AlloCiné
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Votre avis sur Eté 85 ?
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François Ozon réussit ce que la plupart des films ne sont pas parvenus à exprimer : parler d'une passion dévorante là où le cinéma en général nous aurait faire croire à une histoire d'amour... biaisant ainsi notre représentation du couple et d'une relation amoureuse. Ça fait du bien !
Un film que j'ai bien apprécié. Le scénario, adapté du livre éponyme, est tout supplément superbe. La réalisation est simple et efficace et les acteurs son vraiment très bons.
Un monument, j'adore l'histoire ,les acteurs, les années 80,c'est juste magnifique, bien joué. Je recommande vivement
Film dérangeant, sympathique mais pas incroyable. En résumé c'est moyen
J'en ressors pas marqué pr l'intrigue est très simpliste au final.
J'en ressors plutôt dérangeant par certains moments du film
J'en ressors pas marqué pr l'intrigue est très simpliste au final.
J'en ressors plutôt dérangeant par certains moments du film
La première partie est, à mon sens un peu trop lisse: l’ange qui se pervertie au fur et à mesure du film; et le démon, trop sensuel et qui trop confiant, et enfin, bien sûr, leprofesseur hyper complice, qui a toujours la solution (quand il lui suggère d’écrire pour s’exprimer)…
La seconde partie du film fait émerger un univers plus intéressant, il débute juste après leur première nuit, où la mort est clairement le sujet principal. Les deux personnages sont les allégories de deux idées assez répandus, notamment en fonction des cultures sur la mort. L’une est fataliste, n’a pas d’appréhensions et considère la mort comme le prolongement de la vie, l’autre est anxiogène, la vie n’a de sens qu’à travers l’existence de la mort, et cette idée est effrayante, l’idée est alors d’essayer de l’apprivoiser, mais elle devient souvent le sujet principale d’un certain stress.
Je ne suis pas d’accord avec les critiques qui déplorent le manque d’intrigue parce que la fin est racontée des le début. C’est ce qui fait tout le film, qui le singularise. Le spectateur est tenu en haleine, il attend anticipe et laisse son imagination divaguer. Le film est peut être un des plus subjectifs que j’ai vu. David est perçu comme un manipuleur narcissique et frivole par les uns, et un séduisant épicurien par les autres… Tandis que Alex (ou Alexie) est perçu unanimement comme une personne passionnée, qui expérimente pour la première fois l’amour, quitte à se détruire, tant que ce sentiment perdure et le consume.
La seconde partie du film fait émerger un univers plus intéressant, il débute juste après leur première nuit, où la mort est clairement le sujet principal. Les deux personnages sont les allégories de deux idées assez répandus, notamment en fonction des cultures sur la mort. L’une est fataliste, n’a pas d’appréhensions et considère la mort comme le prolongement de la vie, l’autre est anxiogène, la vie n’a de sens qu’à travers l’existence de la mort, et cette idée est effrayante, l’idée est alors d’essayer de l’apprivoiser, mais elle devient souvent le sujet principale d’un certain stress.
Je ne suis pas d’accord avec les critiques qui déplorent le manque d’intrigue parce que la fin est racontée des le début. C’est ce qui fait tout le film, qui le singularise. Le spectateur est tenu en haleine, il attend anticipe et laisse son imagination divaguer. Le film est peut être un des plus subjectifs que j’ai vu. David est perçu comme un manipuleur narcissique et frivole par les uns, et un séduisant épicurien par les autres… Tandis que Alex (ou Alexie) est perçu unanimement comme une personne passionnée, qui expérimente pour la première fois l’amour, quitte à se détruire, tant que ce sentiment perdure et le consume.
Ce film est une plaisanterie, tout y est bancal, l'histoire, le scénario et le jeu d'acteurs, mention spéciale à Valeria Bruni-Tedeschi qui surpasse tout le monde quand il s'agit de mal interpreter son personnage et ses émotions.
Je ne suis pas une inconditionnelle d'Ozon mais je dois avouer que ce film m'a beaucoup plu.
C'est une belle histoire d'amitié, une belle histoire d'amour, mais également une histoire sombre, noire, dure. Elle est faite de lumière mais aussi d'ombre.
J'ai été embarquée par l'histoire entre ces deux jeunes hommes, remarquablement interprétés.
Évidemment, certaines scènes peuvent surprendre, Ozon, c'est parfois particulier, mais je n'y ai rien trouvé de comique ou de choquant, au contraire. Il est des choses que l'on fait par folie, par angoisse, par douleur, qui peuvent sembler inappropriées aux autres mais qui sont un catharsis pour son auteur. spoiler: Il en va de même pour les états d'âmes de cet adolescent qui découvre la vie, l'amitié, l'amour, la trahison, le deuil, la résilience, en un été.
