Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Bien que tout dans ce film soit trèsclassiquement prévisible, il s'en exhale un parfum désuet qui n'est pas désagréable, surtout quand il nous est vendu par Matt Damon et Will Smith, désarmants de charme et de désinvolture
La critique complète est disponible sur le site Elle
(...) ce n'est pas un film sur le golf. Redford utilise le sport comme une métaphore de l'existence (...). A travers le sport, il cherche le Graal, la perfection, le moment d'éternité : l'harmonie du corps et de l'esprit. Une belle leçon.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Couleurs automnales et patines usées dessinent le panorama d'un tournoi de golf aux images sépia, pourtant diablement efficaces et réussies, car habitées (...) par des protagonistes plongés dans leur jeu, le dernier.
La critique complète est disponible sur le site Repérages
(...) à trop vouloir mettre l'accent sur l'esthétique et exalter une nouvelle fois le discours sur les valeurs et mythes américains, Robert Redford se prend un peu les pieds dans le gazon.
La critique complète est disponible sur le site Cinopsis.com
Ce qu'il a de bien dans le golf, disent les aficionados, c'est qu'on ne connaît jamais à l'avance l'issue de la partie. Ce n'est pas le cas du dernier Redford qui, bien que léché (...), est prévisible du début à la fin.
(...) ce film en (...). Matt Damon et Will Smith sont parfaits. Cela n'empêche pourtant pas cette histoire de golf d'avoir des trous dans son rythme, ce qui rend le parcours un peu ennuyeux.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
La composition de Will Smith est pour beaucoup dans le plaisir qu'on prend à ce film un peu académique, peut-être, trop joli, sans doute, mais tellement reposant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
(...) Redford ne cède pas à l'angoisse du vide, la grande trouille puérile des films américains : au contraire, il cherche en permanence à vider ses plans – faire disparaître les éléments qui le composent, comme par magie – pour aller vers l'invisible / indicible.
La critique complète est disponible sur le site Urbuz
Après trois ou quatre sentences bien senties (...) on est partagés entre la perplexité et l'hilarité. Au bout d'une demi-heure, alors qu'il en reste encore plus de trois fois autant, le choix est fait, malgré le charisme absolu de Will Smith (...).
Redford livre son plus mauvais film à ce jour. La faute n'en incombe pas tant à un sujet (le golf) dont on peut douter de la pertinence dramatique au cinéma qu'à un traitement mélodramatique doublé d'une esthétique de carte postale.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le film n'en finit pas (en 2 heures 7 minutes !) d'enfoncer les poncifs, dans des images toujours terriblement léchées. Et la distribution a beau réunir Matt Damon (...) , la ravissante Charlize Théron, (...) et Will Smith (...) on trouve le temps terriblement long.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Il est surprenant que Robert Redford, le créateur de Sundance - festival qui aide tant les films indépendants-, nous livre ici un film si académique, si ancré dans un certain classicisme.
Elle
Bien que tout dans ce film soit trèsclassiquement prévisible, il s'en exhale un parfum désuet qui n'est pas désagréable, surtout quand il nous est vendu par Matt Damon et Will Smith, désarmants de charme et de désinvolture
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaroscope
(...) ce n'est pas un film sur le golf. Redford utilise le sport comme une métaphore de l'existence (...). A travers le sport, il cherche le Graal, la perfection, le moment d'éternité : l'harmonie du corps et de l'esprit. Une belle leçon.
Repérages
Couleurs automnales et patines usées dessinent le panorama d'un tournoi de golf aux images sépia, pourtant diablement efficaces et réussies, car habitées (...) par des protagonistes plongés dans leur jeu, le dernier.
Cinopsis.com
(...) à trop vouloir mettre l'accent sur l'esthétique et exalter une nouvelle fois le discours sur les valeurs et mythes américains, Robert Redford se prend un peu les pieds dans le gazon.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Figaro Magazine
Ce qu'il a de bien dans le golf, disent les aficionados, c'est qu'on ne connaît jamais à l'avance l'issue de la partie. Ce n'est pas le cas du dernier Redford qui, bien que léché (...), est prévisible du début à la fin.
Le Parisien
(...) ce film en (...). Matt Damon et Will Smith sont parfaits. Cela n'empêche pourtant pas cette histoire de golf d'avoir des trous dans son rythme, ce qui rend le parcours un peu ennuyeux.
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Positif
(...) un sujet mineur et charmant gâté par l'enflure d'un traitement épique, ici inapproprié.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
La composition de Will Smith est pour beaucoup dans le plaisir qu'on prend à ce film un peu académique, peut-être, trop joli, sans doute, mais tellement reposant.
Urbuz
(...) Redford ne cède pas à l'angoisse du vide, la grande trouille puérile des films américains : au contraire, il cherche en permanence à vider ses plans – faire disparaître les éléments qui le composent, comme par magie – pour aller vers l'invisible / indicible.
Aden
Après trois ou quatre sentences bien senties (...) on est partagés entre la perplexité et l'hilarité. Au bout d'une demi-heure, alors qu'il en reste encore plus de trois fois autant, le choix est fait, malgré le charisme absolu de Will Smith (...).
Chronic'art.com
Un film inconséquent et passablement endimanché.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Obs
Bonnes intentions, jolies images, esprit boy-scout : mais le golf, au cinéma, c'est ennuyeux. Et les bonnes intentions, encore plus.
Le Journal du Dimanche
Ici, la délicatesse confine à la mièvrerie et la sincérité du propos n'exclut pas une certaine naïveté.
Le Monde
Redford livre son plus mauvais film à ce jour. La faute n'en incombe pas tant à un sujet (le golf) dont on peut douter de la pertinence dramatique au cinéma qu'à un traitement mélodramatique doublé d'une esthétique de carte postale.
Les Echos
Le film n'en finit pas (en 2 heures 7 minutes !) d'enfoncer les poncifs, dans des images toujours terriblement léchées. Et la distribution a beau réunir Matt Damon (...) , la ravissante Charlize Théron, (...) et Will Smith (...) on trouve le temps terriblement long.
MCinéma.com
Il est surprenant que Robert Redford, le créateur de Sundance - festival qui aide tant les films indépendants-, nous livre ici un film si académique, si ancré dans un certain classicisme.
Première
Tous les ressorts de cette rédemption par le golf dans le Sud de la Grande Dépression sont aussi lourds que peu inventifs, autour de personnages itou.