Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
39 critiques presse
Bande à part
par Mary Noelle Dana
Si l’abus d’alcool nuit à la santé, les excès poétiques et la grâce cinématographique de "Drunk" font trôner son réalisateur, Thomas Vinterberg, au sommet de la pyramide alimentaire !
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Mads Mikkelsen trouve ici un rôle à la mesure de son incroyable justesse. Qu’il joue l’alcool triste ou gai, qu’il chute ou exulte dans une scène surréaliste de ballet aviné, il est à nouveau cet acteur au jeu dégraissé de toute vanité.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
L'Humanité
par Michèle Levieux
Un cocktail décapant, incorrect et métaphysique.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Voix du Nord
par Christophe Caron
À partir de ce postulat extravagant, Thomas Vinterberg signe le bouleversant portrait de quatre hommes accablés par les blessures qui se cachent derrière leur monotonie. Mads Mikkelsen impérial.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Signé Thomas Vinterberg, ce nouveau cru du cinéma danois est particulièrement goûteux.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Fiches du Cinéma
par Marine Quinchon
C’est l’un des meilleurs crus de ce très virtuel Festival de Cannes 2020. Avec "Drunk", le cinéaste de "Festen" et "La Chasse" signe une comédie dramatique euphorisante sur les plaisirs et les dangers de l’alcool. À consommer sans modération.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Marianne
par Olivier De Bruyn
Un film transgressif et profond.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Ouest France
par Thierry Chèze
La manière avec laquelle le Danois loue et dénonce, tout à la fois, les effets de l'alcool échappe à toute facilité moralisatrice ou provocatrice.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Entre comédie et tragédie, Thomas Vinterberg raconte la chute en enfer de quatre enseignants, emportés par la nébuleuse de l’alcool. Brillant, formidablement intelligent, et d’une force inouïe qui résiste à la tentation du moralisme.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
CNews
par La rédaction
Oscillant entre comédie et drame, [une] œuvre d’une grande intelligence [...].
La critique complète est disponible sur le site CNews
Closer
par La Rédaction
Un film enivrant porté par ce sublime fêlé qu'est Mads Mikkelsen.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Eloge de la biture et célébration de l’amitié, dans les pas de Cassavetes.
La critique complète est disponible sur le site Dernières Nouvelles d'Alsace
Ecran Large
par Simon Riaux
S'il faut un peu de temps à Thomas Vinterberg pour installer son alcoolique expérience, cette dernière finit par l'emporter dans un tourbillon d'humanité et de cinéma qui laissent le spectateur titubant et rassasié.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Elle
par Françoise Delbecq
Mads Mikkelsen réalise une performance éblouissante.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Il étudie les effets de l'alcool, leur évolution et leurs conséquences, en les différenciant selon les individus : c'est là toute l'originalité du film.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par Nicolas Schaller
(...) "Drunk" traite moins de la boisson que de notre inaptitude au bonheur. Sa réussite surprend d’autant plus que l’on n’attendait plus grand-chose de Thomas Vinterberg, qui a si souvent déçu depuis le coup d’éclat de « Festen », il y a vingt-deux ans.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
Une fable édifiante et brillantissime.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Septième Obsession
par David Ezan
"Drunk" raconte mieux que tout le reste l’amitié, non pas d’une bande de profs, mais plutôt de la bande à Vinterberg grimée en profs, et les plus belles scènes sont celles qui se jouent en équipe.
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Les acteurs Mads Mikkelsen, Thomas Bo Larsen, Lars Ranthe et Susse Wold jouent dans leur chute commune une magnifique fraternité compassionnelle laissant de côté la pénibilité du sujet de l’alcool toxique.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Thomas Vinterberg ("Festen", "La Chasse") signe un drame à vertu thérapeutique qui raconte le mal-être d'un enseignant frustré par la monotonie de son métier et de son couple, joué avec conviction et subtilité par l'excellent Mads Mikkelsen.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Sur le fond tragique de la dépendance alcoolique, voici donc unfilm enlevé, tendre et drôle, en ce qu’il suggère notamment que le vice du remède n’est pas pire que celui de la société qui le rend si impérieusement désirable.
