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    Mandibules
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    3,0
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    364 critiques spectateurs

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    Antoine Dufour-Ikni
    Antoine Dufour-Ikni

    13 abonnés 18 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 16 août 2021
    J'avoue ne pas savoir trop quoi penser de ce film. On ne peut pas dire que c'est nul: On apprécie les deux glandeurs joués par le duo du Palmashow, on suit les scènes sans s'ennuyer mais on ne peut pas dire non plus que c'est bien et je ne le conseillerais pas tant il ne se passe quasiment rien du film (d'ailleurs très court). Seul certitude, la super prestation d'Adèle Exarchopoulos, tantôt drôle, agaçante et même émouvante dans sa dernière scène.
    Maëlle C.
    Maëlle C.

    7 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 29 mai 2021
    Tres moyen, pas une catastrophe mais ne vaut pas le coup de payer une place de cinema, quelques moments qui prennent a sourire mais pas plus.
    Si je devais donner un mot pour definir ce film je dirais GENANT
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    1 188 abonnés 5 196 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 29 mars 2023
    Un style unique c'est sûr et l'absurde auquel nous sommes habitués marche toujours du tonnerre.
    Dresser une mouche ou rapporter une valise. Évidemment le choix débile ne surprendra personne et les deux nigauds sont vraiment excellents.
    Mais alors pourquoi finir au moment où cela pourrait être drôle. On dirait que le film est inabouti. Comme incroyable mais vrai quoi.
    Mais d'où y la fin là !!!!!!!!!!!!!!
    selenie
    selenie

    6 344 abonnés 6 208 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 mai 2021
    Commençons justement par la Mouche, plus vraie que nature malgré une petite déception en ce qui concerne les ailes et donc le vol. En effet, le cinéaste use facilement du hors champ pour ne pas avoir à filmer le vol de la mouche. Comme à son habitude le cinéaste filme ses personnages avec une empathie non feinte, des personnages marginaux, originaux, qui ne semblent pas à leur place mais en même temps si idéalement incorporé dans un univers qui semble comme un monde parallèle au notre. Le duo joue à cache-cache, la Mouche aussi, les "amis" subissent en bons hôtes qu'ils sont malgré les bizarreries, et seule Adèle Exarchopoulos secoue un peu avec un rôle à contre-emploi d'une singularité rare. La folie, ou plutôt l'absurde repose trop sur une Mouche finalement trop discrète, trop peu active, avec un duo déconnecté sympathique mais dans un récit sans réel enjeu. On remarque aussi quelques détails qui empêchent d'y croire vraiment (coïncidences bienvenues, Pas de sang ?! Pas de question sur le tatouage ?!).
    Site : Selenie
    Jorik V
    Jorik V

    1 279 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 21 juillet 2021
    Ce Quentin Dupieux! On se demande bien comment il peut à chaque fois imaginer des scénarii pareils. Depuis quinze ans, le cinéaste nous propose les histoires les plus improbables et saugrenues qui soient. Entre le pneu tueur de « Rubber », les jeunes liftés de « Steak » ou encore l’homme obsédé par son blouson dans « Le Daim », on peut dire qu’on ne voit pas cela tous les jours sur les écrans et c’est tant mieux. Dupieux reste fidèle à lui-même et se construit une filmographie unique en son genre qui plus est sacrément cohérente. Il parvient à se renouveler au niveau du narratif à chaque fois tout en gardant sa patte et son style si singulier. Et bien sûr ça passe ou ça casse, car c’est le genre de film tellement absurde qu’il risque d’en laisser pas mal sur le bas-côté.



    Le voici qui nous emmène dans le sud de la France à la rencontre de deux losers qui doivent livrer une valise et qui sont perturbés lorsqu’ils découvrent une mouche géante dans leur coffre et se mettent en tête de la dresser pour faire de l’argent. Si, si! A se demander si Dupieux ne retranscrit pas ses rêves sur papier au réveil tellement c’est loufoque… Néanmoins, dans la veine de « Au poste! », ce « Mandibules » apparaît tout de même plus accessible que ses premiers films ou que le trop méta et bizarre « Réalité ». Même l’humour, si décalé et absurde soit-il, nous semble plus à même de toucher un public plus large. Il y a un comique de situation et des gags vraiment drôles et fédérateurs ici. Les réactions de nos deux personnages principaux, sorte de grands bêtas naïfs attachants, sont souvent comiques et il y a quelques quiproquos très bien amenés. Mais le running gag du film, qui pourra autant faire exploser de rire qu’énerver à la longue, c’est Adèle Exarchopoulos et sa manière de parler, enfin crier. Excellent! On est surpris puis on en rit à gorge déployée et c’est un contre-emploi amusant pour la jeune actrice à la moue boudeuse.



    Comme toujours chez le metteur en scène, le long-métrage a le mérite d’être court. Car, comme on le dit souvent, les blagues les plus courtes sont bien évidemment les meilleures. Malgré cela, il y a tout de même quelques longueurs au début et sur la fin mais rien de bien préjudiciable. Dupieux l’a bien compris, un montage resserré et une durée courte vont parfaitement bien à son cinéma. Plus serait trop. On peut dire que si les acteurs s’en donnent à cœur joie, visiblement contents d’être là et de faire partie de l’œuvre du réalisateur français en activité parmi les plus iconoclastes, tout cela manque encore une fois un peu d’ampleur. Si les sujets n’étaient pas si divers et originaux, on pourrait reprocher à Dupieux de se répéter et de verser dans la recette. Laissons-lui encore quelques œuvres avant de voir si c’est le cas. En attendant, c’est drôle, rare, croquignolet et vraiment surprenant. A prendre comme une petit plaisir insignifiant à déguster sans modération si on est à la recherche d’un cinéma totalement hors des sentiers battus.



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    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 200 abonnés 4 185 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 février 2022
    Depuis son retour des Etats-Unis pour la réalisation de « Au poste ! », Quentin Dupieux a eu une activité relativement soutenue. Fin 2024, il devrait compter pas moins de sept films à son actif (douze au total), ce qui sera une réelle performance pour un réalisateur évoluant dans un créneau très étroit du cinéma français, celui du non sens. Il faut dire que désormais les vedettes du cinéma français se bousculent pour apparaître devant sa caméra. Alain Chabat, Benoît Poelvordre, Jean Dujardin, Adèle Exarchopoulos, Léa Drucker et Benoît Magimel constituent à coup sûr un joli tableau de chasse. Selon un format relativement court (entre 1h15 et 1h30) assez bienvenu pour conserver une continuité et certaine cohérence à l’univers qu’il développe dans chacun de ses films, Quentin Dupieux qui écrit lui-même ses scénarios, étale sur la toile sa géographie très orchestrée de l’absurde. Ici, le Midi de la France, une mouche géante trouvée dans un coffre de voiture et deux abrutis bien français comme ceux de la fameuse trilogie des idiots des frères Coen ( « O’brother » , « Intolérable cruauté » et « Burning after reading ») étaient bien américains. Deux idiots incarnés par Grégoire Ludig et David Marsais, les deux membres du duo comique « Palmashow », qui en tiennent une sacrée couche au point que le spectateur peut être tout d’abord agacé puis effrayé par tant d’ignorance alors qu’on nous dit que le système éducatif français n’en finit pas de s’enfoncer dans la reproduction de l’inculture. Si on en croit Quentin Dupieux, le fond n’est pas encore atteint. Les deux zouaves à peine surpris de la présence d’une mouche géante dans un coffre de voiture se mettent dans l’idée de la dresser pour se faire un maximum de fric (horizon désormais indépassable auquel on ne peut plus échapper !). Unis par une solide amitié construite sur les fondements de leurs origines communes, modestes et un peu sordides, les deux zigs finissent par devenir touchants notamment par leur sincérité mais aussi par le rapport affectif qu’ils développent avec l’insecte (clin d’œil à « E.T » de Steven Spielberg). De ce point de vue, « Mandibules » est sans aucun doute le film le moins pessimiste de Dupieux qui invite à prendre la vie comme elle vient sans trop se poser de questions et en s’adaptant tout simplement aux événements. Une faculté qui, au-delà de leur signe de ralliement singulier au cri de « Taureau ! » qu’ils répètent à l’envi à chaque moment de la journée où tout simplement pour se rappeler à l’amitié de l’autre, démontre un instinct de survie aiguisé pour ces deux accidentés de la vie ayant bien compris qu’à deux on est plus fort. L’odyssée méridionale des deux compères et de leur encombrante mouche est comme toujours chez Dupieux parsemée de rencontres insolites dont on retiendra tout particulièrement celle avec Agnès, une jeune fille campée par Adèle Exarchopoulos, empruntant les allures martiales de Greta Thunberg et qui suite à un accident de ski, ne sait plus parler qu’en hurlant. Une Adèle Exarchopoulos complétement raccord avec l’univers de Dupieux et dont on se demande comment le César du meilleur second rôle féminin 2022 pourrait lui échapper. Un film à la construction moins vertigineuse que le sublime « Réalité » ou encore le très référentiel « Au poste ! » mais qui brosse en filigrane de son propos d’apparence décalé, un tableau des rapports sociaux actuels qui laisse songeur.
    Roub E.
    Roub E.

    985 abonnés 5 023 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 mars 2022
    Avec son cinéma qui joue à fond la carte de l’absurde Quentin Dupieux prend toujours le risque de tomber dans le ridicule. Et peut être qu’avec Mandibules pour la première fois de sa filmo c’est vraiment le cas. Sûrement car le comique est plus premier degré j’ai trouvé qu’on était plus dans un ersatz de Dumb and Dumber que dans un univers décalé qui permettait d’accepter des délires qui allaient très loin (une pensée pour Rubber et son pneu serial killer). Alors je n’ai pas passé un mauvais moment car j’ai trouvé ici ou là quelques bonnes idées et que la durée du film très resserré évite les soupirs ou l’exaspération mais c’est clairement le film de Dupieux auquel j’ai le moins accroché.
    L'AlsacienParisien
    L'AlsacienParisien

    637 abonnés 1 403 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 mai 2021
    Ces retrouvailles avec le grand écran m'ont paru tellement surréaliste que j'aurai passé un bon moment même en regardant le plus gros des nanars. J'étais vraiment excité à l'idée de retrouver les pubs un peu nazes (qui n'ont pas changé d'ailleurs, Oasis is good !), les sièges bien confort, le son amplifié et les inconnus de la séance que je garde un bon souvenir de Mandibules, bien qu'en toute subjectivité, je trouve que ce n'est pas le meilleur film de Quentin Dupieux, voire un très bon film tout court. En fait, la qualité de Mandibules, c'est d'assumer sa dinguerie jusqu'au bout, loin des normes et des conventions. Entre buddy movie, road-trip et comédie absurde, la dernière idée loufoque de Dupieux raconte l'histoire de deux nigauds qui découvrent une mouche géante dans le coffre d'une Mercedes volée. Leur idée saugrenue ? La dresser afin de convoyer des stupéfiants et ramasser un max d'oseille !... Porté par le tandem du Palmashow, David Marsais et Grégoire Ludig, habitués à la parodie, un vrai potentiel cartoonesque et décalé se profile. Ils sont comme des poissons dans l'eau dans des rôles sur mesure. Quelques répliques, running-gags et autres situations cocasses assurent sourires, légèreté voire des rires. Ici, pas de prises de tête, pas de scénario compliqué, mais des personnages atypiques, loufoques et à contre-emploi dans un paysage estival chaud et ralenti. Difficile de ne pas mentionner Adèle Exarchopoulos et son élocution particulière, Bruno Lochet et sa caravane ou encore India Hair, très juste mais à côté de la plaque. On sent que c'est un gros délire et que le casting s'est donné à coeur joie lors du tournage, si bien qu'on sent parfois les élans d'improvisation et les rictus au coin des lèvres... Bien que l'histoire se déroule en petit comité et dans un format express, quelques personnages passent à la trappe. Mais le mérite de Mandibules, c'est son récit libre et dépouillé, son univers ensoleillé bâtit sur la naïveté, la flegme et la non-ambition. Quoi de mieux pour un retour en salle me direz-vous ? C'est une grosse blague qui n'a comme limites que l'exigence de ses spectateurs. Pour ma part, j'ai trouvé ce voyage au pays de Dominique la mouche géante un peu vain.
    Cinememories
    Cinememories

    487 abonnés 1 466 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 mai 2021
    Après « Au Poste » et « Le Daim », Quentin Dupieux continue d'explorer les situations insolites, agrémentées d'un humour absurde qui fait de nouveau mouche. Nous l'attendions évidemment sur ces routes difformes, où ces personnages évoquent d'eux-mêmes tout le paradoxe de leur œuvre respectif. Et quand bien même, il n'est pas toujours nécessaire d'en extirper la sève thématique et les enjeux qu'engendre le méli-mélo de classes sociales, sa dernière trouvaille lui ouvrira la voie vers le succès. Peut-être sommes-nous encore en décalage avec le travail d'équilibriste de « Réalité », où le cinéaste a su marier les genres et offrir l'accessibilité à son cinéma, toujours plein de saveurs, tantôt locales, tantôt exotiques dans le paysage de l’hexagone. Et quand bien même il nous revient avec un pitch des plus simple et des plus perché, cela reste une somptueuse promesse énergétique, qui apprivoise la spontanéité d’une évasion.

    Il s’agit d’une vérité qui se confirme qu’à partir d’un certain temps, celui d’une exposition aussi hasardeuse que convenu. Nous reconnaissons l’élan apaisant du décor que Dupieux filme avec un faux air d’insouciance, qui colle évidemment avec le registre des deux protagonistes, tenant davantage de la bêtise occidentale que d’un symbolisme assumé de la régression sociétale. Manu (Grégoire Ludig) retrouve Jean-Gab (David Marsais) dans l’intimité d’une voiture volée et qui abrite l’objet de tous leurs supplices et de tous leurs désirs. Il est agréablement surprenant de se laisser tenter par ce babysitting qui tourne mal ou pas comme prévu. Mais venant d’un plan déjà foireux, il y a un recul en moins à encaisser. Dommage que l’on se cantonne toutefois à offrir une progression moins naturelle à ces deux zigotos, ne sachant pas distinguer le bon du mauvais. S’oxygéner leur suffirait amplement à profiter de l’été qui s’annonce pénible et illustratif de toute la méfiance que convoque l’intrigue.

