Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
Positif
par Fabien Baumann
Des dialogues subtils, un écheveau de manipulations et cinq comédiens d’une merveilleuse précision, au service d’un film comme autrefois. Ringard ? En rien. Le pessimisme final de Stora, radical et éclatant, laisse pantois.
CNews
par La rédaction
Ce thriller psychologique qui compte également au casting Irène Jacob, Michel Bouquet et Laurent Stocker, s’attarde davantage sur la complexité de l’âme humaine, les rapports de connivence et les jeux de pouvoir que sur le déroulé classique d’un procès où la vérité éclate au grand jour.
Closer
par La Rédaction
Ce thriller judiciaire captive grâce à la performance de ses deux principaux acteurs.
L'Obs
par François Forestier
Niels Arestrup, dans le rôle de l’avocat, est génial.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Parisien
par Renaud Baronian
Un duel d’acteurs au sommet, entre un Patrick Bruel impeccable en homme d’affaires douteux, et un Niels Arestrup immense en avocat costaud en apparence qui va devoir exposer ses blessures personnelles.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Cinéaste rare, Bernard Stora orchestre dans « Villa Caprice » la confrontation de deux comédiens magnétiques sur fond de pots-de-vin et d'affaires immobilières. Du cinéma classique, solide, indémodable.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Marianne
par Olivier De Bruyn
Dans « Villa Caprice », Bernard Stora met en scène des personnages peu recommandables et signe film noir atypique qui donne l’occasion à l’immense Niels Arestrup, alias Luc Germon, d’incarner un nouveau rôle majeur.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Une facture un peu à l'ancienne mais une atmosphère originale, du suspense, de très belles images de la Côte d'Azur et, surtout, un très beau duo d'acteurs.
Télé Loisirs
par Gwenola Trouillard
[...] un duel au sommet à fleurets mouchetés qui vire à l'affrontement, dans la lignée des grands face-à-face de cinéma tels "Garde à vue" ou "Le Souper".
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
L’art de la bonne guerre consiste à vaincre sans combattre. Bernard Stora, fin dialoguiste, pourrait avoir écrit le scénario de Villa Caprice en ayant pour manuel de conduite L’Art de la guerre de Sun Tzu, légendaire traité de stratégie militaire chinois, la ruse pour force.
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
L’élégance du style de Bernard Stora se déploie dans de magnifiques décors.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Christophe Caron
On aurait aimé un thriller chabrolien beaucoup plus vénéneux, mais la confrontation théâtrale entre Patrick Bruel et Niels Arestrup reste intéressante. Duel inégal d’ailleurs, tant le second impose son charisme ténébreux dans la peau d’une gloire du barreau isolée, désenchantée, voire désorientée.
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Bernard Stora, fin dialoguiste, pourrait avoir écrit le scénario de Villa Caprice en ayant pour manuel de conduite L’Art de la guerre de Sun Tzu, légendaire traité de stratégie militaire chinois, la ruse pour force.
Les Fiches du Cinéma
par Simon Hoarau
Niels Arestrup et Patrick Bruel s’affrontent dans ce thriller efficace, dont le caractère verbal et le scénario habile tranchent avec un certain académisme.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Le Figaro
par La Rédaction
Les comédiens, qui n'ont pas à rougir de leur prestation, semblent livrés à leur sort et leurs joutes verbales manquent de piquant.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphane Joby
Malgré son rythme parfois lancinant, l’histoire de cette relation entre deux hommes que tout oppose s’avère plus riche et complexe qu’attendue.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
La peinture de ces deux caractères, comme de l’intrigue qui les rassemble, restera bien trop sommaire pour nous convaincre de son intérêt.
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Las, avec cette méditation sur le pouvoir, on reste le plus souvent à la surface des situations et des êtres.
Libération
par Sandra Onana
Le film est d’une ringardise à couper le souffle, où toutes les répliques semblent avoir été usinées par un générateur de poncifs bourrins [...], quand elles ne dérivent pas en notice publicitaire pour les modèles de voiliers.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Sylvestre Picard
Villa Caprice semble vouloir asséner de grandes leçons sur la politique et la justice, mais n’a clairement pas les épaules pour un aussi gros programme : le face-à-face en huis clos des deux acteurs principaux est éludé, les dialogues pompeux tombent à plat, le pitch machiavélique dégonfle très vite…
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Samuel Douhaire
Villa Caprice est un drame psychologique à l’ancienne, surécrit et mis en scène avec une fascination (involontaire ?) pour le luxe, où s’affrontent un milliardaire en délicatesse avec la justice et son avocat à la vie privée pour le moins compliquée.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Positif
Des dialogues subtils, un écheveau de manipulations et cinq comédiens d’une merveilleuse précision, au service d’un film comme autrefois. Ringard ? En rien. Le pessimisme final de Stora, radical et éclatant, laisse pantois.
