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Œnologues, restaurateurs, vignerons, tonneliers se succèdent, et, ma foi, ils nous font partager un instant de bonheur. Le pommard 1978 est la preuve que Dieu existe, sûr.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
On se dit qu'au montage on aurait raccourci quelques passages, que la discussion entre Dominique Lafon (Domaine des comtes Lafon) et Christophe Roumier (pourtant un homme très occupé) aurait mérité un léger soutirage. Puis le même Lafon revient, raconte son métier, ses erreurs, ses choix, et c'est humain et émouvant.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
De la culture du vin selon le rythme des saisons à sa dégustation, un documentaire à déguster sans modération tant il élève l’art du vin en art de vivre, au fil de superbes images de la Bourgogne et des interventions des gens du métier, qu’on en boive ou non.
Concentrée sur la région de la Bourgogne et ses grands crus, cette initiation aux mystères de la dive bouteille évite soigneusement toutes les polémiques qui secouent la profession depuis quinze ans (la spéculation, les « neuneulogues », le vin naturel…).
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Plus qu’un documentaire fastidieux sur la fabrication du vin, L’âme du vin est à l’image de son titre, à savoir une déclinaison poétique et passionnée du nectar français.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Un cheval laboure les terres, lance un inoubliable regard à la caméra et ne s’embourbe pas. C’est le film qui s’enlise dans de longs monologues de vignerons et de sommeliers, et un entresoi des plus ennuyeux.
Parfois, l'image se contente de silence, fait halte sur un décor. Celui des vestiges du monastère de Saint-Vivant, où l'on cultiva la vigne pendant 700 ans. Celui des fûts dans une cave. Une longue séquence s'attarde ensuite sur leur fabrication. On l'a compris, « L'Âme du vin », rythmée par les angélus, est d'abord une cérémonie à laquelle communieront les (âm) oureux du sujet.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Marie-Ange Gorbanevsky a voulu faire un film sur les côtes de Nuits et autres côtes de Beaune. Sans doute aurait-elle dû en boire un peu, histoire d’étoffer son propos.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les interviews tirent en longueur et certaines confinent même au verbiage incompréhensible. À réserver aux initiés... même s’ils risquent de s’y ennuyer.
La critique complète est disponible sur le site Première
L'Obs
Œnologues, restaurateurs, vignerons, tonneliers se succèdent, et, ma foi, ils nous font partager un instant de bonheur. Le pommard 1978 est la preuve que Dieu existe, sûr.
Le Dauphiné Libéré
Une approche subtile, à déguster dans le silence.
Le Point
On se dit qu'au montage on aurait raccourci quelques passages, que la discussion entre Dominique Lafon (Domaine des comtes Lafon) et Christophe Roumier (pourtant un homme très occupé) aurait mérité un léger soutirage. Puis le même Lafon revient, raconte son métier, ses erreurs, ses choix, et c'est humain et émouvant.
Les Fiches du Cinéma
De la culture du vin selon le rythme des saisons à sa dégustation, un documentaire à déguster sans modération tant il élève l’art du vin en art de vivre, au fil de superbes images de la Bourgogne et des interventions des gens du métier, qu’on en boive ou non.
Télérama
Concentrée sur la région de la Bourgogne et ses grands crus, cette initiation aux mystères de la dive bouteille évite soigneusement toutes les polémiques qui secouent la profession depuis quinze ans (la spéculation, les « neuneulogues », le vin naturel…).
aVoir-aLire.com
Plus qu’un documentaire fastidieux sur la fabrication du vin, L’âme du vin est à l’image de son titre, à savoir une déclinaison poétique et passionnée du nectar français.
Le Monde
Un cheval laboure les terres, lance un inoubliable regard à la caméra et ne s’embourbe pas. C’est le film qui s’enlise dans de longs monologues de vignerons et de sommeliers, et un entresoi des plus ennuyeux.
Le Parisien
Parfois, l'image se contente de silence, fait halte sur un décor. Celui des vestiges du monastère de Saint-Vivant, où l'on cultiva la vigne pendant 700 ans. Celui des fûts dans une cave. Une longue séquence s'attarde ensuite sur leur fabrication. On l'a compris, « L'Âme du vin », rythmée par les angélus, est d'abord une cérémonie à laquelle communieront les (âm) oureux du sujet.
Le Figaro
Marie-Ange Gorbanevsky a voulu faire un film sur les côtes de Nuits et autres côtes de Beaune. Sans doute aurait-elle dû en boire un peu, histoire d’étoffer son propos.
Première
Les interviews tirent en longueur et certaines confinent même au verbiage incompréhensible. À réserver aux initiés... même s’ils risquent de s’y ennuyer.