    Une mouche géante devient l’animal de compagnie de fortune pour des compères qui semblent si loin de l’alchimie du Palmashow. Il a fallu des dialogues bien solides et parfois raffinés pour passer outre la lourdeur des échanges adolescents. Et toute la raison d’être des personnages réside dans ce profond décalage, comme si l’on restait bloqué à cette période charnière qui mène vers une maturité, indéniablement manqué. Cette œuvre évoque donc autant le style du cinéaste que son attrait pour les boutades musicales. Les sensations rattrapent ainsi le spectateur, dès lors que l’on s’engage dans le hors-piste d’une maison de fous. Agnès (Adèle Exarchopoulos) en est l’ambassadrice titulaire et ne perd jamais de terrain sur ses pairs à chaque intervention tonitruante. Il y a donc de quoi mettre tout le monde sur le pied d’égalité au festival de la sottise et c'est sur ces instants que le film réussit ses manœuvres les plus délicates.

    Oui, le jeu en vaut la chandelle, mais peut-être qu’après avoir trop baigné dans le versant maladroit et efficace de son humour, Dupieux en néglige les contrastes. Un rapport de rationalité ou de non-sens perd de la voix et ironiquement de la crédibilité dans son registre le plus loufoque. Ce que l’on retiendra malgré toutes les épreuves, c’est bien sûr la fraternité et l’amitié qui se dégage des deux losers, qui sont finalement les autostoppeurs de cette mouche, qui les guidera hors des sentiers battus et rebattus des œuvres des frères Coen. Toujours inventif mais pas assez incisif dans ce qu’il prétend être, « Mandibules » dévale une pente à cloche-pied, sans se soucier des séquelles qu’il cultive.
    pierrre s.
    pierrre s.

    441 abonnés 3 311 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 décembre 2021
    Deux débiles décident d'élever une mouche.
    Un film et des personnages totalement improbables qui nous donnent un véritable ovni cinématographique.
    Guillaume p
    Guillaume p

    31 abonnés 292 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 mars 2021
    Cruelle déception pour tous fans de Quentin Dupieux. Le daim avait déjà été décevant et trop autocentre sur Jean Dujardin. Là, on fait face à une soirée Palmashow TF1 sans goût ni saveur. L'échec est réel. Dommage car il y avait vraiment un potentiel veux cette histoire.
    Matéo Benoit
    Matéo Benoit

    3 abonnés 211 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 13 juin 2021
    Mandibules est un OVNI du cinéma français avec les membres du Palmashow Ludig et Marsais, des situations absurdes et des personnages délirants.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 20 mai 2021
    Je pense que c'est le pire film que j'ai pu voir de toute ma vie. Aucun intérêt. Nullement drôle. Dialogues plats. Histoire ennuyante. Jeu d'acteurs lourd. Film long (et pourtant il ne dure que 1h17...). Pourtant j'adore les films absurde, loufoque et débile. Mais alors là... pour un retour au cinéma, c'est triste ! Et ce ne sont pas les 30 personnes présentes dans la salle qui diront le contraire. Personne n'a rigolé, à aucun moment. Les gens prenaient même le temps de trier leur mail. Bref... ce n'est pas avec ce genre de film qu'on va réconcilier les français avec les films franco-français. Pourtant je suis le premier à vendre et à survendre les comédies françaises. Mais alors là...
    Lucie O.
    Lucie O.

    41 abonnés 191 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 25 mai 2021
    WTF? C’est l’histoire de 2 mecs qui trouvent une mouche géante et qui veulent l’apprivoiser. En fait j’en dis pas plus ni sur ce que j’ai ressenti ni sur le film en lui même. Rien que l’histoire ça veut tout dire. C’est nimp. Ça n’a aucun sens. Enfin ce qui me rends ouf c’est qu’on me dit " mais le film veut forcément dire quelque chose " oui oui je pense que Mr Oizo a voulu dire. Moi j’ai des fonds pour faire des films de merde et vous ?
    Topazine23
    Topazine23

    41 abonnés 93 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 31 mai 2021
    Mais quelle énorme mouche a piqué Quentin ?! L'interprétation d'Adèle, très réussie, vous fera peut-être oublier la légèreté du scénario et le niveau humoristique de cette dite comédie qui ne vole pas bien haut... Film plutôt gonflé, dont le premier tiers finira donc par titiller la moyenne...
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