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Guillaume R.
2 critiques
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4,5
Publiée le 5 janvier 2023
Un film excellent qui fait toujours aussi rire. Un bravo tout particulier à Christian Clavier (Claude Verneuil) et Pascal Nzonzi (André Koffi) qui forment un duo de choc ! La rencontre avec les beaux parents est tout-à-fait amusante et s'inscrit bien dans la logique du film. Une seule petite incohérence au vu des précédents films est le spoiler: dîner à Pékin même si le côté absolument désopilant de cette scène fait que l'on pardonne bien volontiers cela à Philippe de Chauveron. A quand un quatrième épisode ? :-)
J'ai acheté les 3 films sur orange, je dois dire que je suis un peu déçue par l'actrice qui remplace Odile, rien à voir avec Julia, qui elle était polie et très proche de son mari, l'autre actrice mal poli et très lointaine de son mari, bref je l'ai pas aimer du tout, 2 personnes complètement différentes J'adore la famille coffi les autres un peu moins surtout celui qui hurle en chantant Désolée j'ai des trous de mémoire pour les noms d'acteurs Et Christian clavier le top du top j'ai tout ses films mon acteur favori
Christian Clavier fait partie de ces rares acteurs, comme Louis de Funès ou Michel Galabru, qui sont (étaient) capables grâce à leur talent de sauver du naufrage des daubes cinématographiques... Il n'y a que lui dans ce film pour nous arracher de temps à autre un sourire...
On est plutôt dans du réchauffé, seul Christian clavier arrive à tirer son épingle du jeu. Ce qui a fonctionné la première fois n’a pas forcément fonctionné ici .
J'ai adoré. Christian Clavier toujours aussi drole , son talent n'a pas pris une ride. Le comédien qui joue le role de Helmut est aussi tordant! Je n'ai pas trop aimé la scène où les 2 beaux frères se disputent dans le jardin.. Je le recommande
On atteint toujours pas le niveau du premier opus car on continue d'exploiter la même formule sans se renouveler, l'effet de surprise a clairement disparu. Néanmoins cet épisode relève un peu le très bas niveau du deuxième car quelques répliques font mouches. On regrette le casting globalement médiocre des parents des gendres, seul "Koffi" retient finalement encore l'intérêt.
Ce troisième « Bon Dieu » divertît mais la formule commence à franchement tourner en rond. Rares sont les gags et les répliques qui font mouches. Le temps de laisser la famille Verneuil tranquille est arrivé.
Pas forcément l'épisode de trop, quels gags maintiennent le ton des précédents, l'arrivée des parents des 4 beaux-frères permet d'introduire de nouveaux caractères, mais pourtant "qu'est ce qu'on a tous fait au bon dieu" doit rester le dernier. Il devient en effet trop dur de se renouveler, avec un comique second degré qui flirte avec la caricature. Que les scénaristes réfléchissent plutôt à un autre thème.
Ils sont un peu en train de tirer sur la corde…mais c’est la corde d’un film qui valait beaucoup moins que l’agitation médiatique et le succès commercial qui l’ont entouré et, à ce titre, ce troisième épisode n’est sans doute pas pire que le premier, ou que le deuxième. Peut-être même que celui-ci m’a un peu plus fait rire que les précédents. Je n’en suis pas sûr mais de toute façon, ce n’est pas comme si on se tenait les côtes du début à la fin du film. Il est assez surprenant de constater que certains en sont encore à opposer un film qui prétendait lutter contre le racisme - faut le dire vite - et les clichés ethniques en pagaille sur lesquels repose son humour. C’est vrai que tout le monde s’en donne à coeur joie : le Noir qui roule de gros yeux, le Juif qui adore le fric et se dispute avec son beau-frère arabe, le Chinois qu’on confond avec n’importe quel autre Chinois et, bien sûr, le bourgeois français, son racisme tranquille et son mépris de classe ranci. D’ailleurs, peu importe le prétexte scénaristique car l’idée est que tout ce petit monde s’entrechoque à chaque fois et qu’on puisse recycler tranquillement les mêmes clichés que dans le film précédent puisque ‘Qu’est ce qu’on a tous fait au bon dieu” cible de toute façon davantage le Français moyen que le festivalier exigeant. Ce troisième volet radote un peu trop pour être vraiment drôle, est filmé avec la platitude extrême qui caractérise la comédie française standard mais au fond, utiliser l’humour, même beauf, pour expliquer que peu importe la couleur ou la religion, on a tous alternativement de bons mouvements et des accès de connardise, c’est déjà avoir des ambitions supérieures à une bonne partie de la comédie française.
"Qu'est-ce qu'on a tous fait au Bon Dieu ?", comédie française réalisée par Philippe de Chauveron, sortie en 2021. du Troisième film d'une série débutée avec "Qu'est-ce qu'on a fait au Bon Dieu ?" (2014) et "Qu'est-ce qu'on a encore fait au Bon Dieu ?" (2019). Avec Christian Clavier, Chantal Lauby, Frédéric Chau, Medi Sadoun, Ary Abittan, Noom Diawara, Élodie Fontan, Frédérique Bel, Pascal Nzonzi ... Une bonne affiche, un film bien réalisé, une comédie sympathique mais qui ne déclenche cependant pas d'éclats de rires. Comme pour les autres films, le sujet du racisme n'y est pas spécialement conséquent, celui du mariage mixte pas plus transgressif ou subversif. Ce qui s'exprime avant tout dans les films " Qu'est ce qu'on a fait ..." c'est simplement des relations familiales normales dans un milieu bourgeois, avec lequel les gendres et leurs parents, au-delà de leurs origines ou religions sont parfaitement compatibles. Il n'y a pas vraiment de clivage. Ce sont surtout les personnalités de chacun qui fournissent les ressorts scénaristique, avec la différence d'origine en arrière-plan ou comme prétexte. Un véritable clivage, un véritable télescopage culturel, qui aurait mieux servi les situations comiques aurait pu être tout simplement social, au sein d'une famille bourgeoise qui accueille des gendres issus de la classe populaire, avec pourquoi pas, des origines différentes en plus pour corser l'affaire. La rencontre entre deux mondes incompatibles est toujours une bonne recette pour une comédie ; encore faudrait-il que cette incompatibilité soit réellement opérante. Dans les différents films " Qu'est ce qu'on a fait ...", elle ne l'est que très superficiellement et très artificiellement.