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(...) la richesse de Nuages de mai ne tient pas seulement au fait que son auteur sait se tenir à la juste distance de ce et de ceux qu'il filme. Il parle aussi d'un monde paysan qui s'éloigne, de l'attrait pour la grande ville (...)
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Nuages de mai, c'est le sacre du printemps arraché au spleen du temps qui passe, la sainteté des pères incarnée dans l'œuvre des fils : cela s'appelle la grâce.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Ceylan conforte notre plaisir de spectateurs assoiffés de réel, mais également de jeu avec ce réel. Encore une fois, le salut du cinéma vient de l'Orient.
Loin de faire l'éloge de la contemplation, Nuri Bilge Ceylan signe là un hymne à la simplicité et à la modestie. Un hymne singulier et d'une extrême beauté.
Influencé par Ozu et Tarkovski, Nuri Bilge Ceylan s'impose, avec ce deuxième film (le premier Kasaba est inédit), comme un des nouveaux espoirs du cinéma au Moyen-Orient.
Il manque (...) au cinéaste (...) une véritable ambition plastique pour parvenir à l'égal des meilleurs conteurs iraniens. Mais parions que cela ne saurait tarder au vu de ces sublimes prémices naturalistes (...)
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Rien de compliqué dans tout cela, au-delà des apparences, mais à l'arrivée toute la complexité des êtres et du monde est bien là. Lumineuse et sombre. Vivante.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
On ne saurait que trop inciter le public stressé à découvrir Nuages de mai, que son auteur dit avoir conçu comme un «appel au calme» dans une société artificiellement speed:
La critique complète est disponible sur le site Libération
Les amateurs d'Abbas Kiarostami ne seront pas déçus (...). Pour peu que l'on accepte la lenteur du récit et que l'on préfère la contemplation au suspense, on peut admirer ces beaux nuages las.
La critique complète est disponible sur le site Première
"Nuages de mai" instaure cette atmosphère toute en Sensation rimbaldienne. L'intrigue (...) importe moins que ces touches impressionnistes qui disent la difficulté, parfois, de communiquer avec les êtres aimés et la beauté des retrouvailles.
La critique complète est disponible sur le site Repérages
L'Humanité
(...) la richesse de Nuages de mai ne tient pas seulement au fait que son auteur sait se tenir à la juste distance de ce et de ceux qu'il filme. Il parle aussi d'un monde paysan qui s'éloigne, de l'attrait pour la grande ville (...)
Le Monde
Nuages de mai, c'est le sacre du printemps arraché au spleen du temps qui passe, la sainteté des pères incarnée dans l'œuvre des fils : cela s'appelle la grâce.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Inrockuptibles
Ceylan conforte notre plaisir de spectateurs assoiffés de réel, mais également de jeu avec ce réel. Encore une fois, le salut du cinéma vient de l'Orient.
MCinéma.com
Loin de faire l'éloge de la contemplation, Nuri Bilge Ceylan signe là un hymne à la simplicité et à la modestie. Un hymne singulier et d'une extrême beauté.
Télérama
(...) un beau film songeur et contemplatif.
Aden
Influencé par Ozu et Tarkovski, Nuri Bilge Ceylan s'impose, avec ce deuxième film (le premier Kasaba est inédit), comme un des nouveaux espoirs du cinéma au Moyen-Orient.
Chronic'art.com
Il manque (...) au cinéaste (...) une véritable ambition plastique pour parvenir à l'égal des meilleurs conteurs iraniens. Mais parions que cela ne saurait tarder au vu de ces sublimes prémices naturalistes (...)
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Obs
Rien de compliqué dans tout cela, au-delà des apparences, mais à l'arrivée toute la complexité des êtres et du monde est bien là. Lumineuse et sombre. Vivante.
Les Echos
(...) cette chronique intimiste est un magnifique hommage à la vieillesse, à la nature, au temps qui passe. Bouleversant.
Libération
On ne saurait que trop inciter le public stressé à découvrir Nuages de mai, que son auteur dit avoir conçu comme un «appel au calme» dans une société artificiellement speed:
Première
Les amateurs d'Abbas Kiarostami ne seront pas déçus (...). Pour peu que l'on accepte la lenteur du récit et que l'on préfère la contemplation au suspense, on peut admirer ces beaux nuages las.
Repérages
"Nuages de mai" instaure cette atmosphère toute en Sensation rimbaldienne. L'intrigue (...) importe moins que ces touches impressionnistes qui disent la difficulté, parfois, de communiquer avec les êtres aimés et la beauté des retrouvailles.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr