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    Full Metal Jacket
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    4,4
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    1 018 critiques spectateurs

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    reymi586
    reymi586

    472 abonnés 2 444 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 12 juin 2010
    On ne pouvait pas espérés mieux de Stanley Kubrick quand il se penche sur la guerre du Vietnam. L'atteinte psychologique de la guerre sur les hommes est très bien montré mais surtout les effets que les hommes peuvent avoir sur leurs camarades sont très bien dépeints. Les personnages de Baleine et du Sergent instructeur sont mythiques.
    Artriste
    Artriste

    119 abonnés 2 007 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 3 décembre 2011
    Un vrai chef-d'oeuvre! Moi qui suis loin d'être un fan des films de Kubrick, là je dis chapeau l'artiste. Le film se divise en deux parties, la première où l'on suit l'entrainement de jeunes marines nous plonge dans la dure réalité de la formation avec un chef d'une grossierté hillarante mais attanchant interprété à merveille par Lee Ermey. Ensuite la deuxième partie du film est centré sur le terrain, avec la guerre superbement réalisée avec des images sublimes et un ton différent de tout ce que l'on peut voir dans ce domaine. On suit avec attention le parcours de ces jeunes recrues au destin tragique qui ont chacun une personnalité forte qui fait qu'on s'attache à eux. Un film grandiose à voir absolument.
    Chris Art
    Chris Art

    78 abonnés 398 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 27 novembre 2014
    (...) Dans la filmographie génériquement hétérogène de Kubrick, la guerre a déjà été traitée : Paths of glory dénonçait, Dr Strangelove satirisait. La question des motivations de Kubrick lorsqu’il s’empare du sujet du Viêt-Nam est légitime. Désire-t-il faire ses armes sur un motif qui a vu les plus grands réaliser leur chef d’œuvre ? Et quel discours sur la violence et l’aliénation, thèmes chers au cinéaste, va-t-on y trouver ?
    Full Metal Jacket est avant tout un film sur la machine. Celle que nous avons vue à l’œuvre dans son absurdité (judiciaire dans Paths of glory, étatique dans Orange Mécanique, électronique dans Dr Strangelove, ou sa beauté froide dans 2001), s’incarne désormais dans le corps (...) Vibrant de vie, désenchanté, animé d’une jeunesse qui choque autant qu’elle sauve de la tentation du nihilisme, cette phrase résume le regard porté sur l’humain par le cinéaste. Sans illusions, délivré des excès de l’indignation, explorant cet être imparfait qui continue d’enflammer le monde.
    ManoCornuta
    ManoCornuta

    276 abonnés 2 880 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 septembre 2016
    Kubrick revient au film de guerre (longtemps après les Sentiers de la Gloire) avec ce Full Metal Jacket consacré à la guerre du Vietnam. Comme souvent avec lui, c'est un peu du tout ou rien. On en a encore l'illustration ici, avec une première heure sur l'entraînement des soldats proprement hallucinante, peut-être le plus gros trip jamais réalisé sur le sujet, truffé de séquences cultes et de dialogues intemporels (ah, le sergent Hartman...). Las, la deuxième partie du film se déroulant sur le terrain, Kubrick semble avoir perdu les clés du camion en route, et le résultat devient beaucoup plus conventionnel, moins frappant que ne l'avait été Platoon (sorti un peu plus tôt). On a un peu deux films en un, un premier mémorable de A à Z et un deuxième en pilotage automatique. Sensation curieuse, mais ça reste à voir.
    Incertitudes
    Incertitudes

    205 abonnés 2 320 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 26 mai 2008
    Au tour de Stanley Kubrick de donner son point de vue sur la guerre du Vietnam. Il adapte, comme c'est une habitude chez lui, un roman de Gustav Hasford intitulé Le Merdier, titre qui ne saurait être plus juste. Full Metal Jacket désigne le nom des balles, du plomb entouré de cuivre, utilisée par l'armée américaine. Le film est composé de deux parties. La première nous fait suivre l'entraînement drastique des Marines sous la houlette du sergent Hartman incarné par Lee Ermey. Après avoir occupé les même fonctions dans la vraie vie, il fut au départ conseiller technique du film. Lors des auditions des acteurs pressentis pour jouer les Marines, il improvisa durant des heures des insultes qu'il avait écrites lui-même et qui constituera l'essentiel de ses dialogues. Kubrick lui offrira le rôle-culte. En effet, il faut bien avouer que le voir brailler ces jurons assassins à la tête des recrues est hilarant (t'es si tocard que tu passerais pour un chef-d'œuvre de l'art moderne, je parie que tu es capable de pomper une balle de golf à travers un tuyau d'arrosage et bien d'autres). Seulement son entraînement s'avérera si terrible que les plus faibles s'élimineront d'eux-même. Une autre sorte de guerre, psychologique celle-ci. La deuxième partie nous emmène au Vietnam lors de l'offensive du Têt. Filmé comme un documentaire, à la steadycam, un groupe de soldats seront pris pour cible par un sniper quasi-invisible qui est en réalité une jeune fille. Kubrick nous prouve avec l'épisode Baleine que la folie engendrée (comparable à celle de Alex dans Orange Mécanique ou de Jack Torrance dans Shining) par la guerre commence dès l'entraînement et par le personnage de Guignol que cette dernière fait de nous des tueurs. Beaucoup disent qu'il s'agit du moins bon film de Kubrick, je pense qu'il s'agit de son plus accessible. Peut-être pas non plus le plus grand film de guerre de tous les temps comme indiqué sur le dos du dvd mais un grand film quand même.
    kal-el 02
    kal-el 02

