Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
33 critiques presse
Bande à part
par Anne-Claire Cieutat
Audrey Diwan ne perd jamais de vue son enjeu : celui de nous faire éprouver, de l’intérieur, ce que vit sa protagoniste. Elle ne cède à aucune afféterie, dépouille ses images, sculpte le relief de ses sons, et fait jaillir ce que le cinéma peut offrir de mieux : la possibilité d’une empathie, pour revenir, à l’issue du générique de fin, à la lumière du jour plus riche et plus ouvert.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
CinemaTeaser
par Renan Cros
Un geste de cinéma esthétique et politique qui met K.O.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Un choc émotionnel porté par une révélation : la comédienne Anamaria Vartolomei.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Un Lion d'Or à Venise amplement mérité pour ce film coup de poing.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
par Margherita Gera
Audrey Diwan signe un film extrêmement juste dans sa dureté, qui à la morale obtuse d’une société emprisonnant le corps des femmes oppose un regard libre et sans crainte.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Marie Claire
par Emily Barnett
Un récit au cordeau, puissant et viscéral.
Ouest France
par Thierry Chèze
Un film choc porté par l'exceptionnelle composition d'Anamaria Vartolomei.
Télé Loisirs
par Claire Picard
Une expérience percutante, bouleversante, inoubliable.
Voici
par La Rédaction
Un drame viscéral, à la distribution exceptionnelle.
20 Minutes
par Caroline Vié
Anamaria Vartolomei incarne avec un aplomb ahurissant une jeune étudiante en Lettres des années 1960 qui tombe enceinte et se retrouve sans personne vers qui se tourner quand elle décide d’avorter.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Closer
par La Rédaction
L'Evénement est un film coup de poing et coup de coeur.
Culturopoing.com
par Bénédicte Prot
Audrey Diwan arrive à recréer sans le texte, avec les instruments du cinéma, les attitudes que l'écrivaine commentait et analysait, et en permettant au spectateur de les observer selon la même perspective, elle le laisse restituer seul la réflexion qu'elles appellent.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Annie Ernaux a raconté dans son livre, L’Événement , l’avortement clandestin qu’elle avait subi en 1964. Audrey Diwan adapte ce roman avec brio.
Ecran Large
par Alexandre Janowiak
Avec un dispositif sobre et millimétré, Audrey Diwan capte avec force l'anxiogène et étouffante bataille de son héroïne en muant, peu à peu, son drame social en film de résistance : celle d'une femme livrée à elle-même. Un véritable uppercut.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Humanité
par Michaël Melinard
Il y a, dans « l’Événement », un peu des Dardenne de « Rosetta » et du « Fils », de la caméra collée aux basques du « Fils de Saul », de Laszlo Nemes, et des accents émancipateurs qu’on retrouve chez Agnès Varda ou dans les premiers films de Chloé Zhao.
L'Obs
par Sophie Grassin
Un peu flottant quand il se contente de coller aux déambulations d’Anne, le film gagne la partie grâce à sa crudité, sa frontalité. A sa façon de se dissoudre « dans la tête et la vie des autres », comme l’écrivait Annie Ernaux. Puissamment politique, il vient rappeler que la bataille de l’avortement continue de faire rage.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Audrey Diwan met en scène cette solitude, cette douleur, cette souffrance. Le corps au supplice, pour avorter, la peur au ventre, de cette grossesse non désirée. L’Événement saisit d’effroi, d’angoisse, de terreur : l’avortement clandestin est une épreuve.
Le Figaro
par Etienne Sorin
Audrey Diwan parle de cinéma «immersif», argument marketing dans l’air du temps. Son film est plus fin que ça. Il empêche de détourner le regard et cela suffit pour éprouver un peu la peur et la détresse d’une jeune fille des années 1960.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Clarisse Fabre
L'actrice franco-roumaine Anamaria Vartolomei incarne avec urgence et retenue une jeune femme à double-fond (...).
