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    De Gaulle
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    412 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 5 mars 2020
    Très belle réalisation , juste et touchante .
    Les acteurs sont parfaits dans leur rôle .
    Un film à voir !
    Mike Hetson
    Mike Hetson

    11 abonnés 41 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 26 juillet 2021
    un biopic qui prend de l'importance a partir de la deuxième moitié du film. des acteurs qui parfois sont convaincants parfois qui surjoue complément.
    une photographie et une bande son plutôt réussis
    le film est correcte alors qu'il avait les moyens d'être très bien
    Cinévore24
    Cinévore24

    342 abonnés 703 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 5 mars 2020
    Un biopic gnangnan et plan-plan.
    Une oeuvre balisée et sans audace, dans laquelle on n'apprend pas grand-chose de plus que ce qu'on nous a déjà appris en cours d'histoire.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 5 mars 2020
    Tout est moyen dans ce film, la réalisation, les acteurs, le scénario.

    Les premiers roles comme les seconds roles ne jouent pas vraiment mal mais c'est très moyen, on a l'impression qu'ils lisent tous un texte, ça sonne faux, un peu comme lorsqu'on écoute un film Anglais avec les doublages. Si bien qu'on peine à entrer dans le film. Particulièrement déçu par Lambert Wilson qui avait une occasion en or d'incarner un grand role. Il très plat et pas très inspirant. Je ne sais pas comment s'exprimait De Gaulle dans la vraie vie mais j'ai peine à croire qu'il ait été si insipide. Le bon coté c'est qu'il ne surjoue pas non plus. Seule la scène de l'appel du 18 juin ressort (c'est le seul moment où je suis entré dans le film mais pas de quoi non plus donner des frissons). Churchill et Pétain sont les 2 seuls qui sortent du lot. Le président et le ministre sont comme les autres personnages : ils sonnent souvent faux. C'est étonnant car ce sont même de très bons acteurs.

    Le film est axé sur la vie de famille de De Gaulle, ce n'est pas mauvais en soi c'est un parti pris, mais vu comme les dialogues dans la famille sont creux et sonnent faux on ne comprend pas bien l'intéret en tout cas ce que ça apporte au film ou à De Gaulle. On comprend le message "pour de gaulle sa famille était très important" mais une ligne de texte au début du film aurait eu le même effet.
    Il y avait quand même des évènments qui prêtaient à donner du rythme au film, je pense notamment à la scène avec les gens sur la route (ceux qui ont une voiture vs ceux qui n'en ont pas), le télégramme reçu par de gaulle (déchu de la nationalité)... On a l'impression que tous les acteurs regardent leur chaussures, comme le président.

    Bref un film qui se regarde mais assez limité, comme si il avait été tourné à la va-vite en gardant à chaque fois les premières prises.
    garnierix
    garnierix

    230 abonnés 454 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 mars 2020
    On assiste à un cours d’histoire ––la débâcle, Pétain et le 18 juin 1940 ne sont plus à raconter. Mais il est introduit joliment au début quand de Gaulle termine la phrase que sa fille sort d’un livre d’Apollinaire : "Jamais les crépuscules ne vaincront les aurores / étonnons-nous des soirs mais vivons les matins". Prémonitoire, évidemment. On assiste aussi à autre chose ––un mystère ou un morceau d’explication. Il s’agit de l’amour inconditionnel de de Gaulle pour sa fille trisomique : "Anne me donne beaucoup de force", dit-il. Le film aurait pu oublier totalement Anne ; elle en est presque le centre, au contraire. Ceci et cela en fait un film intéressant, même si quelque chose cloche avec Lambert Wilson ––ce n’est pas qu’il surjoue comme certains lui reprochent, c’est juste que le physique et le geste ne collent pas vraiment ––ce n’est pas non plus catastrophique (faire de Gaulle un personnage de film est une ambition louable mais démesurée). En revanche, il y a un certain Tim Hudson qui fait Churchill et c’est un plaisir de l’entendre fulminer et grommeler. A.G.
    tostaky61
    tostaky61

    3 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 mars 2020
    Lambert Wilson incarne un De Gaulle plus vrai que nature, magnifique performance à saluer.
    Ce film ne représente qu'une infime partie de la vie du Général, la plus importante peut-être, qui montre le rôle qu'il a joué et les montagnes contre lesquelles il a dû se battre pour défendre la liberté de notre pays et encourager la résistance.
    Un De Gaulle combattif et émouvant.
    Je salue l'ensemble des acteurs pour leur travail.
    La fin abrupte m'a laissé dubitatif.
    Didier L
    Didier L