C'est une belle histoire d'amitié, une belle histoire d'amour, mais également une histoire sombre, noire, dure. Elle est faite de lumière mais aussi d'ombre.
J'ai été embarquée par l'histoire entre ces deux jeunes hommes, remarquablement interprétés.
Évidemment, certaines scènes peuvent surprendre, Ozon, c'est parfois particulier, mais je n'y ai rien trouvé de comique ou de choquant, au contraire. Il est des choses que l'on fait par folie, par angoisse, par douleur, qui peuvent sembler inappropriées aux autres mais qui sont un catharsis pour son auteur. spoiler: Il en va de même pour les états d'âmes de cet adolescent qui découvre la vie, l'amitié, l'amour, la trahison, le deuil, la résilience, en un été.
La boom version homosexuel sur un fond de drame. Le film raconte une belle histoire mais ça n'est pas un beau film.
Je viens de découvrir Été 85 et j'en avais entendu beaucoup parlé comme le "Call me by your name" français et effectivement la comparaison est légitime puisque le sujet du film est identique. Pour autant, j'avoue avoir même légèrement préféré Été 85 à ce dernier. Car si on sur la forme Été 85 est un film assez conventionnel et pas plus marquant que ça, je trouve quand même qu'il arrive parfaitement à capturer le moment de l'adolescence qu'il dépeint. Alexis est un personnage naïf mais terriblement attachant dans lequel on ne peut que se reconnaître, et ce que je préfère nettement par rapport à Call Me By your name, c'est que Été 85 ne tombe pas trop dans le pathos à mon sens. Il y a toujours un moment de joie ou d'espoir pour apaiser cette tristesse, à l'image de la fin assez ouverte et que j'ai nettement préféré à celle de Call Me By Your Name. A part ça, les musiques et les acteurs sont excellents et on rentre très vite dans l'intrigue car le film est excellemment bien rythmé. Bref, vous l'aurez compris, difficile de ne pas faire un parallèle avec Call Me By Your Name et ça fait peut être défaut au film mais pour la part j'ai vraiment apprécié et je trouve que le style "littéraire" de François Ozon permet à Été 85 de se détacher un peu de sa copie américaine pour trouver sa propre identité. Une très belle découverte pour la part, je recommande et peut mon film préféré d'Ozon à ce jour !
Très mauvais Ozon. Un plantage total. Il a dû oublier de relire son scénario avant de filmer. Valéria B-T est insupportable; Idem la jeune actrice qui joue (elle l'est ?) l'anglaise. Le film cumule une suite d’invraisemblances et culmine dans la scène de la Morgue, l'une des plus grotesques que j'ai pu voir au cinéma (il y a aussi la scène du slip? pas piquée des vers). A la fin, notre jeune héros, incarné par un acteur un peu lisse, laisse entendre qu'il a hérité du bateau de son "ami" David (l' acteur est bon). Ah oui? Il va falloir demander à Valéria comment il a pu faire. C'est un peu n'importe quoi. Évidemment, la critique est dithyrambique. Mais bon, c'est comme d'hab.
J'ai rarement été déçu par Ozon et cette fois-ci encore il a tapé fort. Non seulement ce film est intéressant mais il est t'intelligent, opposant le libertinage à la fidélité, la distribution est éclatante, les deux jeunes acteurs crevant l'écran. Et puis il y a Valeria Bruni Tedeschi dont le sourire nous ravit toujours. C'est joliment filmé et photographié , ça baigne dans la sensualité, L'utilisation du flashback a toujours tendance à irriter, mais là Ozon a fait fort (et je ne spoilerais pas) !. Et puis moi que les musiques de film m'indifférent souvent, là elle est fabuleuse, Une seule ombre au tableau, la conseillère d'éducation (Aurore Broutin) semble être une véritable erreur de casting (pas bien grave)
Deux jeunes hommes vont vivre un été 85 passionné... jusqu'à le drame. Je l'écris en plaisantant, mais c'est vrai que le film ne m'a pas saisi, je trouve qu'il sonne faux, trop fabriqué, trop AB Productions et pas assez habité.
Pas la meilleure veine d'Ozon. Se laisse regarder. Comme pas mal de films queer, sans cette dimension, le propos devient assez banal.
Mon dieu que c'est mauvais ! Un scénario qui tient sur une demi page, des personnages pas crédibles un seul instant, et une mise en scène d'une lourdeur pachydermique.
Le film ne plaira qu'aux amateurs d'amours adolescentes, et encore.
Le film ne plaira qu'aux amateurs d'amours adolescentes, et encore.
Une belle bouse, très mal joué qui plus est. Je ne m'attendais à rien, mais là on en à moins que rien. Passez votre chemin
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