Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
Le Parisien
par Yves Jaeglé
La cinéaste japonaise Naomi Kawase signe un très beau mélodrame sur un bébé adopté dont la mère biologique s’efface, puis réapparaît.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Voici
par La Rédaction
Naomi Kawase décortique, entre violence et pudeur, la question de l'amour maternel et des racines, à travers le manque, l'attachement et la perte qui touchent les deux femmes avec la même force.
Elle
par Françoise Delbecq
Un film sensible qui qui évite l'écueil du pathos par sa pudeur, ses non-dits, son regard contemplatif.
Franceinfo Culture
par Laurence Houot
Le sujet est traité avec nuances et tendresse, le scénario offrant au bout du compte à chacun, comme une réparation, sa bonne place. Bouleversant.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Humanité
par Amaïllia Bordet
À défaut de fouler le tapis rouge comme elle a coutume de le faire, Naomi Kawase a, non sans mérite, hérité en 2020 du label cannois pour son film True Mothers.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Xavier Leherpeur
A travers l’histoire, romanesque et bouleversante, d’un couple ayant adopté un garçonnet que sa mère biologique cherche à rencontrer, elle dénonce l’hypocrisie morale de son pays et adopte la forme documentaire quand elle s’immerge dans un refuge pour jeunes mères célibataires.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
Ce lumineux mélodrame sur l’adoption, signé Naomi Kawase, complète la prolifique filmographie, au style panthéiste, d’une cinéaste de la délicatesse.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
La cinéaste filme avec délicatesse ses personnages complexes en communion avec une nature toute-puissance, composant des images sublimes inondées de lumière et d'humanité.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
par François Barge-Prieur
Naomi Kawase s’empare, avec une finesse mélodieuse plutôt qu’un brio tape-à-l’œil, du sujet de l’adoption, et livre, avec True Mothers, un superbe film - au montage incroyable, à l’écriture délicate, au rythme entêtant et à la puissance indéniable.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Paris Match
par Yannick Vely
Loin de l'image zen qu'on lui accole, Naomi Kawase aborde toujours frontalement le mélodrame, n'hésitant pas à plonger ses héroïnes têtes la première dans un tourbillon émotionnel. On en ressort les yeux embués, de rage, de tristesse et de bonheur mêlés.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
aVoir-aLire.com
par Tristan Isaac
Traitant un sujet difficile avec nuance et délicatesse, Naomi Kawase réalise avec True Mothers un drame sur la maternité à la fois personnel et sensible, mais qui, malheureusement, confine parfois au téléfilm.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
La Septième Obsession
par Loris Hantzis
Naomi Kawase signe un mélodrame dont les grands sentiments pourront agacer ou ravir tant la cinéaste japonaise surligne autant son propos qu'elle peut, par ailleurs, être d'une extraordinaire justesse dans son traitement.
Le Monde
par Mathieu Macheret
La tenue de l'ensemble tient surtout au fin tressage qui est fait entre fiction et documentaire.
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Entre douleurs et dilemmes, la réalisatrice japonaise livre un récit aux contours autobiographiques d’une efficacité sobre.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Olivier Lamm
Cette histoire simple et éloquente fait un mélodrame assez puissant, surtout quand Kawase, excellente filmeuse de scènes aux effets de réel emballants, laisse respirer ses comédiens. Mais toujours entre deux eaux dans son goût de cinéaste, la Japonaise saboterait presque cette première veine avec ses penchants de faiseuse de jolies images et panthéiste à l’eau de rose [...].
La critique complète est disponible sur le site Libération
Cahiers du Cinéma
par Romain Lefebvre
Heureusement True Mothers substitue au drame conventionnel à base de chantage une plongée dans les histoires respectives.
Positif
par Hubert Niogret
Comme la cinéaste refuse d’élaguer ce qu’elle a filmé, l’œuvre se détériore, devient obscure, et l’aplatissement général provoque un sentiment d’ennui pour le spectateur.
