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Un classique instantané, qui trouvera sa place parmi les grandes œuvres cinématographiques et littéraires de notre temps. Un film à voir, revoir, et surtout à partager, comme un trésor précieux que l’on transmettrait de génération en génération.
La critique complète est disponible sur le site GQ
En adaptant en film d’animation un conte de Jean-Claude Grumberg, Michel Hazanavicius réussit l’exploit de raconter une histoire belle, humaniste et universelle sans éluder les horreurs de la Shoah.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Michel Hazanavicius révèle un talent de dessinateur stupéfiant et signe un classique instantané qui touche en plein cœur, débordant d'idées de mise en scène, narré par l'extraordinaire Jean-Louis Trintignant.
Par le chemin du conte, l'auteur de « The Artist » reconstitue les années 1940 et la déportation. Son premier film d'animation est aussi son plus beau film.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Avec humilité et délicatesse, en poussant la logique du conte jusqu’à choisir la forme du dessin animé, Michel Hazanavicius, qui a dessiné lui-même chaque personnage, rend justice au matériau de Grumberg tout en donnant naissance à une œuvre autonome qui serre le cœur et rend heureux tout à la fois.
Avec une infinie délicatesse, Michel Hazanavicius a su marier le conte à la réalité historique de la Shoah. En s'appuyant sur la simplicité de son trait, sur les voix enveloppantes de Jean-Louis Trintignant, Dominique Blanc, Grégory Gadebois ou Denis Podalydès et sur la merveilleuse musique d'Alexandre Desplat, il a éclairé cette histoire d'une lumière qui réchauffera les cœurs de tous les spectateurs. A voir de toute urgence.
La critique complète est disponible sur le site Version Femina
Très adroit pour manier la farce, le pastiche, Michel Hazanavicius sait aussi faire preuve de retenue, d’élégance et d’un profond humanisme, comme en atteste son dernier film, "La Plus précieuse des marchandises".
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Avec prudence et assurance, Michel Hazanavicius propose un beau conte, incarné vocalement, visuellement intimiste et évocateur, émotionnellement fort, qui sait se positionner historiquement dans un esprit de rassemblement, d’unité.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Michel Hazanavicius détourne les codes du conte pour capter ce maigre espoir d’une humanité tenace face à l’horreur. Mais La Plus précieuse des marchandises est à son meilleur lorsqu’il teste les limites du représentable par l’animation, quitte à essuyer les plâtres sur des choix artistiques douteux.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le choix d’une adaptation animée (une grande réussite esthétique) donne au livre de Jean-Claude Grumberg des allures de conte, qui ne peut que bouleverser.
Oui, les sans-cœur ont un cœur, la bûcheronne et le bûcheron sont des Justes et ce film intemporel, narré par la voix enveloppante d’un Jean-Louis Trintignant à l’hiver de sa vie, est bouleversant de grâce et de pudeur.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
On est immédiatement pris d’affection pour le propos, le trait et le nombre de frames par seconde. Il est toujours agréable de se sentir dans l’atelier dès lors qu’on s’éloigne de Pixar et de ses concurrents.
Le cinéaste français inclassable adapte un récit de Jean-Claude Grumberg et s’essaie à un nouveau genre : le film d’animation. Ce conte en images évoquant la Seconde Guerre mondiale et la Shoah confirme l’audace du réalisateur.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Proche de la gravure, le dessin chemine avec intégrité entre esthétisme et réalisme. Jamais Michel Hazanavicius ne fait de l’épate avec son sujet. Pour autant, il n’escamote rien de ce qui a été vécu, et qui est effroyable.
Plutôt qu'une démonstration frontale de l'horreur de la Shoah, Michel Hazanavicius l'évoque par le biais d'une animation subtile et poignante, alternant des ambiances parfois sombres, parfois plus colorées, pour raconter l'espoir et la résilience, alors même que tout semble perdu.
Globalement cette Plus précieuse des marchandises séduit par sa sobriété, le hors champ utilisé pour la violence, comme la manière indirecte d’évoquer l’horreur.
La critique complète est disponible sur le site Abus de Ciné
Même si Michel Hazanavicius fait avant tout des films, et des bons films, force est de constater que celui-ci a une vocation pédagogique qui s’impose à lui-même. Et c’est peut-être ça, la plus grande réussite du film. Se montrer nécessaire, évident, incontournable, dans une époque où peu de choses semblent l’être...