    116 abonnés 843 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 janvier 2014
    Un des meilleurs film de Kubrick ,les 45 premiéres minutes sont tout simplement énormes,la suite du film (au Vietnam)est également un régal . Une action féroce , un scénario implacable , des dialogues parsemés d'humour assassin sont les éléments-clefs de ce film adapte du roman de Gustav hasford . Du camp d'entraînement jusqu'au combat cauchemardesque dans la ville de hue , full métal jacket reste une magistral leçon de cinéma ,c'est l'un des plus grand film de guerre de tous les temps .
    Louis Morel
    Louis Morel

    46 abonnés 850 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 28 mars 2012
    Quelle gifle ! Un film bouleversant et magnifique. Tellement grandiose qu'il se place facilement dans la catégorie des Chef-d'oeuvre et fait bien entendu parti des 3 meilleurs films de guerre de tous les temps.
    Raw Moon Show
    Raw Moon Show

    135 abonnés 832 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 22 août 2013
    Le message universel de Full Metal Jacket ? Seule la vie donne et reprend quand elle le décide. Rien ne nous prépare à l'inacceptable. Encore moins à l'imprévisible. Aucune préparation, aucune croyance d'aucune sorte ne saurait le faire. C'est comme ça, iI faut juste accepter et repartir à chaque nouvelle aube en chantonnant, comme si de rien n'était, mais libre sous son casque...
    Kevin dioles
    Kevin dioles

    45 abonnés 681 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 juillet 2020
    FULL METAL JACKET (1987): Dès les premières minutes, le ton est donné par une brutalité de mots pour nous faire découvrir le dur parcoure de simples américains demandant à devenir de vrais Marines. Le réalisateur Stanley Kubrick n'hésitera pas à nous montrer la réalité d'un apprentissage militaire assez destructeur, pour ensuite bifurquer vers la violence des armes dans une guerre où la mort se trouve présente à tout instant. On pourra toutefois sourire devant des dialogues assassins remplis d'humour, mais aussi dans certains cas, éprouver une certaine compassion. Un scénario brutal, cauchemardesque, ne cachant rien dans la description de A à Z du vécu de certains soldats américains à l'intérieur de cette guerre du Vietnam. Une réalisation très intéressante, surtout dans sa première partie.
    romano31
    romano31

    280 abonnés 1 543 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 3 janvier 2009
    Un film sur la guerre du Vietnam dés plus réaliste. On suit les personnages de leurs entrainements avec le sergent Hartman, homme sans coeur et sans pitié (joué par l'excellent Lee Ermey) jusqu'à l'enfer du Vietnam. Un film aussi puissant que Apocalypse Now et Platoon.
    shmifmuf
    shmifmuf

    179 abonnés 1 761 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 20 janvier 2012
    Un film de guerre sans concession construit en 2 parties.
    L'instruction dans le camp d'entraînement montre comment l'armée dresse des recrues innocentes pour en faire de vraies hommes. Ou plutôt comment elle peut détruire ses plus faibles recrues avec ses méthodes basées sur l'humiliation et les insultes.
    Ensuite nous voici au Viet-Nam, sur le terrain des opérations dans un paysage urbain en ruine.
    On est ici confronté directement à la violence brute de la guerre et à ses effets psychologiques dévastateurs sur les hommes.
    UN FILM INCONTOURNABLE.
    Fabien S.
    Fabien S.

    548 abonnés 4 150 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 15 février 2016
    Un chef d’œuvre de Stanley Kubrick . Le réalisateur révèle le talent de deux grands acteurs : Matthew Modine et Vincent d'Onofrio. Un très beau film sur la guerre du Vietnam. La chanson de Nancy Sinatra, la fille de Franck Sinatra est devenue une chanson culte surtout dans les publicités.
    vivien-b
    vivien-b

