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    5ème Set
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    173 critiques spectateurs

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    mcdeux
    mcdeux

    24 abonnés 50 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 juin 2021
    ... Encore une superbe prestation d'Alex Lutz, toujours aussi juste ! Et, en dépit du sujet "spécial", on se retrouve "happé" par le suspens ...
    Les choix de pauline
    Les choix de pauline

    138 abonnés 251 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 juin 2021
    Encore une interprétation formidable d'Alex lutz, qui est confondant de réalisme dans ces rôles au plus près d'une réalité triviale! Il est extraordinaire dans la peau de cette ex espoir du tennis. Un film minutieux et révélateur de la vie en demi teinte des sportifs professionnels de seconde zone. Un film très bien réalisé, original et maîtrisé. Tout le casting est parfait. Dommage que le film ne soit pas mieux diffusé ! Il le mériterait!!
    Zewil Avis Cine Express
    Zewil Avis Cine Express

    12 abonnés 72 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 juin 2021
    5ème set, et 3ème mi-temps réussie ?
    Drame sportif et humain avant d'être un film sur le sport, 5ème set smashera à coup sûr les amateurs de la petite balle jaune. Porté par un Alex Lutz transfiguré, en tennisman de 37 ans sur le retour, après une carrière ratée, alors qu'il était promis à un bel avenir, ce 5ème set se focalise sur l'obsession d'un homme qui ne veut pas lâcher, ni rendre les armes. Alors que son entourage est plutôt circonspect quant à ses velléités sportives, l'homme, dont le corps est défaillant et déclinant poursuit un rêve peut-être hors de sa portée et cultive un hybris dangereux.

    La souffrance est palpable tout au long des énormes et suffocantes séquences de matches de Roland Garros, les acteurs sont très bons, les musiques graves soutiennent parfaitement l'action et les moments de tension, et pour finir, la photo est réussie, bien qu'un peu limitée en dehors du cadre magnifique des courts de Roland.

    On pourra reprocher un côté anecdotique sans doute, une fin un peu facile et frustrante, et un manque d'explication de la vie du protagoniste avant son come-back formidable, mais le long-métrage reste une bien belle expérience de cinéma sportif et social et tient suffisamment en haleine pour qu'on y passe un vrai bon moment haletant plein de tensions et de sensations fortes. Alors oui j'y vais.
    Dois-Je Le voir ?
    Dois-Je Le voir ?

    365 abonnés 1 814 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 juin 2021
    À presque 38 ans, Thomas était l’un des plus grands espoirs du tennis mais il n'a jamais brillé depuis sa dernière demi-finale. Il rêve de relancer sa carrière grâce à Roland-Garros.

    C'est une réalisation de Quentin Reynaud qui en a aussi écrit le scénario. Le film a fait partie du Festival du Film Francophone d'Angoulême 2020.

    Le Tournoi de Roland-Garros s'est terminé il y a une semaine par la victoire de Novak Djokovic. C'était donc le bon moment pour enchainer sur un drame où le tennis en est le cœur. Même s'il ne l'emporte pas 3 sets à 0, c'est tout de même une belle victoire pour ce film.

    J'ai beaucoup apprécié la thématique de ce sport sur la fin, ne voulant pas pour autant renoncer à sa carrière. Dans chaque sport, et à chaque génération, il y a des grands espoirs qui n'atteigne jamais l'avenir doré qui leur était promis. C'est très intéressant de justement zoomer sur l'un d'eux. Alors certes, on ne sait pas trop ce qui s'est passé entre son échec en demi-finale, et 20 ans plus tard sa tentative de retour à Roland-Garros, mais peu importe. On va entièrement se concentrer sur son comportement actuel.

    On voit comment il va trimer pour essayer de toucher enfin ses rêves. Sa frustration se ressent à chaque instant. Le récit, entre son tennis et sa famille, est très prenant.

    La psychologie du personnage m'a donc passionné. Il ressasse ses échecs, et au fond, on veut le voir gagner pour qu'il puisse tourner enfin la page d'une vie fantasmée. C'est aussi le reflet de l'exigence du sport professionnel qui en laisse de nombreux sur le bord de la route.

    Sans grande surprise, Alex Lutz est époustouflant dans ce rôle. Il est à la fois touchant, mais possède aussi cette touche d'égoïsme en faisant passer sa passion avant ses proches. La vision qu'on a de lui évolue au fil du tournoi. J'ai aussi beaucoup apprécié la prestation rendue par Ana Girardot.

    Par contre, les scènes de tennis ne sont pas top du tout. Les premiers matchs seront filmés par des plans serrer ne délivrant pas toute la sensation du jeu. Dommage car cela empêche de rentrer réellement à 100% dedans. Heureusement, la partie la plus importante sera filmée de manière très classique mais finalement, c'est surement ce qu'il y a de plus efficace. Le fait d'avoir tourné réellement à Roland-Garros est un plus indéniable pour l'immersion.

    Je ne pense pas qu'aimer le tennis soit indispensable pour voir ce drame, car le message est quand même général. Cependant, il est plaisant de voir les beaux échanges sur terre battue.
    circusstar
    circusstar

    141 abonnés 719 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 juin 2021
    Énorme performance d'Alex Lutz. Un match de fin des plus intenses. Cependant la douleur, la souffrance, le sacrifice : le sport n'est pas que cela.
    Ginere
    Ginere

    2 abonnés 32 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 juin 2021
    J'aurais aimé aimer ce film et je n'y suis pas entièrement arrivée. Le sujet, l'avenir des sportifs trop tôt découverts, est intéressant. L'interprétation est plutôt réussie, que ce soit Alex Lutz, Ana Girardot ou Kristin Scott Thomas, qui campe une mère toute en ambiguïtés.
    Mais quel dommage que les matchs soient interminables ! Et que dire des clichés un peu trop appuyés et répétitifs : il perd parce que sa femme n'est pas là, il commence à gagner à son arrivée, idem avec sa mère lors du dernier match.
    Dommage !
    gonin.robert
    gonin.robert

    5 abonnés 71 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 21 juin 2021
    Décidément Alex Lutz est un très bon acteur.
    Belle étude du monde du tennis.
    Pas trop de tennis et la fin est bien trouvée.
    Claude WOLFS
    Claude WOLFS

    48 abonnés 129 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 juin 2021
    Un trio d'acteur (Girardot, Scott Thomas et Lutz (Epatant)) au top de leur forme et de leur interprétation mais tout l'intérêt du film repose principalement sur les relation mère-fils & mari-femme que sur le suspens (Gagnera/Perdra ?) Les relations a l'argent, a l'abnégation de son épouse, au je t'aime moi non plus sont sincères et finement travaillées . Jeu set et match pour ce film qui vous fera passer 2 heures ont ne plus agréable.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 21 juin 2021
    Très bon film
    Une performance d'Alex Lutz , encore, bravo .
    Ce film se vit comme un thriller
    Et le tennis comme on aime
    Solenn Passiion
    Solenn Passiion

    1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 21 juin 2021
    Très bons acteurs, la performance de ces derniers est remarquable. Thématique habituellement peu abordée et pourtant très intéressante.
    Damien Vabre
    Damien Vabre

    165 abonnés 454 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 21 juin 2021
    Sur les espoirs déçus et la pression dans le sport de haut niveau, 5ème Set est assez touchant mais pourquoi cette ambiance sinistre et cette tête de chien battu tout le film? Cet homme vit de sa passion, sa femme est belle et son enfant adorable, tout n'est pas noir dans sa vie, j'ai été agacé par un excès de pathos.
    Yann LM
    Yann LM

    2 abonnés 95 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 juin 2021
    Un film sans artifices qui traite avec une belle sobriété et un réalisme époustouflant de la face cachée du tennis de haut de niveau. Il intéressera particulièrement les passionnés de tennis et joueurs réguliers dont je fais partie mais pas uniquement car il offre une belle parabole sur ce sport, sur le sport de haut niveau et sur la vie en général.

    Un film bluffant de réalisme dans lequel le réalisateur n'abuse pas des effets spéciaux. Le tennis professionnel est comparable à un iceberg : le public ne connaît qu'une infime partie des joueurs, ceux qui sont dans le top 100, que l'on retrouve régulièrement dans les tableaux principaux. Car le tennis professionnel est impitoyable et laisse dans l'ombre médiatique l'écrasante majorité des joueurs qui survivent plus qu'ils ne vivent de leur sport et doivent composer en permanence avec les blessures. Il est d'autant plus impitoyable que beaucoup de ces joueurs sont aussi bons techniquement que bien des joueurs du top 100 mais la différence est tellement infime et la part du mental tellement importante que cette petite ligne de séparation peut aisément se transformer en un gouffre souvent insurmontable.

    Ce film est pour moi une belle parabole sur le tennis professionnel mais également sur les maux du tennis français, qui privilégie à tort la technique sur le mental : dans ce pays où l'académisme a toujours pris le pas, on préfèrera toujours un joueur plus doué techniquement mais qui perd que celui qui dispose d'un vrai mental et a le potentiel de gagner. Erreur fondamentale car la technique peut toujours être améliorée tandis que le mental touche aux recoins les plus profonds de la personnalité et ne se décrète pas même s'il peut se travailler. Quand je parle de mental, je parle d'une sphère qui ne laisse pas de place aux sentiments et à l'affectif mais fait de vous sur le terrain un tueur à la peau épaisse et à la volonté inébranblable, capable de résister à toute forme de pression, qu'il s'agisse de celle des médias, des parents, du public, etc....

