Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
33 critiques presse
20 Minutes
par Stéphane Leblanc
Un film qui fait du bien, qui redonne foi dans le cinéma.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Jamais simples, les films sur l’adolescence. (...) François Ozon, actuellement en pleine maîtrise de ses moyens, y parvient avec un nouveau film en forme de parenthèse romanesque, poétique et vaporeuse, par ailleurs labellisée Sélection officielle Cannes 2020.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Parisien
par Catherine Balle
Un film magnifique sur le premier amour.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
L'adolescence, le sentiment amoureux, la mort, la puissance de l'écriture cinématographique au cœur de l'un des meilleurs films du cinéaste. Un film entêtant comme une chanson de l'été.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Baptiste Roux
Empruntant les codes du teen movie et du film d’initiation amoureuse, "Été 85" est surtout l’œuvre somme de son auteur. Ce dernier ne se contente pas d’articuler, pour la première fois, son film autour d’adolescents – dont l’âge coïncide avec le sien, à l’époque narrée – mais revisite ses motifs de prédilection : le travestissement, la relation trouble avec un professeur, et surtout le rapport à la mort, envisagée sous l’angle de la maladie, la disparition, la sépulture.
Bande à part
par Olivier Pélisson
Le cinéaste remonte le temps, traverse les générations et touche au cœur, par son regard bienveillant et l’émotion de ces corps troublés, agités, et prêts à danser sur les tombes, pour apaiser ceux qui s’en vont, et ceux qui restent.
CNews
par La Rédaction
Estampillé du label «Cannes 2020», ce long-métrage qui fait écho aux œuvres de Christophe Honoré, est un magnifique hommage aux figures des années 1980. Valeria Bruni Tedeschi, Isabelle Nanty et Melvil Poupaud sont remarquables.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Culturopoing.com
par Vincent Nicolet
Coup de cœur pour une œuvre à la fois insolemment jeune et profondément adulte, superbement mise en scène et toujours incarnée.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Elle
par Françoise Delbecq
Un beau film d'été, solaire et intime.
Femme Actuelle
par La Rédaction
Ozon saisit au vol ces émotions fragiles, et leur issue tragique.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Ce qui aurait pu être un énième film sur la révélation de l’amour, du sexe, homosexuel ou hétérosexuel, à l’adolescence, se révèle une très belle intrigue psychologique sur un garçon qui découvre ses sentiments, certes, mais surtout la vie.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par Jérôme Garçin
En somme, voici le tardif premier film d'un homme qui a mûri sans avoir jamais été infidèle à ses premières amours, ses premiers deuils et sa vocation.
La Croix
par Céline Rouden
François Ozon excelle à dépeindre la violence des passions de l’adolescence et livre un film pudique et intime.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par Etienne Sorin
Les allers-retours entre passé et présent, encombrés de personnages secondaires pas franchement passionnants deviennent plus laborieux et artificiels. Malgré cette surenchère, l’exercice de style n’est pas tout à fait vain.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par A.C.
A la fois grave et un poil loufoque, transgressif mais pas trop, Eté 85 nous plonge aussi dans le parfum particulier des années 80 au son de tubes plus ou moins oubliés.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Point
par Victoria Gairin
Il y a du Salinger dans cet Ozon-là, du Dolan aussi et même du Pinoteau. Eh oui, Eté 85 rend aussi un bel hommage à La Boum (...).
Les Fiches du Cinéma
par Nicolas Marcadé
Ozon joue délibérément la carte du roman photo et de la série B pour y glisser un deuxième niveau plus trouble. Mais l’exercice paraît plus pensé qu’habité.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Jérémy Piette
Mais Ozon, et c’est là sûrement la part la plus belle, s’attarde sur Alexis qui prononce : «Tu crois qu’on invente les gens qu’on aime ?», avant d’enchaîner les actes un peu fous, un peu beaux - danser, donc, sur une tombe jusqu’à l’énervement, puis discourir sur la mort encore abstraite, pleurer, écrire, en revenir, puis aimer encore.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marianne
par Olivier De Bruyn
Si Eté 85, en forme de parenthèse dans la carrière de son auteur, n’égale pas les titres précédemment cités, il n’en demeure pas moins passionnant pour ceux qui apprécient les œuvres complètes du cinéaste.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Marie Claire
par Morgane Giuliani
Une bouffée d'air frais rétro.
La critique complète est disponible sur le site Marie Claire
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Un joli film d'été.
Sud Ouest
par Agnès Lanoëlle
[...] un teen movie lumineux et tendu [...].
