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    Full Metal Jacket
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    4,4
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    1 018 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 15 juillet 2010
    LE film qui a changé ma perception du cinéma, passant pour moi d'une simple distraction à un art à part entière, me faisant découvrir au passage mon réalisateur préféré. Après une première partie hallucinante où l'ont ne sait si on doit rire de l'humour assassin ou plaindre les recrues, le maître Kubrick nous entraîne dans l'enfer des combats urbains dont les scènes sont toujours d'actualité. Contrairement à d'autres films de guerre ultra-patriotiques ou à l'inverse qui dénoncent sans creuser, Full Metal Jacket nous montre la guerre telle qu'elle est.
    Akamaru
    Akamaru

    3 098 abonnés 4 339 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 21 juillet 2010
    "Full Metal Jacket" est un des films références sur la guerre du Vietnam.Stanley Kubrick nous pond un exemple de mise en scène,et divise sa démonstration en 3 actes:1-l'entrainement des marines dans le camp.C'est la partie la plus réussie,ou l'on voit l'aliénation des recrues par un sergent irascible. 2-la vie des soldats au Vietnam,avec leurs convictions naives et leur haine d'un ennemi invisible. 3-l'attaque sur le terrain.Avec peu de mots,on assiste à la déshumanition des soldats.
    Démonstration réussie donc,mais un peu froide,clinique.Kubrick ne traite que partiellement son sujet et ne parvient pas à nous passionner autant qu'un Platoon par exemple.Cela dit,le film vieillit bien et sa sobriété le rend plus convaincant.
    Zbrah
    Zbrah

    46 abonnés 365 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 27 mai 2014
    Troisième Kubrick que je regarde, deuxième déception. A vrai dire, j’ai du mal à cerner en quoi ce Fullmetal Jacket est considéré comme un chef d’œuvre, à la différence de 2001. Déjà, le projet en lui-même est scindé en deux parties très, voire trop distinctes. La première partie se concentre sur l’entraînement des soldats, avant qu’ils soient envoyés au front. La mise en scène est assez brute. Le spectateur assiste à un enchaînement d’actions dont le seul intérêt semble être de montrer la dureté de caractère nécessaire pour survivre à la guerre. Le commandant cherche à créer de nouveaux hommes, des hommes qui soient « Né(s) pour tuer », comme il est stipulé sur le casque d’un des personnages principaux. L’approche proposée par Kubrick dans cette première partie est louable car elle est différente de ce que l’on nous montre d’habitude sur la guerre du Vietnam. Elle vaut le coup d’œil, rien que pour sa différence et pour le personnage du sergent instructeur (R. Lee Ermey). Fullmetal Jacket s’ouvre sur une scène très forte où ce dernier sermonne ses troupes à peine débarquées. Au début, le personnage fait rire et intrigue. Au bout de trente minutes, entendre les soldats gueuler sans répit devient fatiguant. Leur psychologie est survolée, certains comportements sont difficiles à comprendre. Pourquoi Guignol, publiquement agréable avec Baleine rejoint ses camarades pour lyncher le pauvre soldat dans la nuit ? À aucun moment, la haine de Guignol envers Baleine n’avait été suggérée, ce qui rend la scène assez surprenante. L’évolution de Baleine vers spoiler: son tragique dénouement
    a en revanche été correctement amenée, mais là, ce sont les conséquences de l’acte qui sont éludées. Suite à cet évènement marquant, Kubrick entame sa deuxième partie, sans explication ni aucune transition. Alors que dans la phase d’entraînement, aucun personnage ne se détachait, ici, c’est le personnage de Guignol qui se tient sous les feux des projecteurs. Pas de chance, ce dernier est profondément antipathique. Oui, il peut nous parler de la dualité de l’homme à la Freud, il n’empêche que ces oppositions dans l’écriture du personnage sont étranges. Il arbore fièrement un symbole de paix tout en se targuant d’être né pour tuer. Il est difficile à cerner, c’est peut-être cela qui le rend peu appréciable. Les personnages retrouvés ou rencontrés dans cette deuxième partie sont, de la même façon, des personnages manquant de charisme. Cowboy est insignifiant, Brute épaisse est comme son nom l’indique un soldat stupide. Les autres sont tellement transparents (Blackboule, Rafterman, Crazy Earl...) qu’il n’y a rien à dire sur eux. Malgré tout, cette partie est un peu plus prenante que celle l’ayant précédée. De l’action, enfin. Guignol et Rafterman, en se rendant au front pour prendre des photos, se rendent enfin compte des horreurs de la guerre. Les villes ravagées semblent plus vraies que nature. Le principal reproche que j’adresserais à cette partie est qu’elle gomme tout ce qui faisait la différence du début du film. Elle présente une approche ultra-classique de cette guerre controversée, bien que présentée à travers les yeux d’un photographe de guerre. Pour résumer : la première partie est originale mais ennuyeuse, la seconde est pleine d’action mais horriblement classique. Un entre-deux aurait pu être bien Mr. Kubrick.
    Gamecube
    Gamecube

