Note moyenne
2,6
28 titres de presse
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20 Minutes
Thor affronte un tueur de dieux et trouve une nouvelle alliée surprenante. Taika Waititi fait souffler un vent de folie sur ses aventures.
CNews
S’appuyant sur un casting 5 étoiles magnifiant un univers sombre, une œuvre réussie qui mêle humour, rebondissements, adrénaline et scènes d’actions musclées.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Aux premiers abords, on pourrait se dire que Thor : Love And Thunder se repose encore sur la formule habituelle des blockbusters Marvel (...). Et pourtant, en y regardant de plus près, on se rend compte que le résultat est bien plus fin et malin qu’on pourrait croire.
Franceinfo Culture
Sans jamais se prendre au sérieux, Thor poursuit donc son introspection de personnage complexe et attachant dans cette suite à la fois énergisante et hilarante. Toutefois, à trop miser sur le second degré, le film en oublierait presque d'être touchant, la faute à un décalage trop marqué entre l'absurdité et la tragédie.
IGN France
L'humour avant tout ! De ce côté là, c'est un sans faute côté rythme, absurdité, sarcasme, échanges dynamiques, tout est parfait, si on aime l'humour de Taika Waititi. L'émotion est présente, mais pas encore tout à fait convainquante.
Le Dauphiné Libéré
Thor : Love And Thunder est aussi le premier film Marvel à assumer d’être un film familial, intégrant les différentes formes que peut avoir la famille pour aborder une question existentielle : c’est quoi vivre ? Pas si mal pour un film supposément léger…
Le Journal du Geek
Comme un tube de l’été qui nous colle à la peau, Thor : Love and Thunder est un plaisir coupable. Une comédie romantique et héroïque qui ne dose pas toujours ses différentes inspirations, mais qui parvient à s’imprimer dans nos cervelles en mal d’évasion.
Télé Loisirs
Un divertissement efficace, qui aborde les questions du deuil et de la paternité.
Bande à part
Quatrième aventure cinématographique en solo et seconde sous la houlette de Taika Waititi, Thor : Love and Thunder est un bazar coloré, joyeux, parfois mélancolique, toujours attachant.
Ecran Large
La déroute narrative est totale, les effets spéciaux n'assurent même plus un semblant de spectacle, ni ne font oublier des personnages plus vidés que des truites sur un stand de poissonnerie. Mais Waititi lance ses dernières forces dans la bataille, jusqu'à proposer dans le dernier tiers du film un tonnerre de pop-culture encore une fois singulier.
L'Ecran Fantastique
Au bout du conte, on retombe sur les pieds d’une morale familière aux comics qui ne nous épargne pas une fin à l’eau de rose, qu’on peut aussi prendre au second degré. L’important est qu’au total la bonne humeur règne et qu’on s’y amuse bien.
Le Figaro
Ce quatrième film creuse résolument le sillon de l’autodérision, en y ajoutant une touche subversive. Et c’est sans doute cela qui en fait tout le charme.
Le Journal du Dimanche
Un gigantesque défouloir, audacieux et excessif.
Mad Movies
Thor: Love and Thunder, aussi inoffensif et maladroit soit-il, se consomme donc sans réel déplaisir.
Paris Match
Alors bien sûr, c'est joyeusement inconséquent et ça n'a plus le charme des premiers films de la saga, quand Marvel nous offrait du jamais-vu, mais «Thor : Love & Thunder» reste un divertissement idéal pour l'été et les fortes chaleurs.
Télé 7 Jours
Un western cosmique inégal donc, dont l’univers kitsch et trop numérisé agresse parfois la rétine, et qui carbure néanmoins au fun et jouit d’un scénario malin.
La Voix du Nord
Délirant, potache, mais au final pas très passionnant.
Le Parisien
Parodique à l’extrême et relevant de la mauvaise blague, cette nouvelle production Marvel ne fait pas beaucoup rire et ridiculise ses super-héros.
Les Fiches du Cinéma
Ce quatrième volet, signé pour la seconde fois par Taika Waititi, perd inexplicablement en verve et en talent.
Libération
On étouffe devant un film qui va nulle part et partout.
Première
Mais, peut-être vous dites-vous à juste titre, le problème avec Love and Thunder ne serait pas un problème de fan de comics ? Non, car ce qui cloche avec le film est un gros problème d'écriture de cinéma : celle du film est lourde comme du plomb.
Télérama
Le tout servi, telle une ratatouille à la fois savoureuse et indigeste, dans un grand éloge de l’amour (parce que vraiment, c’est mieux que la haine). Bref, un Thor partagé.
CinemaTeaser
On ne rit plus avec le film, on rit du film. Pire, on s’en désole.
Le Point
Humour usé, effets spéciaux médiocres, héros dévitalisé… Plus enclume que marteau, cet indigeste 4e volet, d’un ennui foudroyant, avilit la légende.
Les Echos
« Thor : Love and Thunder » ressemble moins à une adaptation de bande dessinée qu'à l'équivalent sur grand écran des spectaculaires combats de catch américains. Tel un gamin lassé d'un jouet, l'auteur de « Jojo Rabbit » ne sait plus que faire de son blond héros.
Les Inrockuptibles
Alors qu’il avait tout un background digne d’une grande tragédie, Thor est devenu le personnage le plus détestable du MCU : un grand clown bas du front qui prend trop de place.
Ouest France
Christian Bale en grand méchant tourmenté ne réussit pas à sauver le nouveau Thor : Love and Thunder, blockbuster désinvolte et paresseux.
Positif
Waititi avait réussi dans Thor : Ragnarok à cumuler récit d’heroic fantasy bigger than life et sens de la dérision, mais ici tout tombe à plat [...].