Abandonnant la suggestion, il [Michel Hazanavicius] fait alors le pari que l’animation a le pouvoir, par rapport au texte et à la prise de vues réelles, de montrer sans obscénité des corps décharnés et des visages statufiés par l’effroi.
Pour ce nouveau long métrage, Michel Hazanavicius adapte le conte de Jean-Claude Grumberg. Malgré la force du sujet et la beauté du trait, il échoue pourtant à hisser son film d’animation à la hauteur de son sujet.
20 Minutes
Un conte bouleversant et intensément beau.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Le spectre étendu des couleurs, mélange de teintes sombres et de touches lumineuses, crée des trouées d‘éclats dans les ombres étendues de la Shoah.
GQ
Un classique instantané, qui trouvera sa place parmi les grandes œuvres cinématographiques et littéraires de notre temps. Un film à voir, revoir, et surtout à partager, comme un trésor précieux que l’on transmettrait de génération en génération.
La Voix du Nord
En adaptant en film d’animation un conte de Jean-Claude Grumberg, Michel Hazanavicius réussit l’exploit de raconter une histoire belle, humaniste et universelle sans éluder les horreurs de la Shoah.
Le Dauphiné Libéré
Un hymne à l’amour au temps le plus insensé de l’inhumanité de la Solution finale.
Le Journal du Dimanche
Michel Hazanavicius révèle un talent de dessinateur stupéfiant et signe un classique instantané qui touche en plein cœur, débordant d'idées de mise en scène, narré par l'extraordinaire Jean-Louis Trintignant.
Le Parisien
Un chef-d’œuvre animé.
Les Echos
Par le chemin du conte, l'auteur de « The Artist » reconstitue les années 1940 et la déportation. Son premier film d'animation est aussi son plus beau film.
Marie Claire
Sans déni ni voyeurisme, ce doux et modeste chef-d’œuvre lutte à sa manière contre l’effacement progressif et inéluctable de notre mémoire collective.
Ouest France
Un bijou de film d'animation.
Positif
Avec humilité et délicatesse, en poussant la logique du conte jusqu’à choisir la forme du dessin animé, Michel Hazanavicius, qui a dessiné lui-même chaque personnage, rend justice au matériau de Grumberg tout en donnant naissance à une œuvre autonome qui serre le cœur et rend heureux tout à la fois.
Télérama
Adaptée du roman de Jean-Claude Grumberg, cette fable délicate est un petit bijou d’animation.
Version Femina
Avec une infinie délicatesse, Michel Hazanavicius a su marier le conte à la réalité historique de la Shoah. En s'appuyant sur la simplicité de son trait, sur les voix enveloppantes de Jean-Louis Trintignant, Dominique Blanc, Grégory Gadebois ou Denis Podalydès et sur la merveilleuse musique d'Alexandre Desplat, il a éclairé cette histoire d'une lumière qui réchauffera les cœurs de tous les spectateurs. A voir de toute urgence.
Bande à part
Très adroit pour manier la farce, le pastiche, Michel Hazanavicius sait aussi faire preuve de retenue, d’élégance et d’un profond humanisme, comme en atteste son dernier film, "La Plus précieuse des marchandises".
CinemaTeaser
L’entreprise (un conte sur la Shoah) est casse-gueule mais Michel Hazanavicius s’en sort avec les honneurs.
Culturopoing.com
Avec prudence et assurance, Michel Hazanavicius propose un beau conte, incarné vocalement, visuellement intimiste et évocateur, émotionnellement fort, qui sait se positionner historiquement dans un esprit de rassemblement, d’unité.
Diverto
Étonnamment oublié par le jury du Festival de Cannes où le film était en compétition, voilà un film nécessaire, tragique mais précieux.
Ecran Large
Michel Hazanavicius détourne les codes du conte pour capter ce maigre espoir d’une humanité tenace face à l’horreur. Mais La Plus précieuse des marchandises est à son meilleur lorsqu’il teste les limites du représentable par l’animation, quitte à essuyer les plâtres sur des choix artistiques douteux.
