AlloCiné
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Vu en avant première à Angoulême.
Détonnant, décapant, brillant !!! Enfin une comédie qui repoussent les limites d'un genre trop souvent convenu. Les comédiens sont excellents, les images très léchées et esthétisées, les situations sont DINGUES. Le film est aussi élégant que certains scènes peuvent être vulgaires. C'est un oxymore à lui seul. Génial.
Détonnant, décapant, brillant !!! Enfin une comédie qui repoussent les limites d'un genre trop souvent convenu. Les comédiens sont excellents, les images très léchées et esthétisées, les situations sont DINGUES. Le film est aussi élégant que certains scènes peuvent être vulgaires. C'est un oxymore à lui seul. Génial.
La gourelle n'en démord pas : elle sait ce que veut le karounga! Il ne faut pas minimiser les souffrances primales.
Le véto est donc chargé de faire une photo de la source.
Tout est tellement absurde que la curiosité l'emporte sur la situation.
Et les saynètes cocasses se succèdent : la tamara, la taboulé, l'Algérie du poppers, fausses confessions, vraies confessions, la fête des voisins,...
J'espère vous avoir donné envie de voir la 1ère partie.
Mais la 2ème partie est tellement consternante de vulgarité, de très mauvais gôut, de malsanité....!
Quelle déception finale!
Le véto est donc chargé de faire une photo de la source.
Tout est tellement absurde que la curiosité l'emporte sur la situation.
Et les saynètes cocasses se succèdent : la tamara, la taboulé, l'Algérie du poppers, fausses confessions, vraies confessions, la fête des voisins,...
J'espère vous avoir donné envie de voir la 1ère partie.
Mais la 2ème partie est tellement consternante de vulgarité, de très mauvais gôut, de malsanité....!
Quelle déception finale!
Non, mais attendez! Vous n'aller pas dire que harceler une vielle mère pour photographier son sexe est drôle!? Ça devient pathétique, vulgaire, agressif et enfin, honteux. Sur une scène de théâtre peut-être cette pièce (le film est une adaptation) aurait arraché des rires chez les spectateurs habitués aux boulevards, mais au cinéma, c'est juste abject. J'imagine que certains spectateurs comme moi ont quitté la salle avec le désagréable sentiment appelé la « honte espagnole », un sentiment de honte intense pour les actions commises par d'autres. En occurrence pour des auteurs de ce film.
Déjanté ! Une bonne partie de rigolade...J'y suis allée en ne sachant pas du tout à quoi m'attendre, et je n'ai pas été déçue. Ce film réinvente le genre, il n'y a pas de limites, et on aime ça ! Je recommande aux esprits pas trop étroits !
Hilarant ! Scénario très original, dialogues savoureux et super jeu d'acteur. Un très bon moment passé devant ce film.
J'ai juste adoré et beaucoup ri !! Heureusement qu'il existe encore de tels films faisant appel à l'absurde et qui dérangent. Ras le bol des convenances et du bien pensant !!
Très déçue. La bande annonce et le choix des acteurs semblaient prometteur mais le film tourne au ridicule. Dommage le sujet aurait pu être drôle s'il n'était pas tombé dans l'excessif.
Pas terrible du tout !!! je vois pas où l'on rigole !!!! et surtout c'est glauque ...j'ai mm été gêné par moment pour la pauvre mère à qui on veut enlever la culotte à tout prix...c'est gênant franchement !!! j'espère que mes parents ne verront jamais ce film !!! ,les acteurs jouent mal surtout la Karine VIARD .
Statut de premier film pour un Laurent Lafitte qui a largement prouvé sa valeur en tant que très bon acteur, et qui maintenant veut nous laisser juger ce qu'il vaut dès qu'il se met à la réalisation. Statut d'adaptation d'une pièce de théâtre pré-existante, et donc adaptation d'un texte. Et c'est notamment sur ce point que ça coince et que je me retrouve bien embêté.
J'ai passé un moment exécrable devant le film notamment à cause du texte. Avec une volonté de montrer le pire des relations et des états d'âmes qui définissent notre humanité, sans jamais rendre sympathique aucun de ses personnages à un seul instant, l'œuvre attend de moi que j'observe des méchants qu'on aime voir dans tout ce qui les rend ignobles, mais me met face à des personnages qui se résument, pardon pour le langage, à de banals trous du cul. Il n'existe pas un seul instant où je peux m'attacher un tant soit peu à chaque personnage du film, et de ce fait toutes les actions ignobles qui découleront au cours du récit ne m'ont pas arraché un seul sourire car je ne voyais que des actions ignobles par des personnages que je ne veux pas voir réussir à un seul moment. Partant dans toutes les directions pour traiter de la mère, de ce qui nous rend vivant, le tout encore une fois avec des personnages infects, j'ai une aversion très nette envers tout ce que raconte le film.