Le Parisien
par Yves Jaeglé
Audrey Diwan, coscénariste de « Bac Nord », parvient à faire de « L’Événement » un film pas du tout littéraire ni lent, d’une efficacité qui ne vous laisse pas respirer, ce qui est une gageure quand on a lu le récit d’Annie Ernaux, pratiquement sans dialogues, et qui agrège ses souvenirs d’étudiante, ses carnets de l’époque, et le regard de la femme qu’elle est devenue.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Baudouin Eschapasse
Mais la beauté plastique du film d’Audrey Diwan et le jeu intense de l’actrice qu’elle y dirige, Anamaria Vartolomei, rendent cette récompense suprême parfaitement méritée.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Echos
par Olivier De Bruyn
La cinéaste Audrey Diwan signe avec « L'Evénement » un éloge de l'émancipation qui ne s'oubliera pas de sitôt.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
C’est précisément cet effet de jaillissement, d’apparition défini par le mot “événement”, que vise le film. On n’en sort pas indemne, avec, au cœur et au ventre, la sensation d’avoir vu, effectivement, quelque chose surgir de l’écran.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Laura Tuillier
Un récit d’affranchissement magnifié par l’actrice Anamaria Vartolomei.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Fabien Baumann
Opiniâtre, le scénario chemine vers son inexorable dénouement, humainement dégueulasse et cinématographiquement remarquable, en prenant soin de ne pas verser dans le manichéisme : qui rejettera la pauvre Anne, qui la secourra n’est en rien prévisible.
Première
par Thomas Baurez
Trois ans après Mais vous êtes fous, où là encore la menace venait de l’intérieur même d’un corps, Audrey Diwan signe un survival tendu où l’enjeu ne repose pas seulement les faits relatés mais sur l’élan qui rend une résistance à l’ordre établi possible.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Sophie Avon
Audrey Diwan saisit l’universalité de son sujet en s’en tenant au texte et à ce qu’il pointe : la souffrance d’une personne en construction. A laquelle s’ajoute la liberté de disposer de son désir, si durement acquise et jamais garantie.
Télé 7 Jours
par Laurent Djian
Interprété par une Anamaria Vartolomei habitée, ce film, Lion d'or à la Mostra de Venise, apporte sa pierre à l'édifice du combat féministe.
aVoir-aLire.com
par Julien Rocher
Une œuvre à la portée politique incandescente.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Jean-Marie Samocki
La tragédie qui se déroule dans une atmosphère peu à peu poisseuse correspond tout autant à la résurrection d’un passé français refoulé qu’à la projection dystopique de ce qu’aurait pu être notre monde aujourd’hui, si le droit à l’avortement n’avait pas été conquis.
La Croix
par Céline Rouden
Dans une époque où les femmes continuent à se battre pour la maîtrise de leur destin, le film d’Audrey Diwan sonne toujours d’actualité.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Transfuge
par Frédéric Mercier
On s'ennuie devant ce Lion d'Or qui n'est certes pas raté mais fait office de représentant 2021 d'un déjà vieil académisme.
Critikat.com
par Alexandre Moussa
L’écriture visuelle du film, mécanique et impersonnelle, est animée par la croyance un peu absurde que, pour être proche des affects d’un corps, il faut l’abstraire complètement de son environnement.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Bande à part
Audrey Diwan ne perd jamais de vue son enjeu : celui de nous faire éprouver, de l’intérieur, ce que vit sa protagoniste. Elle ne cède à aucune afféterie, dépouille ses images, sculpte le relief de ses sons, et fait jaillir ce que le cinéma peut offrir de mieux : la possibilité d’une empathie, pour revenir, à l’issue du générique de fin, à la lumière du jour plus riche et plus ouvert.
CinemaTeaser
Un geste de cinéma esthétique et politique qui met K.O.
La Voix du Nord
Un choc émotionnel porté par une révélation : la comédienne Anamaria Vartolomei.
Le Journal du Dimanche
Un Lion d'Or à Venise amplement mérité pour ce film coup de poing.
Les Fiches du Cinéma
Audrey Diwan signe un film extrêmement juste dans sa dureté, qui à la morale obtuse d’une société emprisonnant le corps des femmes oppose un regard libre et sans crainte.
Marie Claire
Un récit au cordeau, puissant et viscéral.
Ouest France
Un film choc porté par l'exceptionnelle composition d'Anamaria Vartolomei.
Télé Loisirs
Une expérience percutante, bouleversante, inoubliable.
Voici
Un drame viscéral, à la distribution exceptionnelle.
20 Minutes
Anamaria Vartolomei incarne avec un aplomb ahurissant une jeune étudiante en Lettres des années 1960 qui tombe enceinte et se retrouve sans personne vers qui se tourner quand elle décide d’avorter.
Closer
L'Evénement est un film coup de poing et coup de coeur.
Culturopoing.com
Audrey Diwan arrive à recréer sans le texte, avec les instruments du cinéma, les attitudes que l'écrivaine commentait et analysait, et en permettant au spectateur de les observer selon la même perspective, elle le laisse restituer seul la réflexion qu'elles appellent.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Annie Ernaux a raconté dans son livre, L’Événement , l’avortement clandestin qu’elle avait subi en 1964. Audrey Diwan adapte ce roman avec brio.
Ecran Large
Avec un dispositif sobre et millimétré, Audrey Diwan capte avec force l'anxiogène et étouffante bataille de son héroïne en muant, peu à peu, son drame social en film de résistance : celle d'une femme livrée à elle-même. Un véritable uppercut.
L'Humanité
Il y a, dans « l’Événement », un peu des Dardenne de « Rosetta » et du « Fils », de la caméra collée aux basques du « Fils de Saul », de Laszlo Nemes, et des accents émancipateurs qu’on retrouve chez Agnès Varda ou dans les premiers films de Chloé Zhao.
L'Obs
Un peu flottant quand il se contente de coller aux déambulations d’Anne, le film gagne la partie grâce à sa crudité, sa frontalité. A sa façon de se dissoudre « dans la tête et la vie des autres », comme l’écrivait Annie Ernaux. Puissamment politique, il vient rappeler que la bataille de l’avortement continue de faire rage.
Le Dauphiné Libéré
Audrey Diwan met en scène cette solitude, cette douleur, cette souffrance. Le corps au supplice, pour avorter, la peur au ventre, de cette grossesse non désirée. L’Événement saisit d’effroi, d’angoisse, de terreur : l’avortement clandestin est une épreuve.
Le Figaro
Audrey Diwan parle de cinéma «immersif», argument marketing dans l’air du temps. Son film est plus fin que ça. Il empêche de détourner le regard et cela suffit pour éprouver un peu la peur et la détresse d’une jeune fille des années 1960.
Le Monde
L'actrice franco-roumaine Anamaria Vartolomei incarne avec urgence et retenue une jeune femme à double-fond (...).
Le Parisien
Audrey Diwan, coscénariste de « Bac Nord », parvient à faire de « L’Événement » un film pas du tout littéraire ni lent, d’une efficacité qui ne vous laisse pas respirer, ce qui est une gageure quand on a lu le récit d’Annie Ernaux, pratiquement sans dialogues, et qui agrège ses souvenirs d’étudiante, ses carnets de l’époque, et le regard de la femme qu’elle est devenue.
Le Point
Mais la beauté plastique du film d’Audrey Diwan et le jeu intense de l’actrice qu’elle y dirige, Anamaria Vartolomei, rendent cette récompense suprême parfaitement méritée.
Les Echos
La cinéaste Audrey Diwan signe avec « L'Evénement » un éloge de l'émancipation qui ne s'oubliera pas de sitôt.
Les Inrockuptibles
C’est précisément cet effet de jaillissement, d’apparition défini par le mot “événement”, que vise le film. On n’en sort pas indemne, avec, au cœur et au ventre, la sensation d’avoir vu, effectivement, quelque chose surgir de l’écran.
Libération
Un récit d’affranchissement magnifié par l’actrice Anamaria Vartolomei.
Positif
Opiniâtre, le scénario chemine vers son inexorable dénouement, humainement dégueulasse et cinématographiquement remarquable, en prenant soin de ne pas verser dans le manichéisme : qui rejettera la pauvre Anne, qui la secourra n’est en rien prévisible.
Première
Trois ans après Mais vous êtes fous, où là encore la menace venait de l’intérieur même d’un corps, Audrey Diwan signe un survival tendu où l’enjeu ne repose pas seulement les faits relatés mais sur l’élan qui rend une résistance à l’ordre établi possible.
Sud Ouest
Audrey Diwan saisit l’universalité de son sujet en s’en tenant au texte et à ce qu’il pointe : la souffrance d’une personne en construction. A laquelle s’ajoute la liberté de disposer de son désir, si durement acquise et jamais garantie.
Télé 7 Jours
Interprété par une Anamaria Vartolomei habitée, ce film, Lion d'or à la Mostra de Venise, apporte sa pierre à l'édifice du combat féministe.
aVoir-aLire.com
Une œuvre à la portée politique incandescente.
Cahiers du Cinéma
La tragédie qui se déroule dans une atmosphère peu à peu poisseuse correspond tout autant à la résurrection d’un passé français refoulé qu’à la projection dystopique de ce qu’aurait pu être notre monde aujourd’hui, si le droit à l’avortement n’avait pas été conquis.
La Croix
Dans une époque où les femmes continuent à se battre pour la maîtrise de leur destin, le film d’Audrey Diwan sonne toujours d’actualité.
Transfuge
On s'ennuie devant ce Lion d'Or qui n'est certes pas raté mais fait office de représentant 2021 d'un déjà vieil académisme.
Critikat.com
L’écriture visuelle du film, mécanique et impersonnelle, est animée par la croyance un peu absurde que, pour être proche des affects d’un corps, il faut l’abstraire complètement de son environnement.