Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
Les Inrockuptibles
par Bertrand Loutte
(...) un idéal de sitcom moderne et intellectuelle portée par des dialogues en majesté et un art savant de la mise en scène de la parole et de sa transmission.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Cahiers du Cinéma
par Marie-Anne Guerin
Miéville filme ces circuits pénétrants de la discussion avec une grâce, une fantaisie et une invention jamais prises de court.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
Chronic'art.com
par Frédéric Bas
(...) la réalisatrice sait bien que pour être compris il faut aller au but. Après la réconciliation marque autant par la richesse des idées qui s'y expriment que par sa totale lisibilité.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Humanité
par Jean Roy
Saluons de préférence une démarche créatrice authentique qui, dans le refus absolu de toute compromission, nous oblige à aller vers l'ouvre et à l'écouter nous parler.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Dire que l'on saisit tout, non, et peut-être n'est-ce même pas forcément souhaitable. Mais il y a des moments forts, certainement uniques, ceux de Godard acteur surtout, parce que c'est lui, mais aussi parce qu'il fait ce qu'il fait comme il le fait.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaroscope
par n.c.
Quand Anne-Marie Miéville disserte sur la vie, sur l'expression orale en filmant avec culot, brio, en jonglant avec les mots, les silences, les visages, en s'amusant avec les aphorismes avec la complicité d'un Godard devenu acteur (...)
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Libération
par Olivier Séguret
(...) la cinéaste a aussi l'exquise bonté d'apaiser nos bleus et bosses avec un humour lutin qui donne au film son piquant de screwball comedy existentielle, et elle s'emploie toujours à dédramatiser, finalement, la solitude excessive (...)
La critique complète est disponible sur le site Libération
Repérages
par Julien Welter
Mieville (...) tient à mettre en scène un monde singulier, réussissant à filmer Paris comme une ville toscane et donnant à son ping-pong élitiste légèreté et sens de la dérision tragique pour ainsi dire slave. Que dire de plus, sinon que c'est très stimulant !
La critique complète est disponible sur le site Repérages
Télérama
par François Gorin
L'illusion que Miéville et Godard jouent leur propre couple à peine grimé laisse alors place à cette quête universelle et douloureuse qui est le nerf du film : la réconciliation du geste et de la parole, puis l'effacement de celle-ci dans la simple émotion retrouvée.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Urbuz
par Vincent Malausa
L'austérité d'un tel sujet pouvait nous faire craindre le pire (...). Heureusement, le cinéma d'Anne-Marie Miéville, s'il est plus que tout autre un cinéma de la parole, n'oublie jamais d'ancrer son propos dans un projet esthétique fort.
La critique complète est disponible sur le site Urbuz
Le Monde
par Jean-Michel Frodon
Miéville tente des coups, en rate, en réussit magnifiquement, se complique la vie, cherche quelque chose et trouve (...) et ne trouve pas (...) pour se faire comprendre.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Première
par Christophe Carrière
On frise la caricature. Quelques passages se revendiquent d'ailleurs comme tels. Cette autodérision alliée à un sens du cadre et de la lumière autorise alors le commun des spectateurs à l'effleurer de l'esprit l'intérêt de ce film qui pense.
La critique complète est disponible sur le site Première
Ciné Live
par Julien Vernor
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Figaro Magazine
par B.S.V.
On navigue en eaux mortes. Désabusement de rigueur, appartement bourgeois. On se demande juste ce que la caméra fait là.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro Magazine
Les Inrockuptibles
(...) un idéal de sitcom moderne et intellectuelle portée par des dialogues en majesté et un art savant de la mise en scène de la parole et de sa transmission.
Cahiers du Cinéma
Miéville filme ces circuits pénétrants de la discussion avec une grâce, une fantaisie et une invention jamais prises de court.
Chronic'art.com
(...) la réalisatrice sait bien que pour être compris il faut aller au but. Après la réconciliation marque autant par la richesse des idées qui s'y expriment que par sa totale lisibilité.
L'Humanité
Saluons de préférence une démarche créatrice authentique qui, dans le refus absolu de toute compromission, nous oblige à aller vers l'ouvre et à l'écouter nous parler.
L'Obs
Dire que l'on saisit tout, non, et peut-être n'est-ce même pas forcément souhaitable. Mais il y a des moments forts, certainement uniques, ceux de Godard acteur surtout, parce que c'est lui, mais aussi parce qu'il fait ce qu'il fait comme il le fait.
Le Figaroscope
Quand Anne-Marie Miéville disserte sur la vie, sur l'expression orale en filmant avec culot, brio, en jonglant avec les mots, les silences, les visages, en s'amusant avec les aphorismes avec la complicité d'un Godard devenu acteur (...)
Libération
(...) la cinéaste a aussi l'exquise bonté d'apaiser nos bleus et bosses avec un humour lutin qui donne au film son piquant de screwball comedy existentielle, et elle s'emploie toujours à dédramatiser, finalement, la solitude excessive (...)
Repérages
Mieville (...) tient à mettre en scène un monde singulier, réussissant à filmer Paris comme une ville toscane et donnant à son ping-pong élitiste légèreté et sens de la dérision tragique pour ainsi dire slave. Que dire de plus, sinon que c'est très stimulant !
Télérama
L'illusion que Miéville et Godard jouent leur propre couple à peine grimé laisse alors place à cette quête universelle et douloureuse qui est le nerf du film : la réconciliation du geste et de la parole, puis l'effacement de celle-ci dans la simple émotion retrouvée.
Urbuz
L'austérité d'un tel sujet pouvait nous faire craindre le pire (...). Heureusement, le cinéma d'Anne-Marie Miéville, s'il est plus que tout autre un cinéma de la parole, n'oublie jamais d'ancrer son propos dans un projet esthétique fort.
Le Monde
Miéville tente des coups, en rate, en réussit magnifiquement, se complique la vie, cherche quelque chose et trouve (...) et ne trouve pas (...) pour se faire comprendre.
Première
On frise la caricature. Quelques passages se revendiquent d'ailleurs comme tels. Cette autodérision alliée à un sens du cadre et de la lumière autorise alors le commun des spectateurs à l'effleurer de l'esprit l'intérêt de ce film qui pense.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Figaro Magazine
On navigue en eaux mortes. Désabusement de rigueur, appartement bourgeois. On se demande juste ce que la caméra fait là.