    C'est sans doute ce qui a fait défaut à Thomas Edison, personnage principal du film, qui se révéla au grand public dans sa fraîcheur d'adolescent en atteignant les demi-finales à l'âge de 17 ans dans un match qu'il faillit gagner avec plusieurs balles de match à la clé. Un exploit feu follet sans lendemain sur fond de traumatisme (celui de la défaite) et d'incapacité à supporter la pression qui s'ensuivit. Une fiction qui rejoint la réalité tant les exemples français ne manquent pas. 20 ans plus tard, après une carrière passée dans l'anonymat au-delà de la 100ème place mondiale, Thomas veut continuer à y croire et rattraper le temps perdu. Il est plus âgé, affaibli physiquement mais la pression a disparu et paradoxalement, c'est maintenant qu'il peut prendre du plaisir et se donner encore l'illusion de pouvoir accomplir ses rêves. Ce paradoxe est très intéressant car il n'en démord pas et rien ni personne autour de lui ne le détournera de son objectif : franchir les qualifications de Roland Garros. Une motivation comme au premier jour sans la fraîcheur de l'adolescence mais avec la force de la maturité en plus et ce besoin irrépressible d'y croire encore.

    L'importance de l'entourage est assez bien analysé. Une mère omniprésente depuis son plus jeune âge, dure et impitoyable, qui a transposé ses rêves dans son fils, l'a maintenu dans un état de pression permanente, de dépendance mentale et affective et ne lui a jamais pardonné de n'avoir pas confirmé les espoirs placés en lui. L'enfant se rebelle à 37 ans, revendique son droit à poursuivre son rêve mais ne s'est jamais totalement affranchi de celle qui l'a façonné dès son plus jeune âge. Le film insiste bien sur les frustrations de l'entourage, plus grandes que celles du joueur au final, ce qui est intéressant. Une mère qui se culpabilise, une épouse ancienne joueuse de haut niveau qui a toujours vécu dans l'ombre tennistique de son mari et veut entreprendre/réussir quelque chose. L'abîme de la reconversion du joueur plane en permanence, que ce soit à travers Thomas ou son épouse : quand tout ce que l'on sait faire est de jouer au tennis, l'après fait peur et la tentation est grande de se dévaloriser et/ou de retarder l'échéance en se voilant la face. Au-delà des rêves derrière lesquels il se retranche, le vrai dilemme de Thomas n'est-il pas là ?

    Et c'est ce cinquième set, véritable chant du cygne dans lequel l'improbable devient soudainement possible, qui va ramener Thomas du rêve à la réalité et précipiter l'inéluctable : l'entrée de Thomas dans l'inconnu et dans sa nouvelle vie.
    Le D.
    Le D.

    209 abonnés 947 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 juin 2021
    "5ème Set" est un très bon film avec une histoire intéressante. Un bon divertissant avec des acteurs qui jouent très bien et les moments de match de tennis sont convainquant. On s'attache aux personnes et j'apprécie le dernier plan du film.
    Chris58640
    Chris58640