Première
par Thierry Chèze
Dommage que True mothers se perde dans une construction en flashbacks et forwards inutilement compliqués qui finissent par placer le spectateur en avance de l’action. Et ruine pour une large part l’émotion finale recherchée.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Parisien
La cinéaste japonaise Naomi Kawase signe un très beau mélodrame sur un bébé adopté dont la mère biologique s’efface, puis réapparaît.
Voici
Naomi Kawase décortique, entre violence et pudeur, la question de l'amour maternel et des racines, à travers le manque, l'attachement et la perte qui touchent les deux femmes avec la même force.
Elle
Un film sensible qui qui évite l'écueil du pathos par sa pudeur, ses non-dits, son regard contemplatif.
Franceinfo Culture
Le sujet est traité avec nuances et tendresse, le scénario offrant au bout du compte à chacun, comme une réparation, sa bonne place. Bouleversant.
L'Humanité
À défaut de fouler le tapis rouge comme elle a coutume de le faire, Naomi Kawase a, non sans mérite, hérité en 2020 du label cannois pour son film True Mothers.
L'Obs
A travers l’histoire, romanesque et bouleversante, d’un couple ayant adopté un garçonnet que sa mère biologique cherche à rencontrer, elle dénonce l’hypocrisie morale de son pays et adopte la forme documentaire quand elle s’immerge dans un refuge pour jeunes mères célibataires.
La Croix
Ce lumineux mélodrame sur l’adoption, signé Naomi Kawase, complète la prolifique filmographie, au style panthéiste, d’une cinéaste de la délicatesse.
Le Journal du Dimanche
La cinéaste filme avec délicatesse ses personnages complexes en communion avec une nature toute-puissance, composant des images sublimes inondées de lumière et d'humanité.
Les Fiches du Cinéma
Naomi Kawase s’empare, avec une finesse mélodieuse plutôt qu’un brio tape-à-l’œil, du sujet de l’adoption, et livre, avec True Mothers, un superbe film - au montage incroyable, à l’écriture délicate, au rythme entêtant et à la puissance indéniable.
Paris Match
Loin de l'image zen qu'on lui accole, Naomi Kawase aborde toujours frontalement le mélodrame, n'hésitant pas à plonger ses héroïnes têtes la première dans un tourbillon émotionnel. On en ressort les yeux embués, de rage, de tristesse et de bonheur mêlés.
aVoir-aLire.com
Traitant un sujet difficile avec nuance et délicatesse, Naomi Kawase réalise avec True Mothers un drame sur la maternité à la fois personnel et sensible, mais qui, malheureusement, confine parfois au téléfilm.
La Septième Obsession
Naomi Kawase signe un mélodrame dont les grands sentiments pourront agacer ou ravir tant la cinéaste japonaise surligne autant son propos qu'elle peut, par ailleurs, être d'une extraordinaire justesse dans son traitement.
Le Monde
La tenue de l'ensemble tient surtout au fin tressage qui est fait entre fiction et documentaire.
Les Inrockuptibles
Entre douleurs et dilemmes, la réalisatrice japonaise livre un récit aux contours autobiographiques d’une efficacité sobre.
Libération
Cette histoire simple et éloquente fait un mélodrame assez puissant, surtout quand Kawase, excellente filmeuse de scènes aux effets de réel emballants, laisse respirer ses comédiens. Mais toujours entre deux eaux dans son goût de cinéaste, la Japonaise saboterait presque cette première veine avec ses penchants de faiseuse de jolies images et panthéiste à l’eau de rose [...].
Cahiers du Cinéma
Heureusement True Mothers substitue au drame conventionnel à base de chantage une plongée dans les histoires respectives.
Positif
Comme la cinéaste refuse d’élaguer ce qu’elle a filmé, l’œuvre se détériore, devient obscure, et l’aplatissement général provoque un sentiment d’ennui pour le spectateur.
Première
Dommage que True mothers se perde dans une construction en flashbacks et forwards inutilement compliqués qui finissent par placer le spectateur en avance de l’action. Et ruine pour une large part l’émotion finale recherchée.