Qu'est-ce qu'on a tous fait au Bon Dieu ? : Critique presse
Qu'est-ce qu'on a tous fait au Bon Dieu ?
Note moyenne
2,5
14 titres de presse
Femme Actuelle
Le Journal du Dimanche
Le Parisien
Le Point
Dernières Nouvelles d'Alsace
La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
Le Figaro
La Croix
Ecran Large
Le Monde
Les Inrockuptibles
Paris Match
Télérama
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
Femme Actuelle
par La Rédaction
Dans la droite ligne des premiers volets, un divertissement à prendre comme il convient : en toute légèreté.
Le Journal du Dimanche
par Julien Barcilon
Dépaysements, quiproquos, colères, méprises et gaffes assurés. On rit de bon cœur.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par La Rédaction
Enlevé, bourré de rebondissements, le film nous régale en épinglant les préjugés racistes de Claude Verneuil, mais aussi de ses gendres et même des parents de ces derniers. Plus efficace que les deux premiers « Bon Dieu », ce troisième opus pourrait convertir les plus sceptiques.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Jean-Luc Wachthausen
Mais les rires fusent et tout le monde devient finalement le raciste de l'autre. Morale de l'histoire : on peut rire de tout... A condition d'avoir le ton juste.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Notre Clavier national a raison de dire qu’il fait le même job que notre de Funès dans Les aventures de Rabbi Jacob (1973) de Gérard Oury, où le plus grand comique de l’époque, dans le rôle de Victor Pivert, industriel franchouillard, bourgeois irascible, xénophobe et antisémite, tournait en ridicule l’intolérance religieuse la plus caricaturale.
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Le troisième épisode de la fameuse saga, toujours signé Philippe de Chauveron, se révèle un peu moins problématique que le précédent, se montre généreux en gags, mais continue d’exploiter la même formule sans se renouveler.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Philippe de Chauveron prolonge la comédie d’Oury qui mêlait juifs, catholiques et musulmans. Le Bon Dieu , c’est Rabbi Jacob , les mêmes aventures et la même ligne de comédie satirique : « Simplement des hommes et des femmes de milieux ethniques différents qui se carambolent les uns les autres », avait résumé Gérard Oury.
Le Figaro
par Etienne Sorin
Le duo formé par Christian Clavier et Chantal Lauby n’a rien perdu de son abattage comique pour incarner une vieille France conservatrice. Seul Pascal Nzonzi dans le rôle d’André Koffi fait le poids face à Clavier. Les autres parents n’ont pas grand-chose à se mettre sous la dent.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Ce troisième volet reprend les recettes, souvent douteuses, qui ont fait le succès des deux premières comédies en France et à l’étranger.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Ecran Large
par Lino Cassinat
C'est évidemment une purge infernale, mais Qu'est-ce qu'on a tous fait au Bon Dieu ? tourne en rond après deux opus cauchemardesques et ne surprend même plus, n'attire plus l'attention. Lentement, le fade remplace le rance, et la logique morbide qui anime la série de films semble arriver à son terme. Espérons que cela annonce également la fin de son espérance de vie.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le Monde
par Véronique Cauhapé
La cohabitation ainsi démultipliée apporte son renfort de stéréotypes, de rancœurs, d’affrontements et de mauvaise foi. De quoi créer de la pagaille, mais une pagaille qui s’essouffle à force de tourner en rond et d’exploiter les mêmes ingrédients. Et, au final, ne fait plus rire du tout.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Arnaud Hallet
Qu’est-ce qu’on a tous fait au bon Dieu ? est ainsi une comédie ringarde au carré, qui n’a plus peur de rien parce que tout est bon à prendre.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Paris Match
par Fabrice Leclerc
Un dernier volet poussif.
Télérama
par Frédéric Strauss
À force de ne vouloir fâcher personne, cette comédie couarde semble même craindre le rire – parfois critique, contestataire, voire politique ! Sans pratiquement aucun scénario, les situations vaudevillesques se figent dans l’inanité.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Femme Actuelle
Dans la droite ligne des premiers volets, un divertissement à prendre comme il convient : en toute légèreté.
Le Journal du Dimanche
Dépaysements, quiproquos, colères, méprises et gaffes assurés. On rit de bon cœur.
Le Parisien
Enlevé, bourré de rebondissements, le film nous régale en épinglant les préjugés racistes de Claude Verneuil, mais aussi de ses gendres et même des parents de ces derniers. Plus efficace que les deux premiers « Bon Dieu », ce troisième opus pourrait convertir les plus sceptiques.
Le Point
Mais les rires fusent et tout le monde devient finalement le raciste de l'autre. Morale de l'histoire : on peut rire de tout... A condition d'avoir le ton juste.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Notre Clavier national a raison de dire qu’il fait le même job que notre de Funès dans Les aventures de Rabbi Jacob (1973) de Gérard Oury, où le plus grand comique de l’époque, dans le rôle de Victor Pivert, industriel franchouillard, bourgeois irascible, xénophobe et antisémite, tournait en ridicule l’intolérance religieuse la plus caricaturale.
La Voix du Nord
Le troisième épisode de la fameuse saga, toujours signé Philippe de Chauveron, se révèle un peu moins problématique que le précédent, se montre généreux en gags, mais continue d’exploiter la même formule sans se renouveler.
Le Dauphiné Libéré
Philippe de Chauveron prolonge la comédie d’Oury qui mêlait juifs, catholiques et musulmans. Le Bon Dieu , c’est Rabbi Jacob , les mêmes aventures et la même ligne de comédie satirique : « Simplement des hommes et des femmes de milieux ethniques différents qui se carambolent les uns les autres », avait résumé Gérard Oury.
Le Figaro
Le duo formé par Christian Clavier et Chantal Lauby n’a rien perdu de son abattage comique pour incarner une vieille France conservatrice. Seul Pascal Nzonzi dans le rôle d’André Koffi fait le poids face à Clavier. Les autres parents n’ont pas grand-chose à se mettre sous la dent.
La Croix
Ce troisième volet reprend les recettes, souvent douteuses, qui ont fait le succès des deux premières comédies en France et à l’étranger.
Ecran Large
C'est évidemment une purge infernale, mais Qu'est-ce qu'on a tous fait au Bon Dieu ? tourne en rond après deux opus cauchemardesques et ne surprend même plus, n'attire plus l'attention. Lentement, le fade remplace le rance, et la logique morbide qui anime la série de films semble arriver à son terme. Espérons que cela annonce également la fin de son espérance de vie.
Le Monde
La cohabitation ainsi démultipliée apporte son renfort de stéréotypes, de rancœurs, d’affrontements et de mauvaise foi. De quoi créer de la pagaille, mais une pagaille qui s’essouffle à force de tourner en rond et d’exploiter les mêmes ingrédients. Et, au final, ne fait plus rire du tout.
Les Inrockuptibles
Qu’est-ce qu’on a tous fait au bon Dieu ? est ainsi une comédie ringarde au carré, qui n’a plus peur de rien parce que tout est bon à prendre.
Paris Match
Un dernier volet poussif.
Télérama
À force de ne vouloir fâcher personne, cette comédie couarde semble même craindre le rire – parfois critique, contestataire, voire politique ! Sans pratiquement aucun scénario, les situations vaudevillesques se figent dans l’inanité.