    217 abonnés 761 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 juin 2021
    Les conditions sanitaires ont contrarié la sortie initiale de « 5ème Set » et elles ont peut-être, paradoxalement rendu service au premier film de Quentin Reynaud qui, du coup, sort sur les écrans après un chouette tournois de Roland Garros, ce qui peut lui attirer des spectateurs. Franchement, il faut savoir que « 5ème Set » est un premier film car la première chose qui saute aux yeux, c’est la qualité de la réalisation. Je l’ai déjà dit plein de fois, filmer le sport au cinéma est terriblement difficile. Cela peut paraitre paradoxal vu que la télévision sait très bien le faire, mais souvent le cinéma a bafouillé devant le sport. Dans le cas présent, il s’agissait pour Quentin Reynaud de filmer un sport hyper maitrisé par la télévision : le tennis. Reynaud a choisi de varier son approche : il filme les points en caméra rapprochée, nous fait vivre les échanges comme si nous étions Thomas Edison, ou comme si nous étions son adversaire. Il arrive par ce biais à rendre compte de la vitesse de la balle, de la longueur du court, chose peu évidente à évaluer devant sa TV. Le score apparait sur fond noir, sans fioriture, il n’en faut pas davantage pour marquer le suspens. Le match final, qui prend à lui seul pas loin des 20 dernières minutes du film, est censé être télévisé. Alors Quentin Reynaud en profite : il continue de filmer les points à hauteur de joueur mais aussi parfois hors champs au travers des yeux et des réactions des spectateurs, voire des téléspectateurs. Et puis, le dernier jeu est filmé intégralement « à la France Télévision », avec les commentaires et les ralentis. Les trois méthodes combinées rendent les matchs, et notamment le dernier, aussi palpitant qu’une demi-finale Nadal/Djokovitch : on est cloué sur son fauteuil et on souffre avec les joueurs comme si on était sur le court. C’est du très beau boulot de réalisateur, pour un premier film c’est assez remarquable. Surtout que le film ne manque pas d’autres qualités hors les scènes de matchs, la photographie est soignée, les plans sont bien réfléchis et je souligne l’importance que Quentin Reynaud a accordée au son. Déjà sa bande originale est parfaitement intégrée aux images mais surtout, il accorde un soin tout particulier à ce qu’on pourrait appeler les « son parasites » : les réminiscences d’un souvenir sonore, les clameurs du court mitoyen qui déconcentrent, le bruit sec de la balle. « 5ème Set » est un film dans lequel le son prend une vraie place et ce n’est pas si souvent. Même si les seconds rôles sont parfaits, celui de Kristin Scott Thomas et d’Ana Girardot étant si bien écrits qu’on pourrait presque développer un film sur leur personnage (notamment Eve, l’épouse qui a arrêté sa carrière et dont on sent qu’elle s’est sacrifiée pour Thomas, et pas toujours pour le meilleur), c’est la performance d’Axel Lutz qui va mette tout le monde d’accord. J’imagine qu’il est doublé sur le court, mais c’est tellement bien fait qu’on oublie complètement ce paramètre au bout de deux minutes. Il est formidable, faisant passer par le regard toutes les émotions possibles, la rage de vaincre, la souffrance physique, le désarroi du sportif en fin de carrière, la peur du vide, tout simplement. Affuté, hyper impliqué dans son rôle, faisant passer toutes les émotions sans jamais en faire un once de trop, il est parfait et parfaitement juste et il signe une performance de haute volée. Lutz est un acteur qu’on aurait bien tort de cantonner à un style ou un autre, il est capable de tout jouer et il le prouvera encore. Le scénario de « 5ème Set » a plein de qualité mais la première, c’est d’évoquer un sujet bien peu traité par le cinéma : le sport de haut niveau, son ingratitude, et la souffrance physique et psychique qui l’accompagne. Je me souviens avoir évoqué cela au travers d’un des personnages des « Crevettes Pailletées » qui avait des soucis avec la presse, et avec sa fédération et m’être dit que cela aurait pu faire l’objet d’un film entier. Et bien le voilà, ce film que j’espérais sur ce sujet, et le scénario ratisse large : souffrance physique, souffrance psychologique, parents sur impliqués à la limite du toxique, dureté incroyable des médias sportifs, relations complexes avec l’argent et les sponsors, rivalités plus ou moins saines avec les adversaires, difficulté à envisager la reconversion quand on a tout sacrifié, sacrifice professionnel et personnel du conjoint, etc… On sent que Quentin Reynaud (car en plus de réaliser et d’incarner l’entraineur de Thomas, je crois bien qu’il est à l’écriture du film) veut traiter son sujet de manière large et ne pas se contenter du drame d’un homme face à sa raquette. Il n’y a qu’un seul absent au tableau, la fédération française de tennis dont on se demande, quand on voit « 5ème Set », à quoi elle peut bien servir à part encaisser les licences ! spoiler: Si on excepte une scène finale terriblement frustrante et une fin qui n’en n’est pas une tout en en étant une (il faut voir le film pour comprendre cette phrase !)
    , je ne vois pas grand-chose à redire sur « 5ème Set » dans son ensemble. Sans être un chef d’œuvre, « 5ème Set » est malgré tout un film de grande, de très grande qualité. Il marquera peut-être, l’avenir le dira, un tournant dans la carrière d’Axel Lutz.
    Chris Marou
    Chris Marou

    6 abonnés 117 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 juin 2021
    Alex Lutz vraiment excellent dans ce rôle , Ana Girardot, Kristin Scott Thomas très juste aussi.
    En sortant , je me suis dis qu uniquement des joueurs ou fan de tennis pouvaient apprécier ce film.
    Parfois je ne regardais plus un film mais je me revoyais à Roland garros commentant le jeu avec des petits cris "joli " vas y
    ou oh non .
    ce film nous fait rentré dans ce monde des professionnels , l entrainement , la souffrance, la famille ,
    A conseiller à tous même a ceux qui ne connaissent rien au tennis.
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