Le Parisien
par La Rédaction
Tour à tour angoissé, joyeux, sublime et écorché, Mads Mikkelsen porte le film avec une incroyable subtilité.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Philippe Guedj
Davantage porté sur le portrait touchant de quatre hommes, moins assoiffés d'alcool que d'un nouvel élan de vie, Vinterberg livre une fable douce-amère, appelant à la célébration mais qui n'élude pas les risques réels d'un abandon à la bibine.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Grâce à son intelligence scénaristique et à sa mise en scène nerveuse, Thomas Vinterberg signe une tragicomédie existentielle qui passionne du premier au dernier plan. Au coeur de cette farce mélancolique, un immense acteur : Mads Mikkelsen.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Marie Claire
par Vincent Cocquebert
Sur un mode mi-tragique, mi-burlesque, le réalisateur danois nous raconte à nouveau, vingt-deux ans après "Festen", une fête qui tourne mal.
Positif
par Jean-Dominique Nuttens
Loin de tout dogme, Vinterberg laisse les émotions s’imposer à chaque instant, qu’elles conduisent au rire ou à une tristesse infinie.
Transfuge
par Frédéric Mercier
"Drunk" réussit le pari d’être fidèle à l’idée qu’il défend sans aucune lourdeur démonstrative : c’est un film joyeux et chaleureux sur les bienfaits de l’ivresse. C’est aussi une comédie, parfois potache, sur nos angoisses et notre difficulté à vivre ensemble.
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
Une comédie vivifiante et régressive.
Télérama
par Jérémie Couston
Le réalisateur de Festen s’amuse, ni moralisateur, ni inconséquent.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par Daniel Blois
L'étude, humaine comme sociologique, est fine.
Culturopoing.com
par Guillaume Goujet
C'est finalement sous l'angle politique que le film déploie une énergie vivifiante, sur un registre à la fois drôle et tragique qui invite à la réflexion.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Femme Actuelle
par Sabrina Nadjar
Le réalisateur de Festen filme la dérive de quatre amis qui décident de ne plus vivre que dans l’ivresse. De ce point de départ un peu fumeux, découlent des passages aux textures variées, souvent cocasses, parfois pitoyables.
Paris Match
par Yannick Vely
C'est peut-être la limite de "Drunk", cette maîtrise totale de la narration qui donne à chaque personnage une partition sur-mesure quand nous aurions aimé plus de démesure et de rebondissements.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Christophe Narbonne
Vinterberg est cependant roublard : Drunk n’est pas un clip édifiant de la Sécurité routière ; le réalisateur danois condamne et loue les vertus de l’alcool dans un même élan transgressif, renforcé par une mise en scène euphorisante qui met les jeunes et les vieux dans le même panier.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Sophie Avon
Le film n’évite pas les écueils : incontournables disputes conjugales et autres renoncements liés à l’âge ; mais il offre une leçon de vie qui sans être un encouragement à l’ivresse, interroge nos sociétés aseptisées.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Critikat.com
par Hugo Matthias
Fable sans morale, Drunk s'achève sur un numéro d'équilibriste assez représentatif de ses limites.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Au début, c’est assez drôle. On ne vous racontera pas la suite, mais tout va évidemment dégénérer (ce qui n’était pas difficile à deviner).Y compris dans le récit de Vinterberg, qui n’a pas le culot de Von Trier et va bientôt mettre de côté le potentiel explosif et anarchiste de son sujet pour suivre un peu maladroitement les rails de la psychologie et de la morale les plus convenues.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Elisabeth Franck-Dumas
Si quelques scènes font rire [...], un ennui tenace s’installe, et l’on ne sait trop, au finale, ce que Vinterberg aura voulu dire avec cette bromance datée, hormis sans doute que l’alcool c’est bien mais pas trop, et que la vie c’est dur mais surtout pour les hommes.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Cahiers du Cinéma
par Alice Leroy
L’ivresse chez Vinterberg n’est pas conn plus comme chez Ferreri une contestation radicale de l’ordre moral, une satire de la bienséance bourgeoise, un nihilisme carnavalesque jouant l’indécence et la déchéance contre le conformisme politique et social. Elle est un renoncement, une défaite sans éclat.
