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    2001 : l'odyssée de l'espace
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    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 16 août 2016
    note négative c possible... film avec des longueurs abominables, chiant, soporifique, musiques stressantes, histoire incompréhensible et d'une débilité profonde, ne parlons même pas des quelques dialogues qu'il y a !!!! zéro est une note généreuse pour moi.
    Olivier L.
    Olivier L.

    1 abonné 98 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 août 2016
    film novateur pour son époque , mais vieilli ( entre autres , décors et lumières de la station spatiale désuèts , bonnet des hotesses ridicule,..) ; avec des incohérences : 1- que fait ce parallélipipède noir dans le sol de la lune pdt 4 millions d'années , un petit astre mort et sans intérêt ?!2- après le passage de jupiter par le vaisseau spatial , on tombe dans le délire : ainsi voit -on s'afficher " après jupiter et au delà de l'infini " , signe d'une mégalomanie galopante alors qu'aucun vaisseau habité actuel ne pourrait , au mieux , dépