Mon compte
    Mandibules
    Note moyenne
    3,0
    6439 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur Mandibules ?

    364 critiques spectateurs

    5
    24 critiques
    4
    64 critiques
    3
    121 critiques
    2
    71 critiques
    1
    45 critiques
    0
    39 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    ufsara
    ufsara

    8 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 21 mai 2021
    Un vrai Dupieux, absurde, satirique, second degré, brillant... Merci pour ce merveilleux retour au cinéma !
    Missa
    Missa

    30 abonnés 49 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 mai 2021
    Deux amis un peu paumés et marginaux volent une voiture et découvrent dans le coffre une gigantesque mouche. Dès lors, ils vont tenter de l'apprivoiser..
    Quentin Dupieux est un cinéastre à part dont le style m'évoque Blier. J'avais détesté "Réalités" et adoré "Au poste". J'étais donc un peu fébrile quand a débuté la séance. J'ai bien aimé le film même si le plaisir était moins fort que "Au poste". Ce que j'apprécie le plus dans le film c'est que je ne sais absolument pas comment l'histoire va évoluer. Si au début j'essaie d'imaginer l'évolution de l'histoire, peu à peu j'arrête de résister et je me concentre sur l'action au présent. J'ai aimé la fantaisie du film, les acteurs et puis ce beau soleil du Var.
    blancoco
    blancoco

    36 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 21 mai 2021
    J'ai essayé même si déjà le palmashow ne m'a jamais fait rire, je suis pas contre l'absurde non plus. Mais je ne suis pas rentrer dans cette histoire, pas rit une seule fois. Dommage 1h30 de perdue...
    tisma
    tisma

    298 abonnés 2 016 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 mai 2021
    Une histoire totalement intriguante mais totalement prenante. Même si j'ai eu du mal à m'attacher au tandem principal au début, j'ai apprécié leurs aventures et les situations dans lesquelles ils se mettent tout au long de ce film. Un film qui nous permet de se retrouver avec les salles de cinéma.
    Remi S.
    Remi S.

    19 abonnés 135 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 mai 2021
    *Mandibules*, le nouveau film de Quentin Dupieux est dans la droite lignée de ces derniers films comme *Le Daim*, *Au Poste* ou même *Rubber* : la volonté de ce cinéma n’est pas de devenir grand, mais bel et bien de rester petit, dans un quasi-anecdotisme qui serait ici à conjuguer en une valeur positive. Rester dans une adolescence bête et immature, à l’image des parfaits Jean-Gab et Manu, tout en accordant toujours un malin plaisir dans la drôlerie et la bêtise. Quentin Dupieux serait alors un petit maitre pour canaliser tout cela. Peut-être parce qu’il réussit constamment à jouer entre cette frontière d’un réel et d’un décalage complet venu certainement d’ailleurs. Les localisations géographiques de ces films révèlent d’ailleurs ce jeu constant : si l’on devine des traits qui nous sont semblables, ces lieux toujours plus proches de la nature que de la ville, semblent sortir d’une autre planète bien plus alimentée par l’absurde que par la raison. C’est un monde de la bêtise, dont l’on reconnait les horizons mais que l’on suit le sourire aux lèvres en étant toujours étonné et réjouis des hasards qui viennent sans relâche cogner à la porte. Cette mouche géante rentre alors parfaitement dans le cadre, car elle est au même niveau de la grande farce qui anime *Mandibules* d’invitations en invitations. C’est la loi du « No Reason » du flic sorti du coffre de *Rubber* qui dicte tout !
    Cinememories
    Cinememories

    487 abonnés 1 466 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 mai 2021
    Après « Au Poste » et « Le Daim », Quentin Dupieux continue d'explorer les situations insolites, agrémentées d'un humour absurde qui fait de nouveau mouche. Nous l'attendions évidemment sur ces routes difformes, où ces personnages évoquent d'eux-mêmes tout le paradoxe de leur œuvre respectif. Et quand bien même, il n'est pas toujours nécessaire d'en extirper la sève thématique et les enjeux qu'engendre le méli-mélo de classes sociales, sa dernière trouvaille lui ouvrira la voie vers le succès. Peut-être sommes-nous encore en décalage avec le travail d'équilibriste de « Réalité », où le cinéaste a su marier les genres et offrir l'accessibilité à son cinéma, toujours plein de saveurs, tantôt locales, tantôt exotiques dans le paysage de l’hexagone. Et quand bien même il nous revient avec un pitch des plus simple et des plus perché, cela reste une somptueuse promesse énergétique, qui apprivoise la spontanéité d’une évasion.