Il n'existe pas un seul instant où je peux m'attacher un tant soit peu à chaque personnage du film, et de ce fait toutes les actions ignobles qui découleront au cours du récit ne m'ont pas arraché un seul sourire, car je ne voyais que des actions ignobles par des personnages que je ne veux pas voir réussir à un seul moment. la réalisation de Laurent Lafitte. Opérant une harmonie quasi parfaite avec son directeur de la photo pour créer un film qui sera beau à regarder, le film offre des cadres assez classiques durant les dialogues, mais étonnament se révèle foutrement créatif dès que Laurent Lafitte film des scènes se déroulant hors du texte et de la scène.
Que ce soit par des mouvements de caméra très narratifs, une utilisation des effets spéciaux intelligente pour créer une transition invisible qui se répétera deux fois, Laurent Lafitte présente un réel potentiel en tant que réalisateur où il montre un vrai amour de l'image.
Ignoble et ennuyeux, "L'Origine du Monde" fut un moment désagréable, et je reproche avant tout à Laurent Lafitte son choix de texte qui correspondait peut-être mieux au théatre qu'au cinéma, ou qui simplement était destiné à ce que je le déteste. Il reste néanmoins une réelle envie en moi de voir Laurent Lafitte à l'œuvre sur un second film, peut être avec un scénario qui viendra uniquement de lui, histoire de voir.
J'ai passé un moment exécrable devant le film notamment à cause du texte. Avec une volonté de montrer le pire des relations et des états d'âmes qui définissent notre humanité, sans jamais rendre sympathique aucun de ses personnages à un seul instant, l'œuvre attend de moi que j'observe des méchants qu'on aime voir dans tout ce qui les rend ignobles, mais me met face à des personnages qui se résument, pardon pour le langage, à de banals trous du cul. Il n'existe pas un seul instant où je peux m'attacher un tant soit peu à chaque personnage du film, et de ce fait toutes les actions ignobles qui découleront au cours du récit ne m'ont pas arraché un seul sourire car je ne voyais que des actions ignobles par des personnages que je ne veux pas voir réussir à un seul moment. Partant dans toutes les directions pour traiter de la mère, de ce qui nous rend vivant, le tout encore une fois avec des personnages infects, j'ai une aversion très nette envers tout ce que raconte le film.
Il n'existe pas un seul instant où je peux m'attacher un tant soit peu à chaque personnage du film, et de ce fait toutes les actions ignobles qui découleront au cours du récit ne m'ont pas arraché un seul sourire, car je ne voyais que des actions ignobles par des personnages que je ne veux pas voir réussir à un seul moment. la réalisation de Laurent Lafitte. Opérant une harmonie quasi parfaite avec son directeur de la photo pour créer un film qui sera beau à regarder, le film offre des cadres assez classiques durant les dialogues, mais étonnament se révèle foutrement créatif dès que Laurent Lafitte film des scènes se déroulant hors du texte et de la scène.
Que ce soit par des mouvements de caméra très narratifs, une utilisation des effets spéciaux intelligente pour créer une transition invisible qui se répétera deux fois, Laurent Lafitte présente un réel potentiel en tant que réalisateur où il montre un vrai amour de l'image.
Ignoble et ennuyeux, "L'Origine du Monde" fut un moment désagréable, et je reproche avant tout à Laurent Lafitte son choix de texte qui correspondait peut-être mieux au théatre qu'au cinéma, ou qui simplement était destiné à ce que je le déteste. Il reste néanmoins une réelle envie en moi de voir Laurent Lafitte à l'œuvre sur un second film, peut être avec un scénario qui viendra uniquement de lui, histoire de voir.
Comment peut on aimer un film aussi lourd et grotesque. Je n'ai pas cru un seul moment à l'histoire. J'ai tenu jusqu'au bout en espérant qu'il y aurait une amélioration, mais en vain. Le déballage final des histoires de la "môman" n'est absolument pas crédible. Je me suis bien ennuyé.
Je dois bien dire que ce film m'a laisse perplexe. J'ai beaucoup souri et même franchement rigolé par moment. Les acteurs sont tops. En revanche, il comporte quelques longueurs et parfois le scénario se perd lui même dans ses méandres. Ça reste du bon quand même.
Bon, c'est quand même un peu malaisant par moment...Mais c'est un peu le but non ? L'intention est de faire rire et c'est plutôt réussi. Malgré quelques longueurs, un excellent jeu d'acteurs et de très bons dialogues (je ne sais pas qui en est l'auteur ?) font de ce film une réussite. Il y a un petit coté Hara-kiri, Choron en moins et en un peu plus classieux.
Film très drôle, dérangeant mais pas vulgaire, qui me rappelle l'humour façon Dupontel. Bref, j'ai ri avec bonheur.
Les acteurs sont tous formidables dans leur rôle et en particulier la mère jouée par Hélène Vincent, quel talent !
Les acteurs sont tous formidables dans leur rôle et en particulier la mère jouée par Hélène Vincent, quel talent !
Bravo à Laurent Laffite !
Je n'ai pas ri de cette façon au cinéma depuis longtemps !
Quels acteurs ! Ils sont fantastiques ! Je crois que je vais m'acheter un polaroïd !
C'est délirant de bout en bout, un peu lent peut-être sur le début. Seul défaut.
Mais ça tient très bien la route ! C'est le comique de l'absurde pour illustrer
le grand mystère de la mère, de la vie et de l'amour, depuis Courbet qui est là
en clin d'oeil, jusqu'à Lafitte qui est là à poil !
Je n'ai pas ri de cette façon au cinéma depuis longtemps !
Quels acteurs ! Ils sont fantastiques ! Je crois que je vais m'acheter un polaroïd !
C'est délirant de bout en bout, un peu lent peut-être sur le début. Seul défaut.
Mais ça tient très bien la route ! C'est le comique de l'absurde pour illustrer
le grand mystère de la mère, de la vie et de l'amour, depuis Courbet qui est là
en clin d'oeil, jusqu'à Lafitte qui est là à poil !
L'AlsacienParisien
« L’origine du monde » est l’adaptation d’une pièce de théâtre de Sébastien Thiéry dans laquelle un quadragénaire bobo, marié mais fortement ennuyé, se rend compte que son coeur ne bat plus. Dans le but de comprendre ce mystère que même son meilleur ami vétérinaire n’arrive pas à expliquer, il rencontre sans convictions la coach de vie holistique de sa partenaire. La sentence de celle-ci est sans appel ; il lui faut une photo du sexe de sa mère afin de le sauver d’une mort imminente… Servi sous la forme d’un vaudeville, cette comédie surréaliste, première réalisation du comédien Laurent Lafitte, déjoue les codes de la comédie pépère à la française pour se rapprocher d’un humour noir et transgressif, non dénué de métaphores. Au commencement, on traverse le cosmos avant de percer l’intimité d’un coït raté. De là apparait l’égarement du personnage principal, vivant machinalement une existence calquée sur un quotidien répétitif. Il s’emmerde et son coeur le lâche. L’absurde nait et la quête de la fameuse photographie vaginale ne va faire qu’empirer la gêne, la provocation, la vulgarité et l’audace du film ! J’ai rarement eu l’occasion de voir autant de prise de risques et de lâcher-prise dans une comédie française. On rit beaucoup, parfois dérouté face à la tournure du scénario et face au jusqu’au-boutisme des acteurs. Malgré le côté graveleux et des répliques parfois trop écrites, les performances sont subtiles et l’égoïsme et la cruauté des personnages ne sont pas une barrière à notre plaisir. Au contraire, on se demande jusqu’où ce trio de tête odieux et sans morale est capable d’aller. Laurent Lafitte, Vincent Macaigne et Karin Viard dynamitent la bienséance habituelle et tourmentent la pauvre Hélène Vincent, en mamie désoeuvrée, mais bluffante dans l’acte final. Nicole Garcia, en gourou manipulatrice, tire elle aussi son épingle du jeu ! Enfin, appuyée par quelques scènes oniriques qui sortent du lot, la symbolique freudienne et oedipienne qui se cache sous cette large épaisseur comique ouvre à la réflexion tabou du lien filial à la mère. On peut aussi y voir une critique du business derrière le monde controversé de l’occultisme et des méthodes parallèles. Les bourgeois parisiens en prennent également pour leur grade. Pour ses séquences comiques et osées de haute volée qui se succèdent sans temps mort, et pour ses interprètes, « L’origine du monde » est l’un des temps forts de cette rentrée…
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