    1 abonné 5 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 mars 2020
    Bon film où l'on côtoie autant l'homme public que l'homme intime, chose qu'il a de son vivant toujours su préserver secrète. Le sujet est surtout sa démarche personnelle. l'interprétation de Lambert Wilson est convaincante et mesurée avec une Isabelle Carré très attachante.
    Théo Pouillet
    Théo Pouillet

    6 abonnés 184 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 mars 2020
    Un bon biopic français comme on sait les faire. Les moyens sont là et le rendu passe très bien à la caméra.
    radio 2
    radio 2

    20 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 mars 2020
    un très bon film historique sur ce grand homme qu'était De Gaulle..les acteurs sont au diapason..A noter toutefois sur certains passages..un manque approfondi..
    Thomas G.
    Thomas G.

    21 abonnés 1 critique Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 5 mars 2020
    En mettant l'accent sur la relation entre De Gaulle et Yvonne, l'histoire avec un grand H est mise de côté. Cette romance peu intéressante en fait un film long, sans réel intérêt.

    Un focus presque gênant sur la petite Anne (une enfant trisomique) ajoute à l'incompréhension général (De Gaulle) sur ce film. Quel en est l'intérêt?

    Finalement la partie qui aurait été intéressante à mettre à l'écran est résumé en une phrase à la fin, rageant.

    Pour apprendre réellement des choses sur la période de De Gaulle à Londres et sa relation avec l'Angleterre, on repassera.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 5 mars 2020
    Mon seul regret est la fin qui manque totalement d' effet dramatique. On ne voit pas la réaction en France à l' appel. Un peu plat.
    lhomme-grenouille
    lhomme-grenouille

    3 328 abonnés 3 170 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 26 mai 2020
    Parfois, c’est dès la première scène – dès le premier plan – que tu sais quel va être le niveau du film que tu es en train regarder.
    Et, pour le coup, ce « De Gaulle » en est un magnifique exemple.
    Jugez par vous-même.
    A votre avis, par quoi un biopic sur le Général de Gaulle va-t-il s’ouvrir ?
    Réponse A : par sa naissance dans la résidence lilloise de ses parents ?
    Réponse B : par son exil en Irlande, après sa débâcle du référendum de 1969 ?
    Réponse C : par un de ses discours emblématiques (Londres / Alger / Orsay) ?
    Réponse D : ou bien par une scène de cul entre le bon Charles et sa tendre Yvonne ?
    Allez on ne triche pas.
    On réfléchit bien.
    On choisit sa réponse.
    Vous êtes prêts ?

    La réponse est…



    …la réponse D !
    Eh oui ! Incroyable mais vrai !

    Bon alors après – c’est sûr – il s’agit d’une scène de cul pensée pour les auditeurs de RTL (producteur du film) donc ça reste très sage hein !
    On se caresse. On se bécote. On garde ses vêtements. Rien de bien grivois…
    Mais bon, enfin voilà quoi ! Un film sur de Gaulle qui commence par des poutous !
    Non mais ça ne dit pas tout, ça ?!
    Ça ne dit pas tout de l’ambition qu’a Gabriel Le Bomin pour son film ?
    Pourquoi commencer par une scène de tendresse quand il s’agit de dresser un portrait du Général ? N’est-il pas manifeste qu’on cherche ici avant tout à attendrir le spectateur sur l’homme que certains pourraient juger trop dur ? N’est-il pas évident qu’on cherche avant tout à émouvoir, à s’attarder sur la bonté de l’homme plutôt que de questionner son œuvre, ses actes, sa pensée ?

    Alors oui, certains films se révèlent dès la première minute, pour ne pas dire dès le premier plan.
    Et ce que révèle ce « De Gaulle » c’est qu’il sera une hagiographie totalement décomplexée.
    On ne questionna pas l’homme. On constatera juste sa grandeur.
    Et surtout on remarquera à quel point la noblesse de ses actes n’est qu’à la dimension de la noblesse de son être.
    Autant vous dire qu’après pareille introduction je me suis blotti bien au fond de mon fauteuil en regardant ma montre.
    Le temps risquait d’être long…

    Une heure et quarante-neuf minutes.
    Voilà donc en tout et pour tout ce que dure cette longue et pénible panégyrique à la gloire du saint fondateur de la Ve République ; au père de la Victoire.
    1h49 qui se révèlent en plus bien mollassonnes tant l’écriture et la mise-en-scène se veulent didactiques et unidimensionnelles.
    On est à mi-chemin entre une émission de Stéphane Bern et un podcast de RTL.
    On ne veut surtout pas ennuyer les gens avec de la politique ou des ambigüités, alors on va s’attarder sur la vie de famille et on va bien tout expliquer en dis-tin-guant-bien-cha-queu-syl-la-beu. Parce que – tu comprends – les vieux, ça comprend pas toujours tout, alors il faut leur expliquer simplement, longtemps et longuement.