    Il s’agit d’une vérité qui se confirme qu’à partir d’un certain temps, celui d’une exposition aussi hasardeuse que convenu. Nous reconnaissons l’élan apaisant du décor que Dupieux filme avec un faux air d’insouciance, qui colle évidemment avec le registre des deux protagonistes, tenant davantage de la bêtise occidentale que d’un symbolisme assumé de la régression sociétale. Manu (Grégoire Ludig) retrouve Jean-Gab (David Marsais) dans l’intimité d’une voiture volée et qui abrite l’objet de tous leurs supplices et de tous leurs désirs. Il est agréablement surprenant de se laisser tenter par ce babysitting qui tourne mal ou pas comme prévu. Mais venant d’un plan déjà foireux, il y a un recul en moins à encaisser. Dommage que l’on se cantonne toutefois à offrir une progression moins naturelle à ces deux zigotos, ne sachant pas distinguer le bon du mauvais. S’oxygéner leur suffirait amplement à profiter de l’été qui s’annonce pénible et illustratif de toute la méfiance que convoque l’intrigue.

    Une mouche géante devient l’animal de compagnie de fortune pour des compères qui semblent si loin de l’alchimie du Palmashow. Il a fallu des dialogues bien solides et parfois raffinés pour passer outre la lourdeur des échanges adolescents. Et toute la raison d’être des personnages réside dans ce profond décalage, comme si l’on restait bloqué à cette période charnière qui mène vers une maturité, indéniablement manqué. Cette œuvre évoque donc autant le style du cinéaste que son attrait pour les boutades musicales. Les sensations rattrapent ainsi le spectateur, dès lors que l’on s’engage dans le hors-piste d’une maison de fous. Agnès (Adèle Exarchopoulos) en est l’ambassadrice titulaire et ne perd jamais de terrain sur ses pairs à chaque intervention tonitruante. Il y a donc de quoi mettre tout le monde sur le pied d’égalité au festival de la sottise et c'est sur ces instants que le film réussit ses manœuvres les plus délicates.

    Oui, le jeu en vaut la chandelle, mais peut-être qu’après avoir trop baigné dans le versant maladroit et efficace de son humour, Dupieux en néglige les contrastes. Un rapport de rationalité ou de non-sens perd de la voix et ironiquement de la crédibilité dans son registre le plus loufoque. Ce que l’on retiendra malgré toutes les épreuves, c’est bien sûr la fraternité et l’amitié qui se dégage des deux losers, qui sont finalement les autostoppeurs de cette mouche, qui les guidera hors des sentiers battus et rebattus des œuvres des frères Coen. Toujours inventif mais pas assez incisif dans ce qu’il prétend être, « Mandibules » dévale une pente à cloche-pied, sans se soucier des séquelles qu’il cultive.
    lhomme-grenouille
    lhomme-grenouille

    3 355 abonnés 3 170 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 20 mai 2021
    Je le conçois : expliquer le plaisir qu’on peut prendre face à un film de Quentin Dupieux, c’est compliqué.
    C’est du moins tout aussi compliqué que d’avoir à expliquer pourquoi on n’a pas pris de plaisir face à un film de Quentin Dupieux.
    Me concernant il m’arrive d’être tantôt d’un côté de la barrière, tantôt de l’autre.
    Des fois j’adore. Des fois je reste sur la touche.
    Des fois je crie au film de génie. Et d’autres fois j’ai envie de condamner ce que je perçois comme une grosse bouse.
    Or, concernant ce « Mandibules », chez moi c’est clairement de la catégorie n°2.
    De la bonne grosse bouse.
    …Peut-être même la pire que Dupieux nous ait jamais chié.