    23 abonnés 127 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 3 novembre 2014
    Vous voulez voir Full Metal Jacket ?

    Partie 1 : Ouh là là la vie de soldat c'est pas rigolo !
    Partie 2 : Ouh là là la guerre c'est pas bien !

    Voilà, vous avez vu Full Metal Jacket. Et surtout, vous venez d'économiser 2 heures de votre temps. A quoi les consacrer, vous demanderez-vous ? Eh bien, à (re)visionner Les Sentiers de la gloire. Vous verrez, ça c'est un grand film de guerre. Ca c'est du grand Kubrick.
    bsalvert
    bsalvert

    410 abonnés 3 579 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 mai 2011
    Un film de Kubrick comme on les aime, qui bouge mais qui pousse aussi au raisonnement.
    stallonefan62
    stallonefan62

    290 abonnés 2 554 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 juin 2020
    Très bon film de Guerre qui se compose de 2 parties distinctes !! Une 1ère partie incroyable, dès la scène d'ouverture le ton est donné !! Les dialogues sont formidables et l'interprétation et doublage VF de R.Lee Ermey exceptionnel !! Une 1ère partie qui se termine de façon dramatique et brutal !! Ensuite la 2ème partie la guerre du Vietnam, pas de grosses batailles certes mais une mise en scène de Stanley Kubrick magnifique, avec d'excellents décors et une bonne BO.
    Hotinhere
    Hotinhere

    555 abonnés 4 963 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 29 juin 2016
    Une représentation magistrale de la guerre à la fois terrifiante, comique et émouvante. La première partie suit l’instruction des marines et son cortège d'humiliations; puis suivent les séquences de guerre et de désinformation au Viet Nam. Une claque.
    AMCHI
    AMCHI

    5 820 abonnés 5 936 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 décembre 2023
    Full Metal Jacket fait partie des Kubrick qui me plaisent car si c'est clairement un immense cinéaste je n'apprécie pas tous ses films. Il signe un film sur la guerre au Vietnam tourné en majorité...en Angleterre notamment pour la dernière partie dans des ruines en démolition près de Londres.
    Ce film est composé de deux parties : le camp d'entraînement des Marines et l'envoi sur le terrain en pleine guerre des recrues.
    La première moitié est sans doute le meilleur moment car c'est presque immersif. On suit un intensif entraînement ou les scènes s'enchaînent sans temps mort, aucun répit nous est offert. C'est aussi 2 personnages qui se distinguent, Vincent d'Onofrio qui joue une recrue en surpoids devenu le souffre-douleur du sergent instructeur. Ce dernier est joué par l'impressionnant R. Lee Ermey plus vrai que nature, ce qui est normal car il a réellement été un sergent dans le corps des Marines (après un acte de délinquance un juge lui a laissé le choix entre la taule ou rejoindre l'armée) et il a fait le Vietnam. Dés qu'il gueule sur l'un de ses soldats même nous le spectateur pourtant paisiblement assis on n'ose pas moufter.
    Puis après cela c'est au Vietnam en pleine offensive du Têt que le film se poursuit toujours du point de vue du personnage principal joué par Matthew Modine, cette partie du film est bonne mais un peu moins marquante cependant elle se finit sur un excellent final dénonçant les horreurs de la guerre.
    Sans être un chef-d’œuvre Full Metal Jacket est l'un des films du cinéma des années 80 à découvrir. Il a bien vieilli et garde de sa portée de nos jours.
    sly-stallone88
    sly-stallone88

    198 abonnés 2 224 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 3 août 2010
    un chef d'œuvre de réalité et de dérision, un film de "guerre" mythique et incontournable !!!
    Ann Val
    Ann Val