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
Ce diable d'Ozon, qui n 'aime rien tant que semer le trouble, y injecte du suspense, de la cruauté, de la noirceur, sans jamais se départir de l'ironie et de la légèreté qui font le sel de son cinéma. Et révèle deux jeunes comédiens renversants.
Télé Loisirs
par G. T.
Malgré une structure en flash-back un peu maladroite, le cinéaste capte les désirs de la jeunesse dans un film très personnels.
Télérama
par Louis Guichard
Combinant ainsi les charmes de la fiction débridée et ceux du recueil de souvenirs, Été 85 est à la fois imprévisible et planant, toujours plus retors que prévu sous sa surface scintillante.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La Rédaction
Une romance estivale délicate et sensuelle.
Closer
par La Rédaction
Ozon propose son teen movie avec les codes attendus. Mais en habile directeur d'acteurs, il fait ressortir le meilleur de sa bande, tout en installant une sorte de suspense latent et prenant.
La Septième Obsession
par Xavier Leherpeur
Dans le désert des sorties estivales, on recommande chaudement ce bel été affligé et sensuel.
Le Monde
par Véronique Cauhapé
Eté 85 n’a pas cette prétention qui additionne, de manière assumée, les codes du « teen movie ». Territoire auquel le réalisateur, par une reconstitution méticuleuse de l’époque, une écriture dépossédée de l’humour qui fait tout le sel du roman et une tendre observation des personnages, adjoint une nostalgie sans pondération.
Les Fiches du Cinéma
par N.M.
Le temps d'un été, la rencontre entre deux adolescents passe de l'idylle au tragique. Ozon joue délibérément la carte du roman photo et de la série B pour y glisser un deuxième niveau plus trouble. Mais l'exercice parait plus pensé qu'habité.
Première
par Sophie Benamon
Il en ressort une sensation de déjà-vu. (...) Ce qui est fort bien traité, en revanche, c’est l’ambiance du film. Cette impression qu’une chose grave peut se passer à tout moment. François Ozon maîtrise le suspense comme personne.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
par Pierre Eugène
Malgré l’amour qu’il porte à ses personnages, le désir de leurs corps à corps, l’enthousiasme de ses acteurs, Ozon les observe avec distance. S’il n’a jamais eu peur des clichés, il regarde de biais les illusions amoureuses de l’adolescence, mais n’en montre rien d’autre.
Critikat.com
par Sylvain Blandy
Cette absence de direction est d'autant plus regrettable que le film trouve incidemment son ton lorsqu'il se fond pleinement dans le flot d'une passion torrentielle.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
20 Minutes
Un film qui fait du bien, qui redonne foi dans le cinéma.
La Voix du Nord
Jamais simples, les films sur l’adolescence. (...) François Ozon, actuellement en pleine maîtrise de ses moyens, y parvient avec un nouveau film en forme de parenthèse romanesque, poétique et vaporeuse, par ailleurs labellisée Sélection officielle Cannes 2020.
Le Parisien
Un film magnifique sur le premier amour.
Les Inrockuptibles
L'adolescence, le sentiment amoureux, la mort, la puissance de l'écriture cinématographique au cœur de l'un des meilleurs films du cinéaste. Un film entêtant comme une chanson de l'été.
Positif
Empruntant les codes du teen movie et du film d’initiation amoureuse, "Été 85" est surtout l’œuvre somme de son auteur. Ce dernier ne se contente pas d’articuler, pour la première fois, son film autour d’adolescents – dont l’âge coïncide avec le sien, à l’époque narrée – mais revisite ses motifs de prédilection : le travestissement, la relation trouble avec un professeur, et surtout le rapport à la mort, envisagée sous l’angle de la maladie, la disparition, la sépulture.
Bande à part
Le cinéaste remonte le temps, traverse les générations et touche au cœur, par son regard bienveillant et l’émotion de ces corps troublés, agités, et prêts à danser sur les tombes, pour apaiser ceux qui s’en vont, et ceux qui restent.
CNews
Estampillé du label «Cannes 2020», ce long-métrage qui fait écho aux œuvres de Christophe Honoré, est un magnifique hommage aux figures des années 1980. Valeria Bruni Tedeschi, Isabelle Nanty et Melvil Poupaud sont remarquables.
Culturopoing.com
Coup de cœur pour une œuvre à la fois insolemment jeune et profondément adulte, superbement mise en scène et toujours incarnée.
Elle
Un beau film d'été, solaire et intime.
Femme Actuelle
Ozon saisit au vol ces émotions fragiles, et leur issue tragique.
