Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
L'Humanité
par Vincent Ostria
Outre une satire des dérives du new age, le film de Petar Valchanov et Kristina Grozeva se distingue par son burlesque froid et son sens de la fuite en avant.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Entre tragédie et comédie, un film juste et touchant sur la culpabilité.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Télérama
par Hélène Marzolf
Une échappée acide et tendre, qui questionne la transmission et les liens entre les vivants et les morts.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Obs
par Xavier Leherpeur
L’émotion surgit grâce à un scénario qui suggère avec finesse les rivalités enfouies entre un père et son fils.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Une tragicomédie burlesque et émouvante où se débattent des personnages pathétiques mais touchants.
Cahiers du Cinéma
par Romain Lefebvre
Un alliage subtil d’écriture et de mise en scène permet à l’émotion d’advenir sans lourdeur lorsque, après les esquives, père et fils finissent par se retrouver vraiment côte à côte.
Le Figaro
par La Rédaction
Rien de novateur dans ce requiem doux-amer sur la perte d'un être cher qui révèle les traumas entre un père et son fils. En vérité, pas de quoi nous en boucher un coing...
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Marchant sur les brisées cruelles et absurdes qu'on leur connaît, les deux auteurs manipulent ici un unique ressort qui finit par se gripper quelque peu.
Positif
par Eithne O’Neill
Voici un film plombé de pistes qui hésite sur son centre de gravité : conflit entre père et fils, deuil incomplet, dialectique entre raison et sentiment, le réel et l’imaginaire, le passé et le présent.
Première
par Thomas Baurez
Si l’ouverture laisse supposer une farce slave avec des envolées baroques, les cinéastes préfèrent opter pour le road-movie doux-amer au risque de dévitaliser complétement l’ensemble. Ils ne parviennent jamais vraiment à retrouver le charme débraillé de leur premier opus. Dommage.
La critique complète est disponible sur le site Première
L'Humanité
Outre une satire des dérives du new age, le film de Petar Valchanov et Kristina Grozeva se distingue par son burlesque froid et son sens de la fuite en avant.
Les Fiches du Cinéma
Entre tragédie et comédie, un film juste et touchant sur la culpabilité.
Télérama
Une échappée acide et tendre, qui questionne la transmission et les liens entre les vivants et les morts.
L'Obs
L’émotion surgit grâce à un scénario qui suggère avec finesse les rivalités enfouies entre un père et son fils.
Le Journal du Dimanche
Une tragicomédie burlesque et émouvante où se débattent des personnages pathétiques mais touchants.
Cahiers du Cinéma
Un alliage subtil d’écriture et de mise en scène permet à l’émotion d’advenir sans lourdeur lorsque, après les esquives, père et fils finissent par se retrouver vraiment côte à côte.
Le Figaro
Rien de novateur dans ce requiem doux-amer sur la perte d'un être cher qui révèle les traumas entre un père et son fils. En vérité, pas de quoi nous en boucher un coing...
Le Monde
Marchant sur les brisées cruelles et absurdes qu'on leur connaît, les deux auteurs manipulent ici un unique ressort qui finit par se gripper quelque peu.
Positif
Voici un film plombé de pistes qui hésite sur son centre de gravité : conflit entre père et fils, deuil incomplet, dialectique entre raison et sentiment, le réel et l’imaginaire, le passé et le présent.
Première
Si l’ouverture laisse supposer une farce slave avec des envolées baroques, les cinéastes préfèrent opter pour le road-movie doux-amer au risque de dévitaliser complétement l’ensemble. Ils ne parviennent jamais vraiment à retrouver le charme débraillé de leur premier opus. Dommage.