    87 abonnés 352 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 12 janvier 2016
    Une réalisation implacable, des acteurs au top, une bande son à tomber par terre et des répliques drôles et cyniques, une Amérique dans toute sa splendeur mise au piloris ... La recette d'un chef d'oeuvre !
    Yetcha
    Yetcha

    881 abonnés 4 398 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 février 2024
    Pas fan de Kubrick en général, j'ai toutefois quelques films que j'apprécie et Full Metal Jacket en fait parti. La première partie est mythique et souvent parodiée. La montée en puissance de Baleine est incroyable d'interprétation. La partie sur la guerre du Vietnam est clairement dénonciatrice de l'absurdité du conflit et met en avant l'embourbement des États-Unis et en 1987 il prend la suite de Voyage au bout de l'enfer, d'Apocalypse Now, de Platoon en sortant la même année qu'Hamburger Hill et Good Morning Vietnam. Il entre du coup dans les classiques du genre qui ne sont pas si nombreux au regard de la centaines d'oeuvres tournant autour de la seconde guerre mondiale. Un film à voir et revoir.
    bobmorane63
    bobmorane63

    191 abonnés 1 965 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 27 septembre 2010
    Un des sommets des films sur la guerre du Vietnam signé par la maitre Stanley Kubrick !!! Film drole et à la fois cruel sur le parcours d'un marine dont le slogan est "Born to kill" qui marche sur deux étapes, la formation et la guerre réelle. La première peut s'averer dans le fond drole avec un sergent instructeur pec sec qui mene la vie dure à ses apprentis soldats comme certains surnoms par exemple comme "Blanche neige" à un black ou un costaud appelé "Baleine", formation qui peut s'averer aussi dramatique sur la solitude et le rejet des autres. La deuxième étape est le Vietnam, guerre qui bascule à la folie pour certains, comme par exemple un tireur d'hélicoptère qui tuent des civiles Vietnamiens ou un soldat qui dort avec le cadavre d'un ennemi. Beaucoup de syndromes horribles mais réelles dont Stanley Kubrick nous brosse avec génie, un chef d'oeuvre de plus de la part du maitre sans aucune fausses notes. Matthew Modine, Vincent D'Onofrio, R. Lee Hermey (je crois que c'était son métier avant de devenir acteur), Adam Baldwin sont tous excellents. Si vous ne l'avez pas vus, je vous le conseille d'urgence.
    Malevolent Reviews
    Malevolent Reviews

    986 abonnés 3 207 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 mars 2013
    Se présentant parmi les films les plus emblématiques sur la guerre du Vietnam , cette adaptation du roman "Le Merdier" de Gustav Hasford est sans conteste l'un des plus marquants, Stanley Kubrick ayant ce don unique pour nous délivrer un long-métrage poignant, réaliste, inoubliable... Scindé en deux parties, Full Metal Jacket nous présente la guerre dans toute son horreur : d'un côté l'entraînement intensif pour ne pas dire éprouvant de jeunes Marines par un sergent instructeur diabolique, de l'autre le front explosif et mortel situé au Viêt Nam où une escouade va faire face à une incroyable embuscade sanglante lors de la fameuse Offensive du Tết. Dans les deux cas, la guerre est dévoilée comme une épreuve sordide et désespérée pour ces jeunes Américains, un passage à l'âge adulte des plus radicaux où la fine lueur d'espoir de pouvoir rentrer chez soi s'efface de plus en plus. Centrée sur le soldat Guignol (Matthew Modine, impressionnant), de son entraînement difficile aux côtés du sergent-instructeur Hartman (R. Lee Ermey dans son rôle le plus marquant, ou la personnification de la peau-de-vache) jusqu'à son affectation dans l'enfer de la guerre, l'intrigue ne souffre d'aucun temps mort et nous envoie dans un réalisme saisissant tout en n'omettant pas quelques touches d'humour, parfois noir. Kubrick réalise ainsi ici l'une de ses plus mémorables œuvres, un film violent et satirique qui n'hésite pas lui aussi à dépeindre la guerre du Viêt Nam comme un passage de l'Histoire où n'importe quel homme voit sa vie bouleversée par une horreur imposée, que ce soit la recrue Baleine (Vincent D'Onofrio, l'un des personnages les plus marquants du film) devenu fou lors de l'entraînement ou Guignol dans la dernière partie de bobine qui va devoir oublier ses valeurs morales pacifistes pour survivre. Mise en scène impeccable, plans mémoriaux, répliques cinglantes et réalisme à toute épreuve se joignent aux qualités d'un film-phare sur la guerre du Viêt Nam, peut-être moins immersif que ses illustres prédécesseurs mais tout aussi poignant, Full Metal Jacket devenant non seulement un film référentiel mais également une œuvre puissante qui ne semble pas vieillir.
    dougray
    dougray