Franceinfo Culture
Ce qui aurait pu être un énième film sur la révélation de l’amour, du sexe, homosexuel ou hétérosexuel, à l’adolescence, se révèle une très belle intrigue psychologique sur un garçon qui découvre ses sentiments, certes, mais surtout la vie.
L'Obs
En somme, voici le tardif premier film d'un homme qui a mûri sans avoir jamais été infidèle à ses premières amours, ses premiers deuils et sa vocation.
La Croix
François Ozon excelle à dépeindre la violence des passions de l’adolescence et livre un film pudique et intime.
Le Figaro
Les allers-retours entre passé et présent, encombrés de personnages secondaires pas franchement passionnants deviennent plus laborieux et artificiels. Malgré cette surenchère, l’exercice de style n’est pas tout à fait vain.
Le Journal du Dimanche
A la fois grave et un poil loufoque, transgressif mais pas trop, Eté 85 nous plonge aussi dans le parfum particulier des années 80 au son de tubes plus ou moins oubliés.
Le Point
Il y a du Salinger dans cet Ozon-là, du Dolan aussi et même du Pinoteau. Eh oui, Eté 85 rend aussi un bel hommage à La Boum (...).
Les Fiches du Cinéma
Ozon joue délibérément la carte du roman photo et de la série B pour y glisser un deuxième niveau plus trouble. Mais l’exercice paraît plus pensé qu’habité.
Libération
Mais Ozon, et c’est là sûrement la part la plus belle, s’attarde sur Alexis qui prononce : «Tu crois qu’on invente les gens qu’on aime ?», avant d’enchaîner les actes un peu fous, un peu beaux - danser, donc, sur une tombe jusqu’à l’énervement, puis discourir sur la mort encore abstraite, pleurer, écrire, en revenir, puis aimer encore.
Marianne
Si Eté 85, en forme de parenthèse dans la carrière de son auteur, n’égale pas les titres précédemment cités, il n’en demeure pas moins passionnant pour ceux qui apprécient les œuvres complètes du cinéaste.
Marie Claire
Une bouffée d'air frais rétro.
Ouest France
Un joli film d'été.
Sud Ouest
[...] un teen movie lumineux et tendu [...].
Télé 7 Jours
Ce diable d'Ozon, qui n 'aime rien tant que semer le trouble, y injecte du suspense, de la cruauté, de la noirceur, sans jamais se départir de l'ironie et de la légèreté qui font le sel de son cinéma. Et révèle deux jeunes comédiens renversants.
Télé Loisirs
Malgré une structure en flash-back un peu maladroite, le cinéaste capte les désirs de la jeunesse dans un film très personnels.
Télérama
Combinant ainsi les charmes de la fiction débridée et ceux du recueil de souvenirs, Été 85 est à la fois imprévisible et planant, toujours plus retors que prévu sous sa surface scintillante.
Voici
Une romance estivale délicate et sensuelle.
Closer
Ozon propose son teen movie avec les codes attendus. Mais en habile directeur d'acteurs, il fait ressortir le meilleur de sa bande, tout en installant une sorte de suspense latent et prenant.
La Septième Obsession
Dans le désert des sorties estivales, on recommande chaudement ce bel été affligé et sensuel.
Le Monde
Eté 85 n’a pas cette prétention qui additionne, de manière assumée, les codes du « teen movie ». Territoire auquel le réalisateur, par une reconstitution méticuleuse de l’époque, une écriture dépossédée de l’humour qui fait tout le sel du roman et une tendre observation des personnages, adjoint une nostalgie sans pondération.
Les Fiches du Cinéma
Le temps d'un été, la rencontre entre deux adolescents passe de l'idylle au tragique. Ozon joue délibérément la carte du roman photo et de la série B pour y glisser un deuxième niveau plus trouble. Mais l'exercice parait plus pensé qu'habité.
Première
Il en ressort une sensation de déjà-vu. (...) Ce qui est fort bien traité, en revanche, c’est l’ambiance du film. Cette impression qu’une chose grave peut se passer à tout moment. François Ozon maîtrise le suspense comme personne.
Cahiers du Cinéma
Malgré l’amour qu’il porte à ses personnages, le désir de leurs corps à corps, l’enthousiasme de ses acteurs, Ozon les observe avec distance. S’il n’a jamais eu peur des clichés, il regarde de biais les illusions amoureuses de l’adolescence, mais n’en montre rien d’autre.
Critikat.com
Cette absence de direction est d'autant plus regrettable que le film trouve incidemment son ton lorsqu'il se fond pleinement dans le flot d'une passion torrentielle.