emmanuel Noblet…) et anonymes (un petit garçon, une jeune femme, un ouvrier proche de la retraite…) confient tour à tour un souvenir, un rêve ou une émotion très personnelle. Avec, en point d’orgue, dans une rue sombre de Saint-Ouen, l’ultime et bouleversant dernier tournage de l’irremplaçable Jean Rochefort.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Ouest France
par Thierry Chèze
Vincent Delerm prolonge son travail sur l'intime et la mémoire qui traverse son parcours de chanteur. Avec cet art de magnifier par sa poésie facétieuse ces apparents petits riens qui constituent l'essence de nos vies.
L'Express
par Antoine Le Fur
Étrange et assez décousu, le bien nommé "Je ne sais pas si c'est tout le monde" peut lasser le spectateur à force de chercher à tout prix l'expérimentation et l'abstraction du propos. Reste une certaine émotion qui se dégage de ce film délicat et résolument inclassable.
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
[Le film] rév[èle], à la manière d'Agnès Varda, ce que la banalité du quotidien a de beau, ce que l’apparente simplicité renferme comme poésie. A cet égard, bien plus qu’une remarquable sortie de route, [il] peut être considéré comme l’accomplissement théorique et sensible de l’œuvre de Delerm.
Télérama
Album audacieux, Panorama, et premier film poignant, Je ne sais pas si c’est tout le monde… Une plongée douce dans les souvenirs dont l’artiste a le secret.
L'Obs
Le principe : des gens célèbres (Alain Souchon, Vincent Dedienne, Emmanuel Noblet…) et anonymes (un petit garçon, une jeune femme, un ouvrier proche de la retraite…) confient tour à tour un souvenir, un rêve ou une émotion très personnelle. Avec, en point d’orgue, dans une rue sombre de Saint-Ouen, l’ultime et bouleversant dernier tournage de l’irremplaçable Jean Rochefort.
Ouest France
Vincent Delerm prolonge son travail sur l'intime et la mémoire qui traverse son parcours de chanteur. Avec cet art de magnifier par sa poésie facétieuse ces apparents petits riens qui constituent l'essence de nos vies.
L'Express
Étrange et assez décousu, le bien nommé "Je ne sais pas si c'est tout le monde" peut lasser le spectateur à force de chercher à tout prix l'expérimentation et l'abstraction du propos. Reste une certaine émotion qui se dégage de ce film délicat et résolument inclassable.
Les Inrockuptibles
[Le film] rév[èle], à la manière d'Agnès Varda, ce que la banalité du quotidien a de beau, ce que l’apparente simplicité renferme comme poésie. A cet égard, bien plus qu’une remarquable sortie de route, [il] peut être considéré comme l’accomplissement théorique et sensible de l’œuvre de Delerm.