    Alors comment expliquer ?
    Comment expliquer que, chez moi, il puisse s’exprimer de tels grands écarts ?
    Eh bien je pense que ça tient tout simplement au fait que l’humour ça reste une démarche très subtile. Peut-être même la plus subtile qui soit.
    L’humour ça repose sur du décalage, de la rupture, voire de l’absurde.
    Pour rire – ou du moins pour s’amuser d’un instant de cinéma – il faut qu’à un moment donné le film sache nous prendre à contrepied ; qu’il sache bousculer notre équilibre sans pour autant nous faire tomber.
    En ce qui me concerne c’est que « Rubber » était parvenu à faire un bon quart d’heure avant de s’écrouler.
    C’est ce que « Wrong » était parvenu à faire sur quasiment une bonne moitié avant de chanceler.
    Et c’est que « Wrong Cops » et surtout « Réalité » sont parvenus à accomplir du début jusqu’à la fin.
    Seulement voilà, pour « Mandibules », en deux minutes montre en main, tout s’est lamentablement cassé la gueule.

    Pourtant ça commençait vraiment pas mal.
    Une voiture arrive au pied d’une maison en bord de mer.
    Un homme en sort, cherchant visiblement quelqu’un.
    Il fait le tour. Ne voit personne. Il s’étonne.
    Le cadre est maitrisé. La photographie élégante.
    Même la narration est finalement aux petits oignons puisqu’en une seule minute s’opère déjà un effet d’intrigue.
    Cet effet et d’autant plus accentué quand au loin, au bord de l’eau, l’homme sorti de la voiture surprend un corps jonchant la plage, roulé vulgairement dans une couverture.
    Surpris, il se rapproche de ce qui semble être un cadavre.
    Il donne un coup de pied. « Debout ! » lâche-t-il d’un ton badin.
    Premier sourire.
    Qui pourrait franchement penser qu’il s’agit là d’un homme dormant les pieds dans l’eau ?
    Mais bon voilà, le sac bouge. Grégoire Ludig en sort. Fracassé.
    Rupture. Deuxième sourire.

    Le problème c’est qu’à ce moment-là, j’ignorais que ce deuxième sourire allait être le dernier.
    Ça aura donc duré deux minutes.
    Deux minutes assez chouettes.
    Et puis à partir de là commence la douche froide.
    Il a juste suffi que Grégoire Ludig se mette à parler pour que la révélation s’accomplisse.
    …Pour que déjà le bruit de la sale bestiole se fasse entendre.

    Alors OK, visiblement ce film a fait marrer quelques personnes.
    C’est en tout cas ce que laissent entendre les quelques premiers retours présents sur le site.
    Tant mieux pour eux. Il en faut pour tout le monde.
    Mais moi j’avoue que ce genre d’humour là, ça me laisse totalement sur la touche.
    Voir Ludig jouer le demeuré à la « Dumb & Dumber » ou bien à la « Eh mec ! Elle est où ma caisse ? » ça me laisse clairement dubitatif, et c’est peu dire.
    Et d’ailleurs, plus que le ton, c’est surtout le contenu qui m’a laissé coi.
    Que la situation comique ne repose en tout et pour tout que sur le seul fait que le mec ne comprenne rien, c’est quand même le niveau zéro de créativité.
    « Tu as compris ? Il faut que tu amènes cette mallette en voiture d’un point A à un point B…
    – Et pourquoi tu veux que j’y aille en voiture ? (Air niais.)
    – C’est le contrat. C’est comme ça.
    – Et pourquoi pas y aller à pied ? C’est plus simple non ?
    – Mais imbécile ! C’est pour qu’on ne te voit pas avec la malette à la main !
    – Ah ouais ouais ouais… (Air super niais.)
    – Quand tu donneras la mallette, le gars te donnera 500 euros. C’est pour toi, moi je ne te prends même pas de commission dessus.
    – Ah ouais ! (Grand sourire bête.) Ah c’est sympa…
    – Mais je compte sur toi. Une voiture avec un coffre !
    – Ouais ouais… Tu peux compter sur moi. (Air extatique.) »
    Je ne sais pas vous, mais moi, face à ce genre d’échange (échange qui, dans le film, s’étale bien plus) j’avoue n’avoir jamais été pris à contrepied.
    Je n’ai ressenti aucune rupture. Aucun décalage. Aucune absurdité.
    J’ai juste vu un mec bête. Et pénible par-dessus le marché.
    C’était…
    …creux.