    Ainsi se retrouve-t-on avec un film incroyablement poussif, où chacun parle comme s’il participait à un concours d’orthophoniste, et où chaque propos ou situation est évoquée avec le plus de simplisme possible, histoire que personne ne soit perdu.
    Les exemples sont légions, mais le meilleur moment reste encore quand Pétain dit en coulisse à Weygand : « Bientôt cette République tombera et nous pourrons alors prendre le pouvoir ! »
    Ne manquait plus que le « Mouhahahahahaha ! » de gros méchant et les éclairs derrière lui.
    Assez risible.

    Alors forcément, avec pour seule et unique ambition de ne présenter de Gaulle que comme un général obstiné et soucieux du bien-être de sa famille, ces presque deux heures paraissent bien vides et bien creuses, surtout que l’intrigue entend se restreindre aux seuls mois de mai et de juin 1940 pour nous raconter ce que fut le Général.
    Une idée un brin saugrenue quand on considère le peu de densité et de profondeur de la démarche mais une démarche qui s’explique assez manifestement dès que les premières typos en grande lettre blanche apparaissent.
    En fait si « De Gaulle » est ainsi construit, c’est juste par mimétisme.
    Un mimétisme qui entend singer plutôt qu’imiter les brillantes « Heures sombres » de Joe Wright, sorties deux ans plus tôt.

    « Les heures sombres », c’est un film qui entend retracer la vie de Churchill au travers d’un seul instant de sa vie – sûrement le plus décisif – celui de sa nomination en pleine débâcle anglaise. L’intrigue ne s’étale que sur un mois, du 10 mai au 4 juin, mais durant ce court laps de temps, Joe Wright parvient à rappeler qui a été Winston Churchill ; ce qui l’a façonné.
    Mais ce n’est pourtant pas ça qui en fait un grand film. Sa force, « les heures sombres » la tire du fait que Churchill n’est au fond qu’un sujet parmi tant d’autres.
    Derrière le lion, Wright nous parle aussi du Royaume-Uni, de son parlementarisme presque ancestral et surtout de cette force qu’il parvient à dégager au-delà de la désuétude.
    « Les heures sombres » n’est pas qu’un film sur la guerre et la politique, c’est aussi un film qui se déroule dans un gigantesque théâtre vivant, où les acteurs ne cessent de circuler entre ascenseurs et coulisses avant d’aller sur scène pour s’efforcer de donner vie à leurs mots, à leurs idées, à leur politique.
    « Les heures sombres » est un film fort parce qu’il est un film complexe ; parce qu’il questionne tout aussi bien le fond et la forme, bien plus qu’il ne se contente de questionner les personnages.
    Autant de choses que Gabriel Le Bomin a observées sans voir.
    Un cécité qui l'a conduit à copier la surface sans être capable de saisir l’intérêt d’une telle structure narrative.

    Parce qu’au fond, quel intérêt à suivre ce Général ainsi ?
    Ce film ne dit rien de la France, de la République française et surtout il ne dit rien de la politique ni même de la guerre.
    Alors certes, quelques images sauront peut-être sauver ce film d’un total naufrage sur la dernière partie du film, notamment quand il sera l’occasion de présenter l’Arrière. Et encore…
    A part ça on nous présente un Général sans guerre ni soldat ; un politicien sans conviction ni discours politique ; un chantre d’une victoire qu’on ne verra jamais…
    Ainsi, dans ce film, de Gaulle n’est au fond que peu de choses.
    Il n’est qu’une icône lisse qu’on brandit pour qu’on la prie.
    Mais cette icône est totalement désincarnée et désintellectualisée.
    Elle n’est qu’une figure imprimée platement sur de la pellicule qui défile.

    Pas de questionnement sur le de Gaulle ami de Maurras.
    Pas de questionnement sur le de Gaulle chef du gouvernement provisoire.
    Pas de questionnement sur le de Gaulle putschiste de 1958.
    Au fond tout ce qui aurait pu être riche de réflexion et d’interrogation est ici éludé.
    Le but n’était pas de comprendre ou de révéler ; d’interroger ou de méditer.
    Non. Dans ce film, de Gaulle ne peut être que vénéré.

