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Padami N.
62 abonnés
514 critiques
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1,5
Publiée le 7 juin 2021
il se passe pas grand chose, on voit vite les manipulations.il n'y a pas de vrai intrigue.. l'affaire politico financière n'est pas expliqué et rapidement résolu.seul le perso d 'Arestrup tient le film.
Un thriller psychologique efficace et prenant, grâce à des dialogues bien écrits, et à l’interprétation géniale de Niels Arestrup. En revanche, pour Bruel c’est plus compliqué… 2,75
Beau face à face entre forte tête. un véritable jeu du chat et la souris va se mettre en place . Quelques longueurs dans ce thriller politico financier. Bruel dans le rôle d'un riche industriel accusé de corruption est convaincant. Arestup est génial comme d'habitude et en grand avocat respecté, ça lui colle à la peau et on voit son côté émotionnel. J'ai aimé. Un J'ai aimé voir la légende Michel Bouquet .
Villa Caprice, caprice d'hommes riches oui. Un monde que ne je connais pas si ce n'est par les médias. Scénario à part ,reconnaissons que le duo marche au top, site magnifique de la cote d'Azur. Mention Spéciale quand même pour Niels ARESTRUP qui étouffe Patrick BRUEL. Film à voir.
J'ai vraiment adoré les acteurs sont formidables et le suspense est vraiment magnifique je le conseille vivement je vais retourner le voir c'est trop bien 🤗
Je ne comprend pas les mauvaises notes, c'est un trés bon film où l'on explore un univers qui nous est étranger pour la plupart. La trame ne manque pas de rebondissements et les jeux d'acteurs sont excellent. Enfin on profite des vues de rêves de la villa Caprice.
Bonsoir Je n'ai vraiment pas l'habitude de critiquer le cinéma français mais là........ j'aime trop ces acteurs ........ que sont-ils venus faire dans cette galère Mauvais dialogues Mauvaise direction Scénario peu crédible Enfin ! ....... rien à tirer de ce film La justice est dénigrée mais c'est gros et peu crédible Des remarques de mauvais goût sur fond de racisme ZÉRO !!!!!!! Un petit point positif ...... de beaux paysages méditerranéens Mais je ne vais pas au cinéma pour ça NE PERDEZ PAS VOTRE TEMPS !
De la trame politico juridique autour d’une acquisition potentiellement frauduleuse, à coup de pots de fin, de favoritisme et de financement illégal de campagne électorale, de cette « Villa caprice », il ne restera finalement pas grand-chose dans le scénario. On n’en aura pas le détail. Ce n’est pas la narration du traitement judiciaire d’une affaire. Le contenu du scénario est à trouver dans le remplissage de trois cercles concentriques et entrelacés : l’homme d’affaires ambitieux et habile, l’avocat prestigieux et retors et les rouages de la justice des cols blancs, entre ambition encore et petits arrangements. C’est une fiction. On se doute bien que, selon la formule consacrée, il puisse y avoir quelques ressemblances avec des faits ou des personnages existant ou ayant existé. Mais c’est trop évasif et spécifique pour discerner une quelconque affaire. Tant mieux peut-être ? Ou peut-être pas ? Seuls, pour ceux qui en ont gardé le souvenir à la rubrique faits divers, les tourments de l’avocat Olivier Metzner se raccrochent quelque peu à du factuel. Niels Arestrup est de ces acteurs talentueux qui savent se glisser dans un personnage jusqu’à ce qu’on ne voit plus que lui. Patrick Bruel pour lui donner la réplique est à la hauteur. Un bon film car un bon jeu d’acteurs, autour d’uns scénario pourtant peu construit.