    57 abonnés 206 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 3 septembre 2011
    C'est quand on voit un film comme Full Metal Jacket dans la filmographie du grand maître Kubrik qu'on se rend compte de la complétivité incroyable de celle-ci en même temps que ses contradictions et ses divergences, surtout à partir de son chef d'oeuvre qui restera aussi dans les annales comme un des films les plus controversés de l'histoire du cinéma, Orange Mécanique, qui avec un regard général sur le travail de Kubrik peut maintenant être considéré comme une sorte de synthèse de tous les souvent très différents thèmes et idées chers au réalisateurs déjà exploitées ou qu'il exploitera plus tard : Une vision futuriste visionnaire, qu'il avait totalement déployé dans 2001, L'odyssée de L'Espace, même s'il est clair qu'il est presque question de l'antithèse d'Orange Mécanique, des pointes satiriques (la scène d'orgie tournée en accélérée), un chemin comique qu'il avait littéralement (oui, j'ai bien dit littéralement) fait explosé dans sa première oeuvre réellement reconnue, Docteur Folamour, et voilà qu'en 1980, presque dix and après Orange Mécanique, le grand stanley dirige une oeuvre entière sur le grand thème de la deuxième partie de son chef d'oeuvre : la déshumanisation de l'homme, non pas par une société expèditive dans l'éradication du mal chez l'être humain comme dans Orange Mécanique, mais parmais par les méthodes lobotomisantes de l'armée américaine pour préparer leurs hommes dans le contexte de la guerre du viet-nam. Comme le veut le destin ou tout simplement l'envie de continuation du cinéaste, on peut découper le film en deux parties distinctes comme Orange Mécanique (et même comme Barry Lyndon avec lequel le concept des deux parties est très utile pour décrire la descente aux enfers du personnage principal) ; mais, cette fois par les caprices du destin et par une logique un peu moins bonne, c'est juste une fois une heure passée grandiose d'une verve incroyable, autant au niveau des dialogues qu'au niveau des acteurs, étrange coincidence que cela arrive juste quand la durée vers le début de la deuxième partie d'Orange Mécanique, qui était ici encore meilleure que la première, est franchi, le film... S'essoufle. Non pas que le générique de fin défile déjà devant les yeux du spectateur, mais que, cet c'est bien ce qui fait de Full Metal Jacket le moins bon Kubrick que j'ai pu voir jusqu'à présent (mieux vaut vous rappeler que je n'ai pas encore vu Fear and desire). Le rythme et l'intérêt subissent malheureusement une chute impartiale au niveau des personnages (et c'est un point qui descend clairement en flèche à cause du choix d'orientation du scénario à la fin de la première partie (dont je reparle plus tard)) et des dialogues (qui garde un ton cynique mais un certain cachet d'écriture est perdu), le dialogue étant pourtant unes des rares actions qui ne se passent vraiment durant ces trentes/allongeons vingt minutes, qui ne restent pas irregardables pour un sou, Kubrik n'abandonnant pas son perfectionnement au niveau de la composition des plans et de la beauté plastique du film (une qualité qui connaît son apogée dans Barry Lyndon (comme quoi je me sens obligé de venir sur d'autres oeuvres du réalisateur pour prouver ma théorie énoncée au début de cette critique...)), le problème est tout de même clair : le cinéaste nous emmène un peu trop brutalement au Viet-nam (Voyage Au Bout De L'enfer avait cette même sorte de transition violente mais arrivait à beaucoup mieux la gérer), après la scène la plus marquante du film et la perte de deux personnages qui amélioraient grandement la réflexion anti-militarisme du film. Heureusement, le grand génie se rattrape en beauté (et en quelle belle beauté !) là où on l'attendait le moins et arrive à brillament soutenir le choc moral la descente aux enfers du film qu'avait excellement préparé Kubrik dans une première heure qui avait tout d'un début de grand chef d'oeuvre avant de l'arrêter subitement à son apogée, ces dix dernières minutes lançant ainsi une nouvelle apogée dans la réflexion du film dans une mise en scène intimiste entre les personnages qui transcende tout le reste du film avec de plus un plan final de génie qui clôture avec la grâce supprême que l'on reconnaît dans les meilleurs moments des meilleurs Kubrik (réussissant comme Docteur Folamour avec son final grandiose d'ironie et de sarcasmes), et qui laissent au final une excellente impression à cette odyssée qui connaît malheureusement quelque, ou plutôt une coupe de rythme péjorativement surprenante. Tout ça qui porte à croire que sans ces 20 minutes au milieu du film, ce Full Metal Jacket aurait pu clairement être une des plus grandes merveilles du septième art offertes par Stanley Kubrik... Mais ce n'est pas le cas. Conclusion : Si le tout reste un brillant et un parfait exemple du traumatisme cinématographique, départager 2001 et Orange Mécanique sera toujours impossible, même si la filmographie de Stanley Kubrik me réserve encore pleins de surprises... (version longue dans les commentaires)
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 18 août 2010
    Rarement film de guerre aura été aussi angoissant, percutant dans sa psychologie... et réaliste. Techniquement en effet, Kubrick nous ofre comme à son habitude du grand art, avec l'utilisation notamment de vrais balles et explosifs dans de vrais décors. Peut être un chef d'oeuvre
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 20 octobre 2012
    Rien a dire c'est du tres bon Kubrick ! Comme a son habitude d'ailleurs !
    Certe cela n'est pas son meilleurs films , mais reste l'un de ses chef-oeuvre .
    45 premiere minute , du grand genie tout simplement , la suite est plus faible et il y a parfois quelques lenteurs mais est rattraper par les 15 derniere minutes que j'ai trouve exellente .
    A voir car l'un des ( ou le ) films realistes en termes de geurre !
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