    239 abonnés 1 904 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 juin 2011
    Estampillé "plus grand film de guerre de tous les temps" lors de sa sortie, j’ai longtemps mis la flatteuse réputation de "Full Metal Jacket" sur le compte de la présence de Stanley Kubrick derrière la caméra. Ne partageant pas l’adoration des critiques et des cinéphiles pour le metteur en scène, j’ai mis du temps à voir ce film. A tort ! Car on se trouve bien devant un grand film, parfaitement maîtrisé, qui décrit avec une pertinence rare et une objectivité inespérée la réalité de l’armée américaine. Le tour de force de Kubrick ne se situe pas tant dans son talent de metteur en scène (non seulement incontestable mais ici transcendé avec de superbes plans séquences et quelques travellings magnifiques) que dans l’intelligence de son parti pris de ne pas se livrer à une simple dénonciation de la guerre au Vietnam. La construction atypique de "Full Metal Jacket" est la meilleure preuve de ce parti pris puisque la 1ere partie du film s’intéresse à l’entraînement d’un corps de Marines par un terrible sergent instructeur (l’époustouflant R. Lee Ermey dans le rôle de sa vie) et dresse ainsi un tableau sans complaisance mais également sans jugement du quotidien de ces hommes formés à tuer. Même l’instructeur, adepte de méthodes à bases de sévices et d’humiliation, est présenté comme un homme de valeur n’hésitant pas à reconnaître les qualités de ses hommes… ce qui n’empêchera pas l’un d’entre eux de sombrer dans la folie. L’évolution du pauvre sergent Grosse Baleine (flippant Vincent D’Onofrio), qui passe de l’état de brave gars un peu simple à celui de psychopathe suicidaire, pourrait être interprétée comme une dénonciation basique de l’endoctrinement des Marines et leur déshumanisation. La ise en parralèle avec le personnage de Guignol (Matthew Modine dans son meilleur rôle) et des autres soldats, bien moins affectés par les conditions de vie, prouve le respect de Kubrick pour son public, à qui il laisse le soin de se faire sa propre opinion. Cet entraînement est bien évidemment la clé permettant de comprendre le comportement des Marines au Vietnam, traité dans la 2nde partie du film, plus classique (la vie sur le camp, les avancées en zone de guerre, la succession de morts…) mais qui brille par un final une fois encore bouleversant de pertinence. Le fait que l’unité se fasse presque entièrement dégommer par un simple tireur isolé qui s’avère en plus être une adolescente résume parfaitement le conflit et ne se perd pas dans les longues leçons de morale. Sur le plan formel, on retrouve les grandes qualités de Kubrick qui n’a pas son pareil pour créer une ambiance oppressante (le suicide de Baleine), pour choisir ses BO (quelques hits sont au générique) ou pour faire du neuf avec du classique (les impacts de balles sur les murs pendant l’attaque final n’ont jamais rendu la guerre aussi réaliste) mais également ses défauts (un excès d’esthétique comme lors du flingage au ralenti du soldat Blackbool, des baisses de rythme, des scènes qui s’étirent parfois au-delà du raisonnable…). Un grand film donc qui m’amène, après les très réussis "Shining" et "Docteur Folamour", à revoir mon jugement sur le maître et à découvrir ses autres classiques.
    Ezhirel
    Ezhirel

    53 abonnés 254 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 juillet 2013
    Il est difficile pour moi de noter ce film car il me rend perplexe. Autant j'ai trouvé la première partie du film magistrale, autant la seconde m'a paru ennuyeuse et redondante. Qui plus est, cette seconde partie est amenée de façon trop abrupte, en rupture totale avec la première partie et c'est franchement dérangeant, pour ne pas dire frustrant. Bref, le film est peut-être estampillé Kubrick mais je ne vais pas faire semblant d'applaudir pour les beaux yeux de l'élite cinéphile si je ne l'ai pas apprécié.
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