    Et malheureusement tout le film est comme ça.
    En tout et (presque) pour tout, le seul truc surprenant et absurde qui survient dans ce film est l’élément qui est présent sur l’affiche : la grosse mouche.
    Au-delà de cet élément-là : rien. C’est juste Ludig qui fait le demeuré et qui va retrouver son pote Marsais qui fait lui aussi le demeuré.
    C’est surjoué au possible. C’est lourd.
    Tous les instants sur surappuyés, répétés, commentés… Comme ce moment où ils découvrent cette mouche par exemple.
    Le « t’as pas entendu un bruit ? » est étendu ad nauseam sans aucune autre plus-value.
    Et tout s’étire comme ça jusque dans l’usure.
    Les effets comiques amenés se répètent et se répètent encore, manquant cruellement de créativité.
    Pire, ces effets sont même carrément exaspérants. Horripilants. Voire franchement gênants tant ils reposent sur de l’humour bas-de-gamme.
    spoiler: (Tout le trip autour d’Adèle Exarchopoulos qui ne sait parler qu’en hurlant, ça m’a juste fatigué. J’avais envie de l’abattre, voire qu’on m’abatte.)


    C’est terrible à dire, mais pour moi ce film a juste été un calvaire.
    Une souffrance.
    J’ai passé toute la seconde moitié du film à envoyer des SMS à l’aide à un ami qui m’avait pourtant prévenu.
    Et il m’a répondu : « je t’avais prévenu. »

    Alors voilà.
    Maintenant vous êtes prévenus aussi.
    J’ai fait ma part.
    Vous ne viendrez pas vous plaindre.

    En espérant juste pour ma part que, pour son prochain film, l’ami Dupieux sera me faire rebasculer de l’autre côté de la barrière : celui où je me marre et où je prends du bon temps.
    Mais bon, juste histoire d’anticiper un peu le coup, un petit message perso pour notre cher Mister Oizo : « Pitié, la prochaine fois, tes potes du Palmashow, tu les abandonnes au bistrot… »
    Samiaule
    Samiaule

    3 abonnés 42 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 mai 2021
    Un bon Dupieux avec ses personnages complètement décalés, ses actions lentes et imprévisibles, et une très belle mise en scène de ses deux acteurs qui ont bercé mon adolescence : Grégoire Ludig et David Marsais
    Dois-Je Le voir ?
    Dois-Je Le voir ?

    365 abonnés 1 814 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 mai 2021
    Jean-Gab et Manu, deux amis simples d’esprit, trouvent une mouche géante coincée dans le coffre d’une voiture et se mettent en tête de la dresser pour gagner de l’argent avec.

    C'est une réalisation de Quentin Dupieux habitué aux longs-métrages atypiques comme Steak (2007) et Au Poste! (2018). Il en a écrit le scénario.

    Je m'attendais à une comédie totalement décalée venant de Quentin Dupieux, et c'est le cas. Le Français continue sur sa lancée. Alors que je n'aimais pas trop ses premières réalisations, depuis la dernière, Le Daim (2019), je commence à apprécier son style.

    L'histoire de cette fameuse mouche géante est tout ce qu'il y a de plus original. Tout va tourner autour de sa tentative maladroite d'apprivoisement mais surtout la cacher au monde. Cela va donner un bon nombre de passages incongrus qui m'ont bien fait rire. Malheureusement, il y a un petit coup de mou sur le milieu, la comédie ayant du mal à se redonner un coup de boost, toutes les blagues ne tombent pas juste car un peu lourde.

    C'est un peu à l'image du duo du Palmashow David Marsais et Grégoire Ludig. J'étais content de retrouver leur complicité ayant fait leur succès, cependant à plusieurs reprises ils sont trop insistants et c'est un peu fatigant.

    Par contre, j'ai beaucoup apprécié le casting secondaire. Il permet notamment de mettre en avant India Hair dont la simplicité m'enchante. Je dois aussi reconnaitre que j'ai été pris à contre-pied par Adèle Exarchopoulos dont l'interprétation détonne. D'autres rôles vont venir agrémenter la comédie comme ceux de Roméo Elvis et Bruno Lochet. Ce dernier est d'ailleurs à l'affiche en même temps dans Le Dernier voyage (2021).

