Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
L'Obs
par Pascal Mérigeau
On dira peut-être que ce cinéma-là, cette attention aux êtres, aux choses et au temps (...) ne sont plus de mise aujourd'hui. Peut-être. Mais si c'est le cas, l'époque a tort. Et elle ne sait pas ce qu'elle perd.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Télérama
par Pierre Murat
(...) lorsque Terence Davies filme le dénouement, c'est un mélo de Douglas Sirk que l'on évoque, où la vérité naît de l'artifice.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Aden
par Philippe Piazzo
Davies filme l'éclat pour mieux percer les contradictions d'un monde choyé et bercé de beauté. On part en croisière sur la Riviera, on lit des poèmes en français (...)... rien d'autre n'existe que le luxe. Mais, définitivement, sans le calme ni la volupté.
Le Figaro
par Claude Baignères
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Figaro Magazine
par V.L.
Ce qui fascine (...) et justifie les cent quarante minutes que dure la séance, ce sont les décors et les costumes que l'on croirait tirés de l'atelier de Jacques-Emile Blanche. Beau.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro Magazine
Le Figaroscope
par Marie-Noëlle Tranchant
Si la reconstitution d'époque est superbe et raffinée, elle ne tombe pas dans le décoratif : c'est une cage dorée, mais inhumaine. La solitude et la déchéance ressortent sobrement sur ce fond chamarré.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Monde
par Samuel Blumenfeld
Davies (...) ne tombe jamais dans l'écueil de la fascination d'un monde disparu et fétichisé, et démontre avec maestria que les égoïsmes et la mesquinerie de cette société ancienne s'insinuent encore dans notre quotidien.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Echos
par Isabelle Danel
Chez les heureux du monde » est à la fois une incursion dans une autre époque - c'était hier, mais tant de choses ont changé - et une fiction actuelle sur les apparences maîtresses de nos vies - c'est aujourd'hui et tout est pareil.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Libération
par Didier Péron
L'incroyable précision de Terence Davies, qui a lui-même écrit l'adaptation du livre, s'exerce dans des séries d'affrontement soit en tête-à-tête, soit individu seul contre le groupe.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Studio Magazine
par Juliette Michaud
Voir la critique sur www.studiomag.com
Urbuz
par Christelle Laffin
Étonnante, Gillian Anderson, à mille lieux de la polaire Scully, nous offre une performance toute en frémissements, portées par d'impeccables seconds rôles (...). De la belle ouvrage à Kleenex.
La critique complète est disponible sur le site Urbuz
Chronic'art.com
par Yann Gonzalez
(...) Chez les heureux du monde ressemble à un élégant théâtre de la vanité devant lequel le sommeil guette.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Ciné Live
par Philippe Paumier
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
par Sophie Grassin
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Première
par Christophe Narbonne
De magnifiques fondus enchaînés en silences évocateurs, Davies enjolive un récit dont l'absence de fièvre confine à l'absence de point de vue.
La critique complète est disponible sur le site Première
Repérages
par SB
(...) le réalisateur n'a pas évité les ornières de l'ennui et de la reconstitution empesée. Un mérite cependant : inciter à la lecture d'Edith Wharton puisque le film ne lui rend pas justice.
La critique complète est disponible sur le site Repérages
L'Obs
On dira peut-être que ce cinéma-là, cette attention aux êtres, aux choses et au temps (...) ne sont plus de mise aujourd'hui. Peut-être. Mais si c'est le cas, l'époque a tort. Et elle ne sait pas ce qu'elle perd.
Télérama
(...) lorsque Terence Davies filme le dénouement, c'est un mélo de Douglas Sirk que l'on évoque, où la vérité naît de l'artifice.
Aden
Davies filme l'éclat pour mieux percer les contradictions d'un monde choyé et bercé de beauté. On part en croisière sur la Riviera, on lit des poèmes en français (...)... rien d'autre n'existe que le luxe. Mais, définitivement, sans le calme ni la volupté.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaro Magazine
Ce qui fascine (...) et justifie les cent quarante minutes que dure la séance, ce sont les décors et les costumes que l'on croirait tirés de l'atelier de Jacques-Emile Blanche. Beau.
Le Figaroscope
Si la reconstitution d'époque est superbe et raffinée, elle ne tombe pas dans le décoratif : c'est une cage dorée, mais inhumaine. La solitude et la déchéance ressortent sobrement sur ce fond chamarré.
Le Monde
Davies (...) ne tombe jamais dans l'écueil de la fascination d'un monde disparu et fétichisé, et démontre avec maestria que les égoïsmes et la mesquinerie de cette société ancienne s'insinuent encore dans notre quotidien.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Les Echos
Chez les heureux du monde » est à la fois une incursion dans une autre époque - c'était hier, mais tant de choses ont changé - et une fiction actuelle sur les apparences maîtresses de nos vies - c'est aujourd'hui et tout est pareil.
Libération
L'incroyable précision de Terence Davies, qui a lui-même écrit l'adaptation du livre, s'exerce dans des séries d'affrontement soit en tête-à-tête, soit individu seul contre le groupe.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Urbuz
Étonnante, Gillian Anderson, à mille lieux de la polaire Scully, nous offre une performance toute en frémissements, portées par d'impeccables seconds rôles (...). De la belle ouvrage à Kleenex.
Chronic'art.com
(...) Chez les heureux du monde ressemble à un élégant théâtre de la vanité devant lequel le sommeil guette.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
Première
De magnifiques fondus enchaînés en silences évocateurs, Davies enjolive un récit dont l'absence de fièvre confine à l'absence de point de vue.
Repérages
(...) le réalisateur n'a pas évité les ornières de l'ennui et de la reconstitution empesée. Un mérite cependant : inciter à la lecture d'Edith Wharton puisque le film ne lui rend pas justice.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com