Les Mondes imaginaires de Jean-François Laguionie : Critique presse
Les Mondes imaginaires de Jean-François Laguionie
Note moyenne
4,0
4 titres de presse
Positif
Le Monde
Les Fiches du Cinéma
L'Obs
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
4 critiques presse
Positif
par Michel Roudévitch
Quel plaisir de se replonger dans les toutes premières œuvres conçues, écrites et dessinées, puis animées par Jean-François Laguionie ! Des mondes imaginaires et ô combien extraordinaires !
Le Monde
par Clarisse Fabre
A ne pas manquer.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Avec ces sept courts métrages de Jean Laguionie, revit un monde de l’animation débordant d’imagination où la poésie cache une réflexion drôle, inventive, poétique, voire subversive, sur la condition humaine, bien éloigné de l’asepsie actuelle des images.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Un programme de sept courts-métrages réalisés entre 1964 et 1978 par l’auteur des merveilleux « Louise en hiver » et « le Tableau ». Ici, la brièveté ne bride ni son style, ni la puissance de ses images, ni la beauté de ses compositions picturales.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Positif
Quel plaisir de se replonger dans les toutes premières œuvres conçues, écrites et dessinées, puis animées par Jean-François Laguionie ! Des mondes imaginaires et ô combien extraordinaires !
Le Monde
A ne pas manquer.
Les Fiches du Cinéma
Avec ces sept courts métrages de Jean Laguionie, revit un monde de l’animation débordant d’imagination où la poésie cache une réflexion drôle, inventive, poétique, voire subversive, sur la condition humaine, bien éloigné de l’asepsie actuelle des images.
L'Obs
Un programme de sept courts-métrages réalisés entre 1964 et 1978 par l’auteur des merveilleux « Louise en hiver » et « le Tableau ». Ici, la brièveté ne bride ni son style, ni la puissance de ses images, ni la beauté de ses compositions picturales.