    Ce film court était donc une bonne réintroduction au cinéma avec son ambiance atypique. Au-delà de l'histoire, Quentin Dupieux a créé une atmosphère autour du duo Palmashow grâce à un visuel travaillé et une bande originale rafraichissante.
    islander29
    islander29

    876 abonnés 2 376 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 mai 2021
    Moi, j'ai adoré, c'est complètement décalé, et cette histoire de deux "abrutis" détend considérablement....Le scénario comme souvent chez Quentin Dupieux est original, voire invraisemblable au sens premier du mot...Quelle imagination et quelle savoir faire....Au fond les "idiots" sont les plus aptes à nous divertir, et ces deux là, qui veulent apprivoiser une mouche ( elle est très bien faite) , aussi grosse qu'un chien, n'échappent pas à la règle....C'est pour moi aussi fou que "rubber" et les dialogues si spontanés rendent le film passionnant....La rencontre dans la caravane, la rencontre autour de la piscine, avec la fille qui hurle depuis son accident de ski sont intrigants à souhait...j'ai moins aimé l'intervention des flics.....au final l'interprétation , les décors, la bande son, sont, excellents et si vous voulez reprendre , vous rabibochez avec le cinéma, c'est le film qu'il vous faut, La chute finale est un must.....En tout cas j'ai été ravi
    Theo Richard
    Theo Richard

    5 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 20 mai 2021
    Un film d'1h17 où il y a des longueurs... la première partie est en dessous de la deuxième. Mais cela reste un film ou l'on passe un bon moment. Les passages comiques sont efficace.
    Ricco92
    Ricco92

    231 abonnés 2 156 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 20 mai 2021
    Quentin Dupieux est un OVNI dans le cinéma français. Mandibules le prouve une nouvelle fois. Face à ce film, la question est surtout comment résister à une comédie aussi loufoque. Nous sommes, en effet, face à un univers original spoiler: (on y trouve tout de même une mouche géante)
    peuplé de personnages un peu dingues. Dupieux joue constamment avec l’absurde pour notre plus grand plaisir. C’est cette folie ambiante qui réjouit régulièrement un spectateur qui découvre une nouvelle manière de saluer ("Taureau") et qui aura surtout du mal à ne pas exploser de rire à chaque apparition d’une Adèle Exarchopoulos qui est plus que surprenante dans un rôle complètement dingue. En un mot, Mandibules est une comédie extrêmement réussie qui devrait plaire à tout spectateur amateur d’univers décalés.
    Uchroniqueur
    Uchroniqueur

    162 abonnés 2 376 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 mai 2021
    "Mandibules" comédie fantastique française réalisée par Quentin Dupieux et sortie en 2021.
    Nous retrouvons ici l'univers absurde de Quentin Dupieux. Son style, son univers et ses personnages décalés.
    Avec Grégoire Ludig, David Marsais, India Hair, Adèle Exarchopoulos, Bruno Lochet et Dominique, la mouche.
    Taureau critique !
    Citrouilleman
    Citrouilleman

    78 abonnés 607 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 mai 2021
    Un film totalement décalé, drôle, délirant. C'est plutôt bien mené mais finalement très linéaire. Un bon moment de détente.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 20 mai 2021
    Je pense que c'est le pire film que j'ai pu voir de toute ma vie. Aucun intérêt. Nullement drôle. Dialogues plats. Histoire ennuyante. Jeu d'acteurs lourd. Film long (et pourtant il ne dure que 1h17...). Pourtant j'adore les films absurde, loufoque et débile. Mais alors là... pour un retour au cinéma, c'est triste ! Et ce ne sont pas les 30 personnes présentes dans la salle qui diront le contraire. Personne n'a rigolé, à aucun moment. Les gens prenaient même le temps de trier leur mail. Bref... ce n'est pas avec ce genre de film qu'on va réconcilier les français avec les films franco-français. Pourtant je suis le premier à vendre et à survendre les comédies françaises. Mais alors là...
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top