Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
Voici
par La Rédaction
Pour incarner cette figure ambiguë, Jean-Pierre Améris a choisi son héros des Emotifs anonymes, au risque d'atténuer la terrifiante et bouleversante noirceur du roman. Mais l'ambiguïté sied à Benoît Poelvoorde.
CNews
par La rédaction
Moins sombre que l'ouvrage, le film n'en demeure pas moins une évocation sensible des relations entre un père et son fils. L'ambiguïté du rôle de chef de famille, aussi loufoque que dérangeant, convient parfaitement au talent de Benoit Poelvoorde, et la performance de Jules Lefebvre dans la peau du jeune Emile est à saluer.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Benoît Poelvoorde fait peur, puissant dans ce rôle du père monstrueux en proie à une folie imprévisible, une violence habituelle, un complotisme délirant.
Femme Actuelle
par La Rédaction
Poelvoorde règne en maître sur ce petit cauchemar intime, oppressant, cruel...
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
L’enfant qui avait cru être le fils d’un héros qui était en fait un salaud, c’est Jules Lefebvre : il se glisse avec naturel dans cette enfance avec histoires, écartelée entre l’amour et la peur.
Le Parisien
par Yves Jaeglé
Benoît Poelvoorde livre à nouveau une prestation exceptionnelle.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Margherita Gera
Réflexion sur le thème du déni du réel, le nouveau film de Jean-Pierre Améris met en scène avec justesse les paradoxes d’une relation père-fils.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Un long métrage étrange et attachant.
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
À partir du récit homonyme de Sorj Chalandon, Jean-Pierre Améris signe un film subtil, tout en sensibilité, sur les dommages collatéraux causés par la folie d’un parent.
Télé Loisirs
par Émilie Meunier
Poignant.
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Le film retrace assez bien les terreurs d'enfant, cette période où tout semble mystérieux, irréel. L'élève poste des lettres en douce, sympathise avec un copain pied-noir. La folie lui paraît naturelle.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Cette adaptation navigue entre gravité et légèreté, Améris filmant à hauteur de son jeune héros embarqué dans les délires de son paternel. Le contraste, à l'image du père incarné par Benoît Poelvoorde, inquiétant, loufoque et pathétique, peut dérouter les lecteurs, mais le récit fonctionne bien à l'écran.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Positif
par Ariane Allard
[Un] film qui met un peu de temps à choisir, par ailleurs, entre le conte drolatique, presque tendre, et la folle tragédie.
L'Obs
par Nicolas Schaller
(...) un (télé) film d’une fadeur déconcertante, filmant aussi platement l’incompréhension émerveillée du gamin (Jules Lefebvre, remarquable), les accès de violence du tyran ordinaire (Benoît Poelvoorde, monocorde) et la résignation de la mère (Audrey Dana).
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Mais le malaise l’emporte devant cette fantaisie forcée, incarnée par Benoît Poelvoorde dans un registre qui lui est familier. Elle finit par faire écho au déni maternel face à la psychose du père.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Claquemuré dans la cuisine d'un décor sixties, le film manque un peu de consistance.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Si le film aborde les effets du stress post-traumatique dans les rapports familiaux avec intelligence, la mise en scène poussive et parfois caricaturale génère l’agacement du spectateur.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Libération
par Sandra Onana
Trop pénible pour s’adresser aux enfants, trop dénué de profondeur de champ pour passionner un adulte, le film n’excède jamais son synopsis et tout y est résolument dur à avaler.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Thierry Chèze
Après deux loupés (Une famille à louer et Je vais mieux), le réalisateur du si délicat Les Emotifs anonymes paraît comme en convalescence cinématographique. S’attaquer à une œuvre aussi complexe était sans doute à ce moment de son parcours un Everest un peu trop imposant pour lui.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Samuel Douhaire
Un sujet en or pour le cinéma, lui-même puissant générateur de fiction et de fantasmes pour mieux supporter le réel — ou s’en affranchir. Mais, malgré la qualité de la reconstitution historique, malgré le talent du jeune acteur Jules Lefebvre, l’adaptation soignée de Jean-Pierre Améris ne convainc pas.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
Pour incarner cette figure ambiguë, Jean-Pierre Améris a choisi son héros des Emotifs anonymes, au risque d'atténuer la terrifiante et bouleversante noirceur du roman. Mais l'ambiguïté sied à Benoît Poelvoorde.