    Et comme un autre symbole de cette démarche hagiographique, on pourrait notamment conclure en s’attardant sur sa fin.
    Je disais tout à l’heure à quel point un premier plan pouvait être révélateur de ce qu’était un film, mais c’est au fond tout aussi vrai en ce qui concerne le dernier.
    Car, voyez-vous, par quoi ce « De Gaulle » entend se conclure ?
    Par de Gaulle accueillant les premiers Français libres ?
    Par de Gaulle entamant les négociations et la collaboration avec les Britanniques ?
    Par de Gaulle partant pour les colonies afin de poursuivre le combat ?
    Non.
    Rien de tout ça.
    « De Gaulle » finit…

    spoiler: …en précisant que sa femme et lui ont ouvert une fondation pour tous les petits enfants malades comme l’étaient leur petite Anne. Oui. Voilà. C’est donc cela qu’il faut retenir du Général de Gaulle. Certes, c’était un officier et politicien, mais surtout c'était un mec qui faisait des bisous à Yvonne, qui trouvait la force dans les petits carnets que lui confectionnait sa fille malade et qui, à la fin, reste un homme au grand cœur en pensant à tous ces petits enfants qui lui rappellent son amour plein et entier pour sa gamine.


    Une hagiographie vous disais-je…

    Alors bon…
    On a le droit d’être auditeur de RTL et / ou admirateur du Général ; là n’est pas le problème.
    Et si d’ailleurs c’est votre cas, faites vous plaisir : allez voir ce « De Gaulle ».
    Mais si vous aimez un tant soit peu l’Histoire, la politique, les questionnements et – surtout – le cinéma, il me semble que la meilleure des solutions serait encore de laisser ce « De Gaulle » de côté et d’aller jeter un petit coup d’œil de l’autre côté de la Manche car, cela me parait assez évident, il y a des « heures sombres » qui vous attendent impatiemment…
    selenie
    selenie

    6 226 abonnés 6 179 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 mars 2020
    Premier long métrage de cinéma sur l'un des personnages historiques les plus fameux de notre Histoire national. On dit que derrière chaque grand homme il y a une femme, pour Charles De Gaulle c'est donc Yvonne... C'est sur ce point surtout que le film tombe un peu à côté de son sujet. En effet, le scénario scinde l'histoire en deux parallèles, De Gaulle qui lutte pour poursuivre la guerre, Yvonne qui emmène sa famille sur l'exode. Mais la force de l'épouse qui soutient son époux est très effleurée voir même sous-exploitée, Gabriel Le Bomin se focalise surtout sur la petite Anne, la petite dernière trisomique. Un moyen malhonnête et facile pour émouvoir mais aussi pour obtenir toute l'empathie possible pour Charles De Gaulle (qui en avait pas franchement besoin ?!!!). Outre que ça pousse le film dans la dimension du film hommage unilatérale sans la moindre remise en question, c'est aussi un peu hors sujet car les coulisses du 18 juin 1940 passent presque au second plan. Charles De Gaulle n'a pas encore droit à son grand film...
    Site : Selenie
    Cinemadourg
    Cinemadourg

    766 abonnés 1 516 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 décembre 2021
    Entre Mai et Juin 1940, dans une France submergée par le Troisième Reich, nous allons suivre la destinée de Charles de Gaulle, dernière personne influente de l'hexagone à encore refuser radicalement la défaite.
    Ce film, presque trop académique et trop lisse, nous dépeint non seulement le militaire et l'homme d'état qu'était ce résident de Colombey-les-Deux-Eglises (Lambert Wilson, impeccable et plausible), mais également le père de famille avec ses trois enfants (dont une fille handicapée).
    Malgré certains bons passages (notamment avec le président du Conseil Paul Reynaud à Paris ou Winston Churchill à Londres), ce portrait manque tout de même singulièrement de punch en comparaison du très séduisant "Les Heures sombres" (2018) traitant à peu près de la même période.
    Même si les enjeux politiques sont bien sûr au centre de ce biopic, une large part est dédiée à sa femme (Isabelle Carré, étincelante une fois encore) et à son entourage, plombant un peu le rythme général.
    Instructif, mais un peu décevant au regard de l'excellent casting.
    Site cinemadourg.free.fr
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 5 mars 2020
    j'aime :
    le coté historique du biopic de De Gaulle bien retranscrit dans son ensemble
    Lambert Wilson remplit et joue très bien son rôle d'incarnation de la résistance
    Des beaux plans qui mettent bien en valeur l'atrocité de la guerre et le combat que mène De Gaulle

    j'aime pas :
    manque de profondeur et d’émotions de certains personnages ainsi que l'histoire
    des scènes pas toujours pertinentes , longues qui n'apportent que peu d’intérêt
    un final un peu abrupte
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