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bsalvert
418 abonnés
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2,0
Publiée le 28 octobre 2021
le spectateur est ici plongé dans les sphères politico-financières avec un semblant de justice alors que seule la puissance est reconnue. Le jeu des acteurs est excellent, le scénario convenu nous confortera dans ce dont on se doute.
On ne peut pas dire que les acteurs s'assurent pas mais quel ennui.... j'ai cru que le film n'en finirait pas tant je me suis ennuyée. En plus, ça finit sans réelle chute. La villa est très belle. C'est bien tout ...
Les enjeux judiciaires initiaux ne sont finalement qu’un prétexte à une lutte de domination et de manipulation entre 2 hommes. C’est subtilement réalisé et renforcé par le captivant duo Arestrup, Bruel.
On nous promet un faca à face entre deux hommes influents mais en fait rien ne se passe ou si peu . Dialogues nav rants, mise en scène inexistante , le casting certes solide sur le papier mais même des acteurs talentueux ne peuvent défendre l indéfendable.
Voilà un excellent film que je trouve vraiment sous-coté. C'est une sorte de thriller psychologique qui nous plonge dans le milieu des affaires et de la justice. On y suit une homme d'affaires (Patrick Bruel vraiment parfait) qui est accusé de corruption et fait appel à un ténor du barreau (Niels Arstrup absolument fantastique) pour le défendre. Le face à face entre ces deux hommes puissant est magistral et l'intrigue est prenante. Les dialogues sont très bien cisélés et on découvre ce monde de la haute finance et la vie de ces hommes riches et puissants qui semblent vivre dans un autre monde. Une très belle réussite à voir ou à revoir sans hésiter.
Un pseudo thriller ennuyeux dont le scénario inexistant ne saurait être sauvé par des dialogues inaboutis. Heureusement, le casting assure. La critique complète sur https://le-blog-d-elisabeth-g.blogspot.com
Un face à face d'envergure cependant on en ressort avec dégoût, c'est profondément déplaisant. Après le film se laisse suivre. La villa Caprice est une merveille.
Très mal dialogué, assez mal joué malgré la prestance de Niels Arestrup. P. Bruel pourtant assez juste en général est étonnamment faux du début à la fin (pas aidé par ces dialogues minables). Le final spoiler: tragique quant à lui méritait également un peu plus d’aboutissement
Je suis relativement partagée. L’idée est d’originale et mérite de mettre en exergue plusieurs thèmes souvent abs au grand écran: - les failles du système judiciaire - la solitude des grands avocats Mais les décors somptueux et les jeux excellents de ces deux acteurs, NeilsA est absolument bluffant et PB tient (enfin) le ton, ne suffiront pas à supporter un rythme trop peu dynamique. On attend un retournement et …non. spoiler: la relation avec sa femme est affreusement clichée et sans aucun intérêt : rf : « je ne le permettrai jamais. Je ne te laisserai jamais partir. Je te rendrai la vie infernale.» cliché cliché cliché
on peut néanmoins noter quelque chose d’intéressant : l’ambiance nostalgique presque kitch que la réalisation s’est attachée à coller autour de cette villa et tout au long du film : à commencer par le titre : « villa caprice ». Ça sent la Côte d’Azur, la cocotte, le faux, bref, l’arnaque.
Ce film, un thriller psychologique, nous livre le duo Arestrup/Bruel, et une ambiance, celle du luxe, de la riviera, des affaires et des magouilles en tout genre. Mais c'est surtout la rencontre des deux protagonistes qui est intéressante. On y voit un avocat aisé et talentueux mais désespérément seul et un homme d'affaires qui est un peu dans le même cas, mais les apparences sont trompeuses. L'un va manipuler l'autre jusqu'à la mort. Le scénario, l'ambiance du film sont deux bonnes raisons de voir ce film.
Un homme d’affaires est accusé d’avoir acquis illégalement la fameuse villa caprice , une merveille, il fait appel donc à un ténor du barreau.. Niels Arestrup dans le rôle du ténor est très fort , Bruel m’irrite mais fait le taf .
Je serai moins sévère que certaines critiques de "gauche", bon on est ds un milieu friqué, où les coups bas ne manquent pas; une fois dit cela les deux principaux interprètes sont au niveau, même Bruel, plutôt convaincant cette fois ci. Évidemment Arestrup est parfait, même si le scénario aurait mérité plus de concisions "Chabroliennes" ! Bonne série B.
Le jeu de dupes proposé par Villa Caprice, où s’exercent rapports de pouvoir et manipulations à différentes échelles, décline The Ghost Writer (Roman Polanski, 2010) dans le microcosme judiciaire : nous retrouvons une même progression dramatique, une musique singée sur la partition d’Alexandre Desplat, un cadre spatio-temporel cultivant l’antithèse entre d’une part les bureaux parisiens fréquentés et d’autre part une villa excentrée de la Côte d’Azur comme l’île de Martha’s Vineyard. Le face-à-face, chez Polanski, présentait l’intérêt de procéder par absences, par empressements, par empêchements successifs, transformant son homme politique en spectre et l’ombre en terrain d’action ; il s’accomplit ici par des entrevues souvent laborieuses, la faute à des dialogues surécrits que récitent des comédiens inégaux, en particulier Patrick Bruel, engagé dans une caricature de l’homme d’affaires pressé avec lunettes de soleil et coups de poker. Par contraste, l’originalité du film réside davantage dans l’errance de maître Luc Germon, lassé d’une existence dépourvue d’amis et d’épanouissement au sein d’une relation véritable ; aussi apparaît-il de plus en plus fragile, étranger à un environnement qui pourtant le définissait, et spoiler: le piège dans lequel il tombe offre une métaphore puissante de l’inhumanité à l’œuvre dans les hautes sphères , rappelant une remarque de Jean de la Bruyère à propos du souverain : « il ne manque rien à un roi que les douceurs d’une vie privée ; il ne peut être consolé d’une si grande perte que par le charme de l’amitié, et par la fidélité de ses amis » (Du Souverain ou de la République, 15). Ce propos moraliste est ici porté par une tonalité mélancolique qui change cette affaire a priori banale en crépuscule d’un être soucieux de prendre le large, mais qui spoiler: ne trouve à terme qu’un profond sentiment de vanité ; il trouve en Niels Arestrup un interprète hors pair qui justifie à lui seul le visionnage de cette Villa Caprice sinon moyenne.
Ce film de Bernard Stora, est pas extraordinaire, j'ai mis la note de 5 sur 10. Niels Arestrup et Patrick Bruel sont pas mauvais sans pour autant etre excellent. L'histoire est pas mal sans pour autant etre incroyable, ca manque peut etre d'un petit truc, mais je sais pas dire exactement quoi. J'ai passé un moment mitigé dans ce monde d'argent, de pouvoir.