Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Libération
par Marcos Uzal
[...] le film s’en sort pourtant avec une vraie délicatesse qui débouche sur une singulière émotion.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Critikat.com
par Chloé Cavilier
Entre conte rohmérien, fable chevaleresque et film de gangsters, Braquer Poitiers trouve son harmonie dans le mariage d’éléments disparates.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
Ce cinéma primitif, chimiquement pur, s’invente sous nos yeux. Cadrages figés, image anti-HD, son lo-fi. On suppose qu’avant chaque séquence, qui est en général un plan-séquence, le cinéaste rédige un simple canevas sur lequel il demande aux acteurs (amateurs) de broder. La candeur et l’immédiateté qui en découlent sont uniques, d’une fraîcheur réconfortante.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
"Braquer Poitiers" réserve son lot de situations décalées et poétiques [...].
Le Monde
par Clarisse Fabre
Un film loufoque et libre.
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
"Braquer Poitiers", sous ses effets pastel enveloppants, se double d’une réflexion théorique, d’une éthique réconfortante sur le plateau de cinéma comme chantier des fantasmes.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Eithne O'Neill
Pour les amateurs de cinéma rafraîchissant et attachant, comme nous, loin de la foule déchaînée et des clichés.
Télérama
par Jacques Morice
Une ode cocasse à l’oisiveté et à l’amitié.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Mathis Badin
Si le charme de Rien sauf l’été opère à nouveau, Braquer Poitiers reste fragile, sa ténuité et sa nonchalance étant telles que certaines séquences flirtent avec les vignettes paysagères.
La Septième Obsession
par Sandrine Marques
"Braquer Poitiers" est une comédie incroyable de drôlerie, de sincérité et d’incongruité revivifiante, qui doit tout à ses interprètes magnifiques et à l’audace de son auteur braqueur.
Le Figaro
par Robin Cannone
Le premier long-métrage de Claude Schmitz s’impose avec un univers loufoque et poétique.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Fiches du Cinéma
par Simon Hoarau
Tout en diffusant un charme certain, cette proposition loufoque laisse néanmoins transparaître un dispositif de cinéma se voulant parfois plus malin et subversif qu’il ne l’est en réalité.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Une comédie hallucinée et inclassable sur la solitude, qui réconcilie les spectateurs avec l’impression d’un monde où les valeurs humanistes s’effacent, au profit d’un individualisme à tout cran.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Obs
par François Forestier
On sent la sympathie du réalisateur pour son sujet et ses garçons, mais est-ce suffisant ? A qui s’adresse ce bout-filmé, ni reportage, ni documentaire, ni polar, ni comédie, ni rien ? Aux copains ? Et encore.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Première
par Sylvestre Picard
À l’origine, Braquer Poitiers durait une heure et ressemblait à un épisode de Strip-tease à peine fictionnel (...). Mais voilà, après avoir fait le tour des festivals, le réalisateur a décidé de rajouter un épilogue hivernal de trente minutes où les acteurs reviennent sur les lieux de tournage en abandonnant leurs personnages. Et ce n’est plus drôle du tout : les masques sont tombés, il ne reste que l’aigreur. Pourquoi ? Mystère.
La critique complète est disponible sur le site Première
Libération
[...] le film s’en sort pourtant avec une vraie délicatesse qui débouche sur une singulière émotion.
Critikat.com
Entre conte rohmérien, fable chevaleresque et film de gangsters, Braquer Poitiers trouve son harmonie dans le mariage d’éléments disparates.
L'Humanité
Ce cinéma primitif, chimiquement pur, s’invente sous nos yeux. Cadrages figés, image anti-HD, son lo-fi. On suppose qu’avant chaque séquence, qui est en général un plan-séquence, le cinéaste rédige un simple canevas sur lequel il demande aux acteurs (amateurs) de broder. La candeur et l’immédiateté qui en découlent sont uniques, d’une fraîcheur réconfortante.
Le Journal du Dimanche
"Braquer Poitiers" réserve son lot de situations décalées et poétiques [...].
Le Monde
Un film loufoque et libre.
Les Inrockuptibles
"Braquer Poitiers", sous ses effets pastel enveloppants, se double d’une réflexion théorique, d’une éthique réconfortante sur le plateau de cinéma comme chantier des fantasmes.
Positif
Pour les amateurs de cinéma rafraîchissant et attachant, comme nous, loin de la foule déchaînée et des clichés.
Télérama
Une ode cocasse à l’oisiveté et à l’amitié.
Cahiers du Cinéma
Si le charme de Rien sauf l’été opère à nouveau, Braquer Poitiers reste fragile, sa ténuité et sa nonchalance étant telles que certaines séquences flirtent avec les vignettes paysagères.
La Septième Obsession
"Braquer Poitiers" est une comédie incroyable de drôlerie, de sincérité et d’incongruité revivifiante, qui doit tout à ses interprètes magnifiques et à l’audace de son auteur braqueur.
Le Figaro
Le premier long-métrage de Claude Schmitz s’impose avec un univers loufoque et poétique.
Les Fiches du Cinéma
Tout en diffusant un charme certain, cette proposition loufoque laisse néanmoins transparaître un dispositif de cinéma se voulant parfois plus malin et subversif qu’il ne l’est en réalité.
aVoir-aLire.com
Une comédie hallucinée et inclassable sur la solitude, qui réconcilie les spectateurs avec l’impression d’un monde où les valeurs humanistes s’effacent, au profit d’un individualisme à tout cran.
L'Obs
On sent la sympathie du réalisateur pour son sujet et ses garçons, mais est-ce suffisant ? A qui s’adresse ce bout-filmé, ni reportage, ni documentaire, ni polar, ni comédie, ni rien ? Aux copains ? Et encore.
Première
À l’origine, Braquer Poitiers durait une heure et ressemblait à un épisode de Strip-tease à peine fictionnel (...). Mais voilà, après avoir fait le tour des festivals, le réalisateur a décidé de rajouter un épilogue hivernal de trente minutes où les acteurs reviennent sur les lieux de tournage en abandonnant leurs personnages. Et ce n’est plus drôle du tout : les masques sont tombés, il ne reste que l’aigreur. Pourquoi ? Mystère.