Difficile pour moi de rater un film avec Patrick Bruel à l’affiche. Il a été reporté plusieurs fois à cause des divers re confinements et on arrivait à penser qu’il ne sortirait jamais mais finalement si et même dans les premiers. J’avoue que je ne savais que penser de la bande annonce, le rôle sortant un peu de ce que Bruel a l’habitude de faire et justement c’est ce qui m’a attiré. J’ai bien aimé même si je n’ai pas été transporté autant que j’aurais voulu dans l’histoire. En effet, malgré l’excellent duo d’acteurs, j’ai trouvé le film très lent, et au final il ne se passe pas grand chose quand on y pense. Je ne m’attendais toutefois pas à une fin pareil et j’avoue avoir été agréablement surprise. Il faut dire que ce genre de fin n’est pas commune et ça nous change de l’ordinaire ce qui n’est pas pour déplaire. J’ai beaucoup aimé comment le film était tourné, les paysages sont vraiment sympathiques en plus. On se demande clairement comment l’histoire va tourner, il faut dire que les personnages ont des personnalités fortes et les choses ne sont pas toujours simples. Les échanges entre les deux sont excellents, Bruel est toujours aussi bon tant dans ses expressions que dans la façon qu’il a de rentrer dans un rôle.
En résumé, Villa Caprice est un bon film grâce à un casting très efficace ! Le spectateur se fait promener dans l’histoire et la chute est vraiment surprenante même si assez prévisible sur certains points. On regrettera un manque de rebondissements un peu plus passionnants par moment, le rythme étant beaucoup trop lent. Un film à découvrir pour son jeu d’acteurs.
Thriller de bonne facture. Paysages, interprétations et scénario de qualité pour cette bonne surprise de début d'année. Un film à revoir. 4/5. ----Février 2022----
Le dernier quart d'heure gâche le film, car si c'était la fin que souhaitait le metteur en scène elle aurait mérité bien plus de 15 minutes pour être développée. On a l'impression d'une fin bâclée, en totale rupture avec le reste du film
De belles joutes verbales servies par 2 comédiens bien dans leurs rôles. On ressort en doutant encore un peu plus de l’impartialité des représentants de la justice...
Le réalisateur installe très vite le postulat de " Villa Caprice ". Nous sommes en présence de deux hommes puissants à l'Ego surdimensionné. Un homme d'affaires richissime et un avocat réputé. On sait aussi très vite que leur trajectoire va se croiser et faire des étincelles. Pour une histoire de pot de vin assez classique dont l'enjeu est cette superbe demeure aux airs florentins qui donne le titre au film. Niels Arestrup et Patrick Bruel, tous deux impeccables dans leurs personnages, servis par des dialogues qui font mouche, vont manipuler et être manipulés tout au long de ce dernier film de Bernard Stora plutôt réussi. ou les seconds rôles comme le grand Michel Bouquet, 95 ans, offre quelques apparitions mémorables en père teigneux. Un film agréable à regarder, de facture classique et qui dans l'ensemble, tient le spectateur dans le suspense.
Très bon film sur le milieu des affaires , de la politique et du judiciaire avec parfois certaines connivences... Bien joué et pour certains acteurs , une performance de très haut niveaux , les dialogues sont excellents et le suspens bien mené. Bémol sur la fin.
Ce film avait des atouts pour réussir : de beaux décors et un formidable comédien, Nils Arestrup. De son côté, Bruel a une certaine présence mais en fait un peu trop. Le problème, c'est qu'il manque à Villa Caprice un scénario, un dialoguiste et un metteur en scène. Ca sonne assez souvent faux et on a beaucoup de mal à croire à la chute. Les relations psychologiques entre le grand patron et son avocat, censées constituer l'enjeu majeur de ce faux suspense, sont traitées de façon caricaturale. Sur le même thème, L'ivresse du pouvoir de Chabrol, même si ce n'est pas le meilleur film de ce réalisateur, écrase l'essai maladroit de Benjamin Stora qui aurait peut-être du rester sur son créneau, la médiatisation de l'histoire. Ca se laisse voir tout de même, à part les passages mélo avec le père de l'avocat et la fin complètement ratée.