CNews
Moins sombre que l'ouvrage, le film n'en demeure pas moins une évocation sensible des relations entre un père et son fils. L'ambiguïté du rôle de chef de famille, aussi loufoque que dérangeant, convient parfaitement au talent de Benoit Poelvoorde, et la performance de Jules Lefebvre dans la peau du jeune Emile est à saluer.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Benoît Poelvoorde fait peur, puissant dans ce rôle du père monstrueux en proie à une folie imprévisible, une violence habituelle, un complotisme délirant.
Femme Actuelle
Poelvoorde règne en maître sur ce petit cauchemar intime, oppressant, cruel...
Le Dauphiné Libéré
L’enfant qui avait cru être le fils d’un héros qui était en fait un salaud, c’est Jules Lefebvre : il se glisse avec naturel dans cette enfance avec histoires, écartelée entre l’amour et la peur.
Le Parisien
Benoît Poelvoorde livre à nouveau une prestation exceptionnelle.
Les Fiches du Cinéma
Réflexion sur le thème du déni du réel, le nouveau film de Jean-Pierre Améris met en scène avec justesse les paradoxes d’une relation père-fils.
Ouest France
Un long métrage étrange et attachant.
Télé 7 Jours
À partir du récit homonyme de Sorj Chalandon, Jean-Pierre Améris signe un film subtil, tout en sensibilité, sur les dommages collatéraux causés par la folie d’un parent.
Télé Loisirs
Poignant.
Le Figaro
Le film retrace assez bien les terreurs d'enfant, cette période où tout semble mystérieux, irréel. L'élève poste des lettres en douce, sympathise avec un copain pied-noir. La folie lui paraît naturelle.
Le Journal du Dimanche
Cette adaptation navigue entre gravité et légèreté, Améris filmant à hauteur de son jeune héros embarqué dans les délires de son paternel. Le contraste, à l'image du père incarné par Benoît Poelvoorde, inquiétant, loufoque et pathétique, peut dérouter les lecteurs, mais le récit fonctionne bien à l'écran.
Positif
[Un] film qui met un peu de temps à choisir, par ailleurs, entre le conte drolatique, presque tendre, et la folle tragédie.
L'Obs
(...) un (télé) film d’une fadeur déconcertante, filmant aussi platement l’incompréhension émerveillée du gamin (Jules Lefebvre, remarquable), les accès de violence du tyran ordinaire (Benoît Poelvoorde, monocorde) et la résignation de la mère (Audrey Dana).
La Croix
Mais le malaise l’emporte devant cette fantaisie forcée, incarnée par Benoît Poelvoorde dans un registre qui lui est familier. Elle finit par faire écho au déni maternel face à la psychose du père.
Le Monde
Claquemuré dans la cuisine d'un décor sixties, le film manque un peu de consistance.
aVoir-aLire.com
Si le film aborde les effets du stress post-traumatique dans les rapports familiaux avec intelligence, la mise en scène poussive et parfois caricaturale génère l’agacement du spectateur.
Libération
Trop pénible pour s’adresser aux enfants, trop dénué de profondeur de champ pour passionner un adulte, le film n’excède jamais son synopsis et tout y est résolument dur à avaler.
Première
Après deux loupés (Une famille à louer et Je vais mieux), le réalisateur du si délicat Les Emotifs anonymes paraît comme en convalescence cinématographique. S’attaquer à une œuvre aussi complexe était sans doute à ce moment de son parcours un Everest un peu trop imposant pour lui.
Télérama
Un sujet en or pour le cinéma, lui-même puissant générateur de fiction et de fantasmes pour mieux supporter le réel — ou s’en affranchir. Mais, malgré la qualité de la reconstitution historique, malgré le talent du jeune acteur Jules Lefebvre, l’adaptation soignée de Jean-Pierre Améris ne convainc pas.