Bande à part
Si l’abus d’alcool nuit à la santé, les excès poétiques et la grâce cinématographique de "Drunk" font trôner son réalisateur, Thomas Vinterberg, au sommet de la pyramide alimentaire !
CinemaTeaser
Mads Mikkelsen trouve ici un rôle à la mesure de son incroyable justesse. Qu’il joue l’alcool triste ou gai, qu’il chute ou exulte dans une scène surréaliste de ballet aviné, il est à nouveau cet acteur au jeu dégraissé de toute vanité.
L'Humanité
Un cocktail décapant, incorrect et métaphysique.
La Voix du Nord
À partir de ce postulat extravagant, Thomas Vinterberg signe le bouleversant portrait de quatre hommes accablés par les blessures qui se cachent derrière leur monotonie. Mads Mikkelsen impérial.
Le Figaro
Signé Thomas Vinterberg, ce nouveau cru du cinéma danois est particulièrement goûteux.
Les Fiches du Cinéma
C’est l’un des meilleurs crus de ce très virtuel Festival de Cannes 2020. Avec "Drunk", le cinéaste de "Festen" et "La Chasse" signe une comédie dramatique euphorisante sur les plaisirs et les dangers de l’alcool. À consommer sans modération.
Marianne
Un film transgressif et profond.
Ouest France
La manière avec laquelle le Danois loue et dénonce, tout à la fois, les effets de l'alcool échappe à toute facilité moralisatrice ou provocatrice.
aVoir-aLire.com
Entre comédie et tragédie, Thomas Vinterberg raconte la chute en enfer de quatre enseignants, emportés par la nébuleuse de l’alcool. Brillant, formidablement intelligent, et d’une force inouïe qui résiste à la tentation du moralisme.
CNews
Oscillant entre comédie et drame, [une] œuvre d’une grande intelligence [...].
Closer
Un film enivrant porté par ce sublime fêlé qu'est Mads Mikkelsen.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Eloge de la biture et célébration de l’amitié, dans les pas de Cassavetes.
Ecran Large
S'il faut un peu de temps à Thomas Vinterberg pour installer son alcoolique expérience, cette dernière finit par l'emporter dans un tourbillon d'humanité et de cinéma qui laissent le spectateur titubant et rassasié.
Elle
Mads Mikkelsen réalise une performance éblouissante.
Franceinfo Culture
Il étudie les effets de l'alcool, leur évolution et leurs conséquences, en les différenciant selon les individus : c'est là toute l'originalité du film.
L'Obs
(...) "Drunk" traite moins de la boisson que de notre inaptitude au bonheur. Sa réussite surprend d’autant plus que l’on n’attendait plus grand-chose de Thomas Vinterberg, qui a si souvent déçu depuis le coup d’éclat de « Festen », il y a vingt-deux ans.
La Croix
Une fable édifiante et brillantissime.
La Septième Obsession
"Drunk" raconte mieux que tout le reste l’amitié, non pas d’une bande de profs, mais plutôt de la bande à Vinterberg grimée en profs, et les plus belles scènes sont celles qui se jouent en équipe.
Le Dauphiné Libéré
Les acteurs Mads Mikkelsen, Thomas Bo Larsen, Lars Ranthe et Susse Wold jouent dans leur chute commune une magnifique fraternité compassionnelle laissant de côté la pénibilité du sujet de l’alcool toxique.
Le Journal du Dimanche
Thomas Vinterberg ("Festen", "La Chasse") signe un drame à vertu thérapeutique qui raconte le mal-être d'un enseignant frustré par la monotonie de son métier et de son couple, joué avec conviction et subtilité par l'excellent Mads Mikkelsen.
Le Monde
Sur le fond tragique de la dépendance alcoolique, voici donc unfilm enlevé, tendre et drôle, en ce qu’il suggère notamment que le vice du remède n’est pas pire que celui de la société qui le rend si impérieusement désirable.
