Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Les performances de Chadwick Boseman et de Viola Davis font de cette adaptation d’August Wilson du cinéma-géant.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
« Ma » Rainey est l’une des premières chanteuses de blues américaines. Le temps d’un enregistrement de celle qu’on appelait la « Mère du Blues », dans un studio de Chicago, Chadwick Boseman, décédé cet été, livre sa dernière performance. Inoubliable.
La critique complète est disponible sur le site Dernières Nouvelles d'Alsace
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
C’est cru, à vif, intelligent, séduisant et complètement pur.
Les Fiches du Cinéma
par Michaël Ghennam
L’histoire est un tourbillon étourdissant, où les talents d’un casting parfait peuvent s’exprimer jusqu’à une conclusion dramatique et terrassante.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
20 Minutes
par Caroline Vié
Viola Davis, royale, apporte à cette légende un cocktail de force et de vulnérabilité remarquables assorti d’une voix d’or.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CNews
par La rédaction
On ne voit que Chadwick Boseman dans ce long-métrage, dont la mise en scène rappelle un huis-clos théâtral entrecoupé de passages musicaux conçus par le saxophoniste aux deux Grammy Awards, Branford Marsalis.
La critique complète est disponible sur le site CNews
GQ
par Adam Sanchez
Le film, bien que passionnant, aurait aussi gagné à se laisser porter par un peu plus de folie.
La critique complète est disponible sur le site GQ
Le Figaro
par Olivier Delcroix
Un huis clos poignant en forme de duel musical et générationnel sur fond de crispation raciale.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Thomas Sotinel
Magnifiquement et outrageusement maquillée, les dents recouvertes de métal, Viola Davis va à chaque scène un peu plus loin dans l’outrance sans jamais perdre de vue la vérité du personnage, que garantit la justesse du texte de Wilson.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par La Rédaction
Adapté d'une pièce de théâtre américaine, « Le Blues de Ma Rainey » est presque un huis clos, porté par une mise en scène et des dialogues soignés et des acteurs ultra-charismatiques.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Ecran Large
par Alexandre Janowiak
En ne réussissant jamais à s'affranchir de son atmosphère théâtrale, Le Blues de Ma Rainey vaut essentiellement pour l'ultime performance transcendante de Chadwick Boseman.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Malgré le format du huis clos statique et verbeux, [Chadwick Boseman] s'investit à fond dans ce personnage qui entend s'affranchir de son traumatisme pour vivre son ambition. Faisant preuve d'une incroyable énergie, il se livre à un monologue impressionnant d'intensité lors d'une scène clé.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Ouest France
par Thierry Chèze
Impressionnant mais trop théâtral.
La critique complète est disponible sur le site Ouest France
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Cette adaptation d'une pièce d'August Wilson reste assez théâtrale... à dessein. Ici, la puissance du texte, dénonçant la violence de la ségrégation, l'emporte.
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Hélas, le résultat est d'un académisme vieillot très relou. Jamais G.C. Wolfe ne parvient à donner vie à la pièce de Wilson, qui paraît très didactique, démonstrative et répétitive. Les acteurs en font des tonnes... Dommage.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
CinemaTeaser
Les performances de Chadwick Boseman et de Viola Davis font de cette adaptation d’August Wilson du cinéma-géant.
Dernières Nouvelles d'Alsace
« Ma » Rainey est l’une des premières chanteuses de blues américaines. Le temps d’un enregistrement de celle qu’on appelait la « Mère du Blues », dans un studio de Chicago, Chadwick Boseman, décédé cet été, livre sa dernière performance. Inoubliable.
Le Dauphiné Libéré
C’est cru, à vif, intelligent, séduisant et complètement pur.
Les Fiches du Cinéma
L’histoire est un tourbillon étourdissant, où les talents d’un casting parfait peuvent s’exprimer jusqu’à une conclusion dramatique et terrassante.
20 Minutes
Viola Davis, royale, apporte à cette légende un cocktail de force et de vulnérabilité remarquables assorti d’une voix d’or.
CNews
On ne voit que Chadwick Boseman dans ce long-métrage, dont la mise en scène rappelle un huis-clos théâtral entrecoupé de passages musicaux conçus par le saxophoniste aux deux Grammy Awards, Branford Marsalis.
GQ
Le film, bien que passionnant, aurait aussi gagné à se laisser porter par un peu plus de folie.
Le Figaro
Un huis clos poignant en forme de duel musical et générationnel sur fond de crispation raciale.
Le Monde
Magnifiquement et outrageusement maquillée, les dents recouvertes de métal, Viola Davis va à chaque scène un peu plus loin dans l’outrance sans jamais perdre de vue la vérité du personnage, que garantit la justesse du texte de Wilson.
Le Parisien
Adapté d'une pièce de théâtre américaine, « Le Blues de Ma Rainey » est presque un huis clos, porté par une mise en scène et des dialogues soignés et des acteurs ultra-charismatiques.
Ecran Large
En ne réussissant jamais à s'affranchir de son atmosphère théâtrale, Le Blues de Ma Rainey vaut essentiellement pour l'ultime performance transcendante de Chadwick Boseman.
Le Journal du Dimanche
Malgré le format du huis clos statique et verbeux, [Chadwick Boseman] s'investit à fond dans ce personnage qui entend s'affranchir de son traumatisme pour vivre son ambition. Faisant preuve d'une incroyable énergie, il se livre à un monologue impressionnant d'intensité lors d'une scène clé.
Ouest France
Impressionnant mais trop théâtral.
Télé 7 Jours
Cette adaptation d'une pièce d'August Wilson reste assez théâtrale... à dessein. Ici, la puissance du texte, dénonçant la violence de la ségrégation, l'emporte.
Les Inrockuptibles
Hélas, le résultat est d'un académisme vieillot très relou. Jamais G.C. Wolfe ne parvient à donner vie à la pièce de Wilson, qui paraît très didactique, démonstrative et répétitive. Les acteurs en font des tonnes... Dommage.