Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Le Figaroscope
par Gwenn Douguet
Le propos est musclé, nullement manichéen (...) contrairement à l'avis de certains, filmé avec conviction par un Boaz Yakin préférant le terrain de l'émotion, de la réflexion à celui de la percussion, de l'explosion façon Oliver Stone.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Parisien
par n.c.
Le film montre le sport comme un facteur d'intégration raciale et d'insertion sociale. En dépit de quelques clichés, l'essai est transformé.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Cinopsis.com
par Olivier Guéret
Dans son ensemble, cette oeuvrette basée sur une histoire vraie emprunte certes des chemins rebattus mais se regarde sans grand déplaisir et colporte un message toujours d'actualité (même si l'empaquetage déborde de crème).
La critique complète est disponible sur le site Cinopsis.com
Elle
par La Rédaction
Inspiré de faits réels, ce film plein de bons sentiments (trop ?) oscille entre le lourdingue dans ses démonstrations trop prévisibles (...) et l'observation intelligente du racisme au quotidien et de l'intolérance imbécile.
La critique complète est disponible sur le site Elle
L'Express
par Eric Libiot
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Obs
par François Forestier
Grosses (énormes) ficelles, mélo plein pot, message antiraciste asséné en grand écran, tout est pataud, mais curieusement, on est pris par le film. Ce n'est pas du grand cinoche, certes, mais l'étincelle est là.
Les Echos
par Annie Coppermann
On pourrait, on peut, fuir (...). On peut, aussi, avoir la curiosité de suivre ce récit vraiment inspiré d'un épisode de la lente intégration des populations noires dans ce Sud américain si profondément raciste.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Première
par Christian Jauberty
Boaz Yakin sait retranscrire un climat social, quel que soit le milieu qu'il dépeint (...). Une véracité qui bénéficie en plus de l'impeccable Denzel. Mais, pour ce qui est de la question du racisme, on trouvera facilement plus audacieux.
La critique complète est disponible sur le site Première
Repérages
par Christophe Chauville
(...) ce troisième long métrage signé Boaz Yakin, toujours en éveil (...) pour dessiner les rapports des minorités à la culture wasp dominante, a surtout l'atout de donner une image instantanée (et juste ?) de l'Amérique de Nixon.
La critique complète est disponible sur le site Repérages
Studio Magazine
par Juliette Michaud
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
par Frédéric Strauss
Le film déborde de bonnes intentions, mais cela ne l'empêche pas d'être entraînant : rythmé par des hits des seventies, il garde une sorte de grandeur décontractée.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Aden
par Philippe Piazzo
Un vrai petit monde de solidarité et d'amour. Pour une fois, on ne crachera pas sur un peu de guimauve.
Chronic'art.com
par Nathalie Piernaz
(...) un hymne lourdingue à la tolérance bouffie de fierté sportive, dont l'exemplarité n'a d'égal que la stupidité.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Ciné Live
par Emmanuel Cirodde
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Monde
par Samuel Blumenfeld
Composé uniquement d'archétypes (...), Le plus beau des combats met en scène une Amérique de carte postale avec une esthétique rutilante. A trop idéaliser, le film perd une bonne partie de sa crédibilité.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
MCinéma.com
par Olivier Salvano
(...) film boursouflé et soporifique.
Urbuz
par Jean-Philippe Tessé
(...) une machine de guerre carburant aux recettes éculées de la catharsis consciencieuse et surtout aux envolées oratoires bêtement lyriques à faire pleurer Margot.
La critique complète est disponible sur le site Urbuz
Le Figaroscope
Le propos est musclé, nullement manichéen (...) contrairement à l'avis de certains, filmé avec conviction par un Boaz Yakin préférant le terrain de l'émotion, de la réflexion à celui de la percussion, de l'explosion façon Oliver Stone.
Le Parisien
Le film montre le sport comme un facteur d'intégration raciale et d'insertion sociale. En dépit de quelques clichés, l'essai est transformé.
Cinopsis.com
Dans son ensemble, cette oeuvrette basée sur une histoire vraie emprunte certes des chemins rebattus mais se regarde sans grand déplaisir et colporte un message toujours d'actualité (même si l'empaquetage déborde de crème).
Elle
Inspiré de faits réels, ce film plein de bons sentiments (trop ?) oscille entre le lourdingue dans ses démonstrations trop prévisibles (...) et l'observation intelligente du racisme au quotidien et de l'intolérance imbécile.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Obs
Grosses (énormes) ficelles, mélo plein pot, message antiraciste asséné en grand écran, tout est pataud, mais curieusement, on est pris par le film. Ce n'est pas du grand cinoche, certes, mais l'étincelle est là.
Les Echos
On pourrait, on peut, fuir (...). On peut, aussi, avoir la curiosité de suivre ce récit vraiment inspiré d'un épisode de la lente intégration des populations noires dans ce Sud américain si profondément raciste.
Première
Boaz Yakin sait retranscrire un climat social, quel que soit le milieu qu'il dépeint (...). Une véracité qui bénéficie en plus de l'impeccable Denzel. Mais, pour ce qui est de la question du racisme, on trouvera facilement plus audacieux.
Repérages
(...) ce troisième long métrage signé Boaz Yakin, toujours en éveil (...) pour dessiner les rapports des minorités à la culture wasp dominante, a surtout l'atout de donner une image instantanée (et juste ?) de l'Amérique de Nixon.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
Le film déborde de bonnes intentions, mais cela ne l'empêche pas d'être entraînant : rythmé par des hits des seventies, il garde une sorte de grandeur décontractée.
Aden
Un vrai petit monde de solidarité et d'amour. Pour une fois, on ne crachera pas sur un peu de guimauve.
Chronic'art.com
(...) un hymne lourdingue à la tolérance bouffie de fierté sportive, dont l'exemplarité n'a d'égal que la stupidité.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Monde
Composé uniquement d'archétypes (...), Le plus beau des combats met en scène une Amérique de carte postale avec une esthétique rutilante. A trop idéaliser, le film perd une bonne partie de sa crédibilité.
MCinéma.com
(...) film boursouflé et soporifique.
Urbuz
(...) une machine de guerre carburant aux recettes éculées de la catharsis consciencieuse et surtout aux envolées oratoires bêtement lyriques à faire pleurer Margot.