Femme Actuelle
Le choix d’une adaptation animée (une grande réussite esthétique) donne au livre de Jean-Claude Grumberg des allures de conte, qui ne peut que bouleverser.
Franceinfo Culture
Un film important et beau.
Konbini
Michel Hazanavicius s’essaye à l’animation dans un récit bouleversant, et visuellement sublime. Un des coups de force de ce Cannes 2024.
L'Humanité
Une œuvre imparfaite, attachante et ô combien nécessaire.
L'Obs
Oui, les sans-cœur ont un cœur, la bûcheronne et le bûcheron sont des Justes et ce film intemporel, narré par la voix enveloppante d’un Jean-Louis Trintignant à l’hiver de sa vie, est bouleversant de grâce et de pudeur.
LCI
Une adaptation poignante.
La Croix
Un film puissant.
La Septième Obsession
On est immédiatement pris d’affection pour le propos, le trait et le nombre de frames par seconde. Il est toujours agréable de se sentir dans l’atelier dès lors qu’on s’éloigne de Pixar et de ses concurrents.
Le Figaro
Un film grave et poétique.
Le Monde
Le cinéaste adapte avec sobriété, sensibilité et talent, le récit de Jean-Claude Grumberg sur la déportation vers les camps nazis.
Le Point
Une bouleversante ode universelle au courage et à l’humanisme, indispensable par les temps qui courent.
Marianne
Le cinéaste français inclassable adapte un récit de Jean-Claude Grumberg et s’essaie à un nouveau genre : le film d’animation. Ce conte en images évoquant la Seconde Guerre mondiale et la Shoah confirme l’audace du réalisateur.
Sud Ouest
Proche de la gravure, le dessin chemine avec intégrité entre esthétisme et réalisme. Jamais Michel Hazanavicius ne fait de l’épate avec son sujet. Pour autant, il n’escamote rien de ce qui a été vécu, et qui est effroyable.
Télé 2 semaines
Plutôt qu'une démonstration frontale de l'horreur de la Shoah, Michel Hazanavicius l'évoque par le biais d'une animation subtile et poignante, alternant des ambiances parfois sombres, parfois plus colorées, pour raconter l'espoir et la résilience, alors même que tout semble perdu.
Télé 7 Jours
Une grâce infinie porte la puissance de l'évocation historique, et chaque plan est un tableau inspiré.
Télé Loisirs
Narrée par le regretté Jean-Louis Trintignant, une histoire d'espoir et de résilience bouleversante.
aVoir-aLire.com
Ce long métrage d’animation digne et touchant est l’un des meilleurs films de Michel Hazanavicius, qui confirme l’étendue de son registre.
Abus de Ciné
Globalement cette Plus précieuse des marchandises séduit par sa sobriété, le hors champ utilisé pour la violence, comme la manière indirecte d’évoquer l’horreur.
Les Fiches du Cinéma
Hazanavicius fait un pas de côté en livrant un film d’animation sur fond de Seconde Guerre mondiale. Une œuvre mémorielle élégante mais très sage.
Nice-Matin
Même si Michel Hazanavicius fait avant tout des films, et des bons films, force est de constater que celui-ci a une vocation pédagogique qui s’impose à lui-même. Et c’est peut-être ça, la plus grande réussite du film. Se montrer nécessaire, évident, incontournable, dans une époque où peu de choses semblent l’être...
Première
Hazanavicius prouve une fois encore sa capacité à ne jamais s’enfermer dans une quelconque de zone confort.
Cahiers du Cinéma
Abandonnant la suggestion, il [Michel Hazanavicius] fait alors le pari que l’animation a le pouvoir, par rapport au texte et à la prise de vues réelles, de montrer sans obscénité des corps décharnés et des visages statufiés par l’effroi.
Critikat.com
Le film n’est jamais vraiment déshonorant, mais il paraît reposer davantage sur un savoir-faire que sur un regard d’auteur.
Les Inrockuptibles
Pour ce nouveau long métrage, Michel Hazanavicius adapte le conte de Jean-Claude Grumberg. Malgré la force du sujet et la beauté du trait, il échoue pourtant à hisser son film d’animation à la hauteur de son sujet.
Libération
Le film d’animation du réalisateur oscarisé, sur un bébé rescapé de la Shoah, se laisse dépasser.