Ça commence bien, bon casting, bonne intro et puis ça se complique, mise en scène lourde, scénario qui s'embourbe, qui se complique pour rien, trop de dialogue et au final un film beaucoup trop long.
En ces temps de disette cinématographique, j'ai été agréablement surpris par ce film, bien joué, l'histoire est prenante, rythmée et le dénouement plutôt inattendu. Je conseille
A l'écran et à la production Dustin Hoffmann apparaît dans ce thriller italien plutôt malin où le ravisseur porte une tête de lapin. En suivant en parallèle deux enquêteurs aux méthodes opposées les réalisateurs plongent les spectateurs dans un labyrinthe scénaristique dans lequel ils ont toutes les chances d'être engloutis. Avec une belle cinématographie, tout en clair obscur, avec des teintes qui peuvent rappeler les grandes heures du "giallo" ce film plaira aux amateurs de tiroirs et d'énigmes.
Semble déroutant au début, on se laisse toutefois emporter par son ambiance étrange, mystérieuse aux fils du temps qui passe ! On se remet sans cesse en question.. (Qu'est-ce qui est vrai? Comment ? Quoi ? Qu'est-ce ?) Mais je ne me suis pas ennuyé du début à la fin. Les acteurs principaux sont charismatique, et la BO plutôt jolie! Reste que le scénario reste à être éclairci me concernant. Mais s'est ce qui fais sa grande force pour moi! A voir !
Un chef d'œuvre adapté pour moi ne peut toujours faire qu'un chef d'œuvre cinématographique. Le cinéma italien est vraiment exceptionnel ces dernières années, surpassant tous les autres cinémas du monde. A voir aussi Martin Éden, film Italien encore, chef d'œuvre absolu, aussi, et très viscontinesque ! Ce film, pour le coup, a son petit côté très Lyncheén. Ce film ravira tous ses fans.
Je suis un peu resté sur ma faim ou tout simplement reste perdu dans le labyrinthe. A force de circonvolutions, ce n est pas la complexité mais l incohérence d événements... qui nous égare, ça aurait été plus intéressant de rendre un peu plus accessible l intrigue surtout sur la fin. J ai trouvé Dustin Hoffmann décevant dans ce film. Ça commence plutôt bien, néanmoins peut-être à force de longueur la tension s evapore pour presque tendre vers l ennuie, c est fâcheux pour ce type de film. Donc au global un résultat assez nuancé d une histoire originale par une réalisation trop alambiquée et un jeu d acteurs variables.
Le twist final nous libère d'une angoisse existentielle : jusqu'aux dernières minutes on a l'impression de ne rien comprendre. On s'aperçoit que les méandres choisis sont artificiels pour nous perdre dans un vrai labyrinthe. Dustin est irritant avec son masque de docteur imbécile. Tout est bizarrement surligné : le bureau des personnes disparues, l'énigme du bonnet de lapin, le cube à jeux,... 2 heures d'égarement!
Mon dieu mais quel ennui !! Fan de la première heure de Donato Carrisi j'avais hâte de découvrir l'adaptation de "L'égarée" mais si ce n'était pas le roman que j'avais préféré. Mais pour le film c'est bien simple, j'ai tout détesté ! À commencer par l'actrice principale que j'ai trouvé insupportable à regarder jouer ! spoiler: Quand elle regarde le Dr Green avec ses gros yeux noirs que c'était mal joué, comme tout son jeu d'acteur d'ailleurs
Je n'ai pas du tout reconnu les personnages du livre. Beaucoup de moment important sont complètement oublié, les scènes s'enchaînent sans qu'on comprenne comment on en est arrivé là. Pour les décors rien à sauver non plus, ça ne va pas du tout. Même Dustin Hoffman joue mal, c'est dire ! Une fois arrivé à la fin je suis resté à fixé l'écran 30 secondes en me demandant qu'est ce que c'était ce film, pire une série z, que je venais de voir.
Enfin bref, Mr Carrisi ferait mieux de s'en tenir à écrire des livres plutôt que de les adapter... Et même si j'adore Le Chuchoteur que j'ai lu plusieurs fois, j'espère qu'il ne sera pas adapté pour finir en bouse comme L'égarée ! spoiler: Et encore moins si on a droit à la Milla Vasquez de ce film
Le romancier italien Donato Carrisi adapte pour le cinéma « L'Egarée », son best-seller horrifique, et dirige deux grands acteurs : Dustin Hoffman et Toni Servillo. Résultat bien décevant. Enlevée par un mystérieux kidnappeur alors qu'elle n'était qu'une adolescente, Sandra retrouve la liberté quinze ans plus tard et ne garde aucun souvenir de l'interminable calvaire qu'elle a subi. Un criminologue à son chevet (Dustin Hoffman) et un détective privé condamné par la maladie (Toni Servillo) cherchent en parallèle à démêler les noeuds de l'intrigue… Le romancier italien Donato Carrisi a triomphé en librairie en 2017 avec « L'Egarée », un roman qui oscille entre l'épouvante et le thriller psychologique. Sentences assommantes
En adaptant lui-même son livre pour le grand écran sous le titre « L'Homme du labyrinthe », Carrisi n'échappe malheureusement pas aux pièges qui menaçaient son entreprise : surenchères grand-guignol en tout genre, sentences assommantes (« L'animal le plus dur à attraper, c'est l'homme », médite le criminologue les sourcils froncés), et récit improbable qui s'étire sur plus de deux heures. Seuls les fans inconditionnels des deux grands comédiens réunis par le cinéaste ont des raisons de s'égarer en leur compagnie dans ce triste labyrinthe