CNews
Ce thriller psychologique qui compte également au casting Irène Jacob, Michel Bouquet et Laurent Stocker, s’attarde davantage sur la complexité de l’âme humaine, les rapports de connivence et les jeux de pouvoir que sur le déroulé classique d’un procès où la vérité éclate au grand jour.
Closer
Ce thriller judiciaire captive grâce à la performance de ses deux principaux acteurs.
L'Obs
Niels Arestrup, dans le rôle de l’avocat, est génial.
Le Parisien
Un duel d’acteurs au sommet, entre un Patrick Bruel impeccable en homme d’affaires douteux, et un Niels Arestrup immense en avocat costaud en apparence qui va devoir exposer ses blessures personnelles.
Les Echos
Cinéaste rare, Bernard Stora orchestre dans « Villa Caprice » la confrontation de deux comédiens magnétiques sur fond de pots-de-vin et d'affaires immobilières. Du cinéma classique, solide, indémodable.
Marianne
Dans « Villa Caprice », Bernard Stora met en scène des personnages peu recommandables et signe film noir atypique qui donne l’occasion à l’immense Niels Arestrup, alias Luc Germon, d’incarner un nouveau rôle majeur.
Ouest France
Une facture un peu à l'ancienne mais une atmosphère originale, du suspense, de très belles images de la Côte d'Azur et, surtout, un très beau duo d'acteurs.
Télé Loisirs
[...] un duel au sommet à fleurets mouchetés qui vire à l'affrontement, dans la lignée des grands face-à-face de cinéma tels "Garde à vue" ou "Le Souper".
Dernières Nouvelles d'Alsace
L’art de la bonne guerre consiste à vaincre sans combattre. Bernard Stora, fin dialoguiste, pourrait avoir écrit le scénario de Villa Caprice en ayant pour manuel de conduite L’Art de la guerre de Sun Tzu, légendaire traité de stratégie militaire chinois, la ruse pour force.
La Croix
L’élégance du style de Bernard Stora se déploie dans de magnifiques décors.
La Voix du Nord
On aurait aimé un thriller chabrolien beaucoup plus vénéneux, mais la confrontation théâtrale entre Patrick Bruel et Niels Arestrup reste intéressante. Duel inégal d’ailleurs, tant le second impose son charisme ténébreux dans la peau d’une gloire du barreau isolée, désenchantée, voire désorientée.
Le Dauphiné Libéré
Bernard Stora, fin dialoguiste, pourrait avoir écrit le scénario de Villa Caprice en ayant pour manuel de conduite L’Art de la guerre de Sun Tzu, légendaire traité de stratégie militaire chinois, la ruse pour force.
Les Fiches du Cinéma
Niels Arestrup et Patrick Bruel s’affrontent dans ce thriller efficace, dont le caractère verbal et le scénario habile tranchent avec un certain académisme.
Le Figaro
Les comédiens, qui n'ont pas à rougir de leur prestation, semblent livrés à leur sort et leurs joutes verbales manquent de piquant.
Le Journal du Dimanche
Malgré son rythme parfois lancinant, l’histoire de cette relation entre deux hommes que tout oppose s’avère plus riche et complexe qu’attendue.
Le Monde
La peinture de ces deux caractères, comme de l’intrigue qui les rassemble, restera bien trop sommaire pour nous convaincre de son intérêt.
Télé 7 Jours
Las, avec cette méditation sur le pouvoir, on reste le plus souvent à la surface des situations et des êtres.
Libération
Le film est d’une ringardise à couper le souffle, où toutes les répliques semblent avoir été usinées par un générateur de poncifs bourrins [...], quand elles ne dérivent pas en notice publicitaire pour les modèles de voiliers.
Première
Villa Caprice semble vouloir asséner de grandes leçons sur la politique et la justice, mais n’a clairement pas les épaules pour un aussi gros programme : le face-à-face en huis clos des deux acteurs principaux est éludé, les dialogues pompeux tombent à plat, le pitch machiavélique dégonfle très vite…
Télérama
Villa Caprice est un drame psychologique à l’ancienne, surécrit et mis en scène avec une fascination (involontaire ?) pour le luxe, où s’affrontent un milliardaire en délicatesse avec la justice et son avocat à la vie privée pour le moins compliquée.