Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Après ce film fort, le spectateur regardera l’é’iquette à deux fois avant d’acquérir un vêtement made in Bangladesh.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
On en sort à regret, tant on voudrait en savoir plus et la suivre encore. Un film positif et plein d’énergie.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Figaro
par La Rédaction
Inspiré d’une histoire vraie, ce film proche du documentaire brosse le portrait d’une héroïne obstinée et attachante.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Avec des acteurs formidables, un scénario au cordeau et un cadre maîtrisé qui s'enrichit à chaque scène de détails forts, Rubaiyat Hossain parvient à faire de ce récit attendu une épopée captivante dont la dureté s'intensifie chemin faisant.
Positif
par Yann Tobin
Inspiré d’une histoire vécue, le réalisme du propos est contrebalancé par un dynamisme non dénué d’humour.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Avec ce film tendu, âpre et tendre à la fois, qui ne cède jamais au pittoresque tout en rendant compte des particularismes de la société bangladeshi, la cinéaste Rubaiyat Hossain raconte la naissance d’une syndicaliste dans une société où les femmes sont toujours perdantes.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télérama
par Guillemette Odicino
Portrait d’une magnifique entêtée, mais aussi chronique romanesque d’un collectif féminin, ce film social use de la couleur comme d’une arme de combat : les images de ces alliées en saris chatoyants célèbrent l’éclatante noblesse de la sororité.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par Lola Sciamma
Une lutte vibrante contre le patriarcat en général, bien dans l'actualité.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
De la veine d’un film des frères Dardenne, la réalisatrice dénonce avec force et dignité l’exploitation qui est commise contre des ouvrières au Bangladesh et du coup, une mondialisation sans état d’âme, à la quête de toujours plus de profits. Saisissant et nécessaire.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Bande à part
par Olivier Pélisson
Cette fiction venue du sous-continent indien raconte l’exploitation. Sans fard, mais avec la conviction chevillée aux images, et une énergie qui plie, mais ne rompt pas.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
L'Obs
par François Forestier
Le film, parfois simpliste, touche juste cependant. Il est porté par une conviction d’enfer. Cinéma de combat, cinéma des damné(e)s de la terre...
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Clarisse Fabre
A travers le périple de cette ouvrière se débattant dans ses dilemmes, Rubaiyat Hossain sonde une société bangladaise en pleine mutation (...).
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Tourné dans une usine désaffectée dans laquelle l'effervescence de la chaîne de fabrication a été reconstituée atelier par atelier, le film, habité d'une énergie constante, repose sur un paradoxe qui n'est pas mince. Au Bangladesh, ce sont des femmes qui conduisent le pays et ce sont… les femmes qui sont les plus exploitées…
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Sulamythe Mokounkolo
Un film porté par une mise en scène plutôt convaincante et, en dépit de la gravité de son sujet, empreint de dynamisme.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Emily Barnett
Le film] retrace l[a] bataille [des salariées d'une fabrique textile], un long périple administratif qui leur vaudra de multiples tentatives d’intimidation. Dans le leading role, une belle entêtée jouée par une inconnue (la gracieuse Rikita Shimu), saisie dans son environnement professionnel et intime sans surcharger la barque documentaire.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Marie Claire
par La rédaction
Tentative modeste de décrire [la] condition [des femmes ouvrières], ce film relate une rébellion dans une usine après un incendie et parvient, sans éviter quelques clichés pittoresques, à décrire la naissance d'une conscience libre et féministe chez son héroïne.
Ouest France
par La Rédaction
Le sujet est louable, la situation indigne, mais les bons sentiments font rarement les bons films.
Première
par Thierry Chèze
Quand on est mû par le seul désir de reconstituer sans la trahir la réalité la plus brutale, on oublie souvent d’en faire. Et la forme documentaire aurait été ici finalement plus appropriée.
La critique complète est disponible sur le site Première
20 Minutes
Après ce film fort, le spectateur regardera l’é’iquette à deux fois avant d’acquérir un vêtement made in Bangladesh.
Franceinfo Culture
On en sort à regret, tant on voudrait en savoir plus et la suivre encore. Un film positif et plein d’énergie.
Le Figaro
Inspiré d’une histoire vraie, ce film proche du documentaire brosse le portrait d’une héroïne obstinée et attachante.
Le Journal du Dimanche
Avec des acteurs formidables, un scénario au cordeau et un cadre maîtrisé qui s'enrichit à chaque scène de détails forts, Rubaiyat Hossain parvient à faire de ce récit attendu une épopée captivante dont la dureté s'intensifie chemin faisant.
Positif
Inspiré d’une histoire vécue, le réalisme du propos est contrebalancé par un dynamisme non dénué d’humour.
Sud Ouest
Avec ce film tendu, âpre et tendre à la fois, qui ne cède jamais au pittoresque tout en rendant compte des particularismes de la société bangladeshi, la cinéaste Rubaiyat Hossain raconte la naissance d’une syndicaliste dans une société où les femmes sont toujours perdantes.
Télérama
Portrait d’une magnifique entêtée, mais aussi chronique romanesque d’un collectif féminin, ce film social use de la couleur comme d’une arme de combat : les images de ces alliées en saris chatoyants célèbrent l’éclatante noblesse de la sororité.
Voici
Une lutte vibrante contre le patriarcat en général, bien dans l'actualité.
aVoir-aLire.com
De la veine d’un film des frères Dardenne, la réalisatrice dénonce avec force et dignité l’exploitation qui est commise contre des ouvrières au Bangladesh et du coup, une mondialisation sans état d’âme, à la quête de toujours plus de profits. Saisissant et nécessaire.
Bande à part
Cette fiction venue du sous-continent indien raconte l’exploitation. Sans fard, mais avec la conviction chevillée aux images, et une énergie qui plie, mais ne rompt pas.
L'Obs
Le film, parfois simpliste, touche juste cependant. Il est porté par une conviction d’enfer. Cinéma de combat, cinéma des damné(e)s de la terre...
Le Monde
A travers le périple de cette ouvrière se débattant dans ses dilemmes, Rubaiyat Hossain sonde une société bangladaise en pleine mutation (...).
Le Parisien
Tourné dans une usine désaffectée dans laquelle l'effervescence de la chaîne de fabrication a été reconstituée atelier par atelier, le film, habité d'une énergie constante, repose sur un paradoxe qui n'est pas mince. Au Bangladesh, ce sont des femmes qui conduisent le pays et ce sont… les femmes qui sont les plus exploitées…
Les Fiches du Cinéma
Un film porté par une mise en scène plutôt convaincante et, en dépit de la gravité de son sujet, empreint de dynamisme.
Les Inrockuptibles
Le film] retrace l[a] bataille [des salariées d'une fabrique textile], un long périple administratif qui leur vaudra de multiples tentatives d’intimidation. Dans le leading role, une belle entêtée jouée par une inconnue (la gracieuse Rikita Shimu), saisie dans son environnement professionnel et intime sans surcharger la barque documentaire.
Marie Claire
Tentative modeste de décrire [la] condition [des femmes ouvrières], ce film relate une rébellion dans une usine après un incendie et parvient, sans éviter quelques clichés pittoresques, à décrire la naissance d'une conscience libre et féministe chez son héroïne.
Ouest France
Le sujet est louable, la situation indigne, mais les bons sentiments font rarement les bons films.
Première
Quand on est mû par le seul désir de reconstituer sans la trahir la réalité la plus brutale, on oublie souvent d’en faire. Et la forme documentaire aurait été ici finalement plus appropriée.