Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
Le Parisien
par La Rédaction
Enlevé, très graphique et bourré de références à la BD, le film multiplie les scènes somptueuses, mises en scène et éclairées de façon stupéfiante.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Ouest France
par La Rédaction
Un film noir à l'esthétique sublime qui est plus qu'un beau livre d'images grâce à l'interprétation phénoménale de Toni Servillo.
Rolling Stone
par Xavier Bonnet
Adaptation d’une célèbre bande dessinée italienne, 5 est le numéro parfait se révèle tout aussi jouissif sur grand écran.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Transfuge
par Frédéric Mercier
[...] belle adaptation par Igort lui-même de son propre roman graphique paru il y a quinze ans.
Télérama
par Stéphane Jarno
Extrêmement stylisé, le traitement de l’image, des ombres et de la lumière doit beaucoup à l’éclectique culture picturale d’Igort, à son goût pour les toiles de Casorati ou des maîtres flamands.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Express
par Antoine Le Fur
Esthétiquement, le long-métrage est irréprochable. [...] Il convainc moins par son scénario, sans grandes surprises et souffrant de problèmes de rythme, qui revisite assez mollement la mythologie du gangster au cinéma [...].
Les Fiches du Cinéma
par Simon Hoarau
Adaptant son propre roman graphique, Igort signe un film noir crépusculaire à l’esthétique léchée et au charme suranné.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Gaël Golhen
Mais plus qu’un beau livre d’images, le film devient une déclaration d’amour au 7e art. Et ce polar maniériste ne vire jamais à l’abstraction, parce qu’il est innervé par une telle passion du cinéma de genre (de tous les genres) et porté par une interprétation tellement charnelle de Toni Servillo, qu’il vibre constamment.
La critique complète est disponible sur le site Première
Franceinfo Culture
par Pierre-Yves Grenu
Tout est élégant et stylisé dans ce film, sans doute à l’excès. L’image est là mais l’émotion reste à la porte.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Voix off, trahisons, fusillades sanglantes, tous les poncifs du genre y sont, quitte à lasser un peu.
Le Monde
par Thomas Sotinel
L’histoire d’un tueur à gages forcé de reprendre du service après l’assassinat de son fils prend le tour convenu d’un thriller hollywoodien. A ceci près que le malfrat a le regard triste de Toni Servillo et que les néons de Little Italy ont laissé la place aux autels de rue napolitains.
Positif
par Adrien Gombeaud
Durant une heure quarante, ce polar se laisse visiter comme une galerie d’art, collier de sculptures correctement moulées mais désespérément figées.
L'Obs
par François Forestier
Igort est inspiré, dit-il, par Tarkovski et Antonioni. Les deux sont morts, heureusement. Sans ça, ils seraient re-morts de rire devant cette ânerie prétentieuse.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par La Rédaction
Malgré la présence du grand Toni Servillo, on peine à s’intéresser à cet exercice de style un peu vain.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
Enlevé, très graphique et bourré de références à la BD, le film multiplie les scènes somptueuses, mises en scène et éclairées de façon stupéfiante.
Ouest France
Un film noir à l'esthétique sublime qui est plus qu'un beau livre d'images grâce à l'interprétation phénoménale de Toni Servillo.
Rolling Stone
Adaptation d’une célèbre bande dessinée italienne, 5 est le numéro parfait se révèle tout aussi jouissif sur grand écran.
Transfuge
[...] belle adaptation par Igort lui-même de son propre roman graphique paru il y a quinze ans.
Télérama
Extrêmement stylisé, le traitement de l’image, des ombres et de la lumière doit beaucoup à l’éclectique culture picturale d’Igort, à son goût pour les toiles de Casorati ou des maîtres flamands.
L'Express
Esthétiquement, le long-métrage est irréprochable. [...] Il convainc moins par son scénario, sans grandes surprises et souffrant de problèmes de rythme, qui revisite assez mollement la mythologie du gangster au cinéma [...].
Les Fiches du Cinéma
Adaptant son propre roman graphique, Igort signe un film noir crépusculaire à l’esthétique léchée et au charme suranné.
Première
Mais plus qu’un beau livre d’images, le film devient une déclaration d’amour au 7e art. Et ce polar maniériste ne vire jamais à l’abstraction, parce qu’il est innervé par une telle passion du cinéma de genre (de tous les genres) et porté par une interprétation tellement charnelle de Toni Servillo, qu’il vibre constamment.
Franceinfo Culture
Tout est élégant et stylisé dans ce film, sans doute à l’excès. L’image est là mais l’émotion reste à la porte.
Le Journal du Dimanche
Voix off, trahisons, fusillades sanglantes, tous les poncifs du genre y sont, quitte à lasser un peu.
Le Monde
L’histoire d’un tueur à gages forcé de reprendre du service après l’assassinat de son fils prend le tour convenu d’un thriller hollywoodien. A ceci près que le malfrat a le regard triste de Toni Servillo et que les néons de Little Italy ont laissé la place aux autels de rue napolitains.
Positif
Durant une heure quarante, ce polar se laisse visiter comme une galerie d’art, collier de sculptures correctement moulées mais désespérément figées.
L'Obs
Igort est inspiré, dit-il, par Tarkovski et Antonioni. Les deux sont morts, heureusement. Sans ça, ils seraient re-morts de rire devant cette ânerie prétentieuse.
Le Figaro
Malgré la présence du grand Toni Servillo, on peine à s’intéresser à cet exercice de style un peu vain.