Le Parisien
Tour à tour angoissé, joyeux, sublime et écorché, Mads Mikkelsen porte le film avec une incroyable subtilité.
Le Point
Davantage porté sur le portrait touchant de quatre hommes, moins assoiffés d'alcool que d'un nouvel élan de vie, Vinterberg livre une fable douce-amère, appelant à la célébration mais qui n'élude pas les risques réels d'un abandon à la bibine.
Les Echos
Grâce à son intelligence scénaristique et à sa mise en scène nerveuse, Thomas Vinterberg signe une tragicomédie existentielle qui passionne du premier au dernier plan. Au coeur de cette farce mélancolique, un immense acteur : Mads Mikkelsen.
Marie Claire
Sur un mode mi-tragique, mi-burlesque, le réalisateur danois nous raconte à nouveau, vingt-deux ans après "Festen", une fête qui tourne mal.
Positif
Loin de tout dogme, Vinterberg laisse les émotions s’imposer à chaque instant, qu’elles conduisent au rire ou à une tristesse infinie.
Transfuge
"Drunk" réussit le pari d’être fidèle à l’idée qu’il défend sans aucune lourdeur démonstrative : c’est un film joyeux et chaleureux sur les bienfaits de l’ivresse. C’est aussi une comédie, parfois potache, sur nos angoisses et notre difficulté à vivre ensemble.
Télé 7 Jours
Une comédie vivifiante et régressive.
Télérama
Le réalisateur de Festen s’amuse, ni moralisateur, ni inconséquent.
Voici
L'étude, humaine comme sociologique, est fine.
Culturopoing.com
C'est finalement sous l'angle politique que le film déploie une énergie vivifiante, sur un registre à la fois drôle et tragique qui invite à la réflexion.
Femme Actuelle
Le réalisateur de Festen filme la dérive de quatre amis qui décident de ne plus vivre que dans l’ivresse. De ce point de départ un peu fumeux, découlent des passages aux textures variées, souvent cocasses, parfois pitoyables.
Paris Match
C'est peut-être la limite de "Drunk", cette maîtrise totale de la narration qui donne à chaque personnage une partition sur-mesure quand nous aurions aimé plus de démesure et de rebondissements.
Première
Vinterberg est cependant roublard : Drunk n’est pas un clip édifiant de la Sécurité routière ; le réalisateur danois condamne et loue les vertus de l’alcool dans un même élan transgressif, renforcé par une mise en scène euphorisante qui met les jeunes et les vieux dans le même panier.
Sud Ouest
Le film n’évite pas les écueils : incontournables disputes conjugales et autres renoncements liés à l’âge ; mais il offre une leçon de vie qui sans être un encouragement à l’ivresse, interroge nos sociétés aseptisées.
Critikat.com
Fable sans morale, Drunk s'achève sur un numéro d'équilibriste assez représentatif de ses limites.
Les Inrockuptibles
Au début, c’est assez drôle. On ne vous racontera pas la suite, mais tout va évidemment dégénérer (ce qui n’était pas difficile à deviner).Y compris dans le récit de Vinterberg, qui n’a pas le culot de Von Trier et va bientôt mettre de côté le potentiel explosif et anarchiste de son sujet pour suivre un peu maladroitement les rails de la psychologie et de la morale les plus convenues.
Libération
Si quelques scènes font rire [...], un ennui tenace s’installe, et l’on ne sait trop, au finale, ce que Vinterberg aura voulu dire avec cette bromance datée, hormis sans doute que l’alcool c’est bien mais pas trop, et que la vie c’est dur mais surtout pour les hommes.
Cahiers du Cinéma
L’ivresse chez Vinterberg n’est pas conn plus comme chez Ferreri une contestation radicale de l’ordre moral, une satire de la bienséance bourgeoise, un nihilisme carnavalesque jouant l’indécence et la déchéance contre le conformisme politique et social. Elle est un renoncement, une défaite sans éclat.