Note moyenne
3,1
35 titres de presse
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20 Minutes
Une comédie aussi savoureuse que provocatrice.
CNews
Le pensionnaire de la Comédie-Française signe une comédie qui brise les tabous sans jamais tomber dans la vulgarité, mais avec une bonne dose d'humour noir.
CinemaTeaser
Boosté par cette atmosphère dingue, le trio Lafitte / Viard / Macaigne donne tout face à l’excellente Hélène Vincent, jusqu’à un final dont on se rappellera longtemps.
Closer
Dans le premier film de Lafitte, dialogues et situations se révèlent aussi drôles qu'irrévérencieux et dynamitent la comédie pépère à la française pour se rapprocher de l'humour SuperGrave d'un Seth Rogen.
Elle
Farce psychanalytique et désopilante sur les tabous bourgeois, L'Origine du monde démontre de grandes qualités de comédie : une idée tenue jusqu'à l'absurde, le sens du rythme et des interprètes de génie.
Franceinfo Culture
Les acteurs servent cette comédie grinçante et extravagante en incarnant leur rôle à mille pour cent. Laurent Lafitte au premier chef, convaincant dans le rôle du quadragénaire auto-centré et névrosé, dont le visage de petit garçon mal aimé affleure.
La Voix du Nord
Une comédie décapante, provocante, clivante, qui aborde frontalement un tabou ultime.
Le Parisien
Ce scénario sidérant ne pouvait passer qu’à travers le rire. Sur ce point, on est servis, le cinéaste débutant maniant comme personne un comique de situation qui fait merveille : gags à la chaîne, répliques qui tuent, séquences aussi tordantes qu’embarrassantes… Un vrai festival.
Les Echos
Le comédien Laurent Lafitte réalise un premier film audacieux, une comédie mordante qui fait rire en chatouillant des recoins secrets de la psyché.
Paris Match
Un premier film drôlement gonflé.
Positif
La rigueur des cadres, du rythme, d’une caméra qui s’émancipe pour devenir de plus en plus mobile est le premier secret de cette comédie tournée avec le plus grand sérieux et une inventivité qui se prolonge jusqu’au bout de l’astucieux générique de fin. Un autre secret est la formidable direction d’acteurs [...].
Première
Les premiers pas de Laurent Lafitte derrière la caméra ne laisseront personne indifférent !
Rolling Stone
Le film fait preuve de minutie dans sa mise en scène, et ne se prive ni de beaux plans ni de bons mots. Le jeu des acteurs fait en outre toute la différence : Lafitte est irréprochable, Viard folle juste comme il faut, Garcia offre deux scènes magistrales et Macaigne, aristo sans le sou glabre et dégarni, est comme on ne l’a jamais vu.
Télé 2 semaines
Instants de gêne, parfois, mais aussi beaucoup de rires francs, grâce aux acteurs au diapason.
Télé 7 Jours
On adore ou on déteste cette farce gonflée. Une chose est sûre, Lafitte n'aime pas l'eau tiède, ses partenaires non plus, et ils s'emparent de leurs personnages affreux, sales et méchants avec un plaisir évident.
Télé Loisirs
Une farce absurde et cruelle où la figure maternelle est malmenée (Hélène Vincent, exquise).
Télérama
POUR : Un sens de la direction d’acteurs qui est la marque des vrais metteurs en scène. Ce n’est pas la moindre des révélations de ce premier film.
Voici
Une farce freudienne plus scabreuse que grinçante. La mise en scène façon comédie de boulevard (assumée ?) par Laurent Lafitte, de la Comédie Française, masque un peu la cruauté psychanalytique qui irriguait la pièce de Sébastien Thiéry.
aVoir-aLire.com
Un vaudeville cinématographique surréaliste, cruellement drôle... et drôlement tendre.
Bande à part
Laurent Lafitte filme un homme aux portes de la dissociation et fait valser autour d’un acte psychomagique des personnages mis à nu, dont la seule résistante est la mère, détentrice des secrets de famille. Une fable hardie à double-fond, à mi-chemin entre le geste potache et la comédie anglaise.
Dernières Nouvelles d'Alsace
C’est le genre de scénario qui n’est pas exactement scandaleux, mais si audacieux qu’on trouve que c’est une drôle d’idée.
L'Obs
Pour son premier film, Laurent Lafitte met le paquet : le rythme est fracassant, les acteurs s’en donnent à cœur joie (Hélène Vincent, dans le rôle de vieille dame, est formidable), les situations sont burlesques. Reste, pour certains (dont je suis), la gêne devant le tabou de l’inceste. Ceci dit, le film est gondolant.
Le Dauphiné Libéré
Le pitch en est à la fois surréaliste, farfelu et dérangeant : le cœur d’un homme joué par l’acteur-réalisateur s’arrête de battre et, pour repartir, il devra remonter à l’endroit d’où il vient, autrement dit, le sexe de sa mère. Une sorte de gourou, joué avec une fantaisie loufoque par Nicole Garcia (...).
Le Journal du Dimanche
Laurent Lafitte s’offre une comédie à l’humour poil à gratter qui s’interroge, avec fantaisie et un certain fatalisme, sur le sens d’une vie dont on oublie trop souvent les véritables enjeux.
Ouest France
Une comédie burlesque, hilarante et malaisante.
Sud Ouest
Drolatique et caustique.
Critikat.com
Une drôle de comédie qui, sans tourner tout à fait le dos à l’autofiction, a au moins le mérite de faire un léger pas de côté : c’est ce qu’on appelle avoir de l’humour.
Les Fiches du Cinéma
Jouant d’abord de façon plutôt drôle de ce sujet assez stupéfiant, le film s’enlise peu à peu dans la surenchère gratuite.
Cahiers du Cinéma
On veut le beurre et l'argent du beurre, à la fois profiter du cirque du refoulement tout en agitant une pseudo transgression oedipienne. Une fois ce cliquet enclenché, la réalisation ne dépasse ni les limites de la pièce première, ni les écueils du théâtre filmé.
La Croix
Une farce aussi scabreuse que consternante.
Le Figaro
On l’aime bien pourtant, Laurent Lafitte. Certes, on le savait susceptible de céder aux sirènes du mauvais goût (au Festival de Cannes ou aux César). Mais ici, c’est le pompon. Sa propension à sombrer dans le graveleux se confirme.
Le Monde
Comment peut-on utiliser autant d'énergie (et de talents) pour réaliser un film aussi consternant ?
Les Inrockuptibles
Dénué de véritable aspiration esthétique, où la complexité des personnages tient en un adjectif, L’Origine du monde avance comme un enchaînement mécanique de saynètes déconnectées les unes des autres.
Libération
Pénible comédie, le premier film réalisé par Laurent Laffite s’embourbe dans la vulgarité.
Télérama
CONTRE : Karin Viard surjoue une fois de plus l’épouse à collier de perles, passive-agressive. Quant à la quête de la photo de la « source » maternelle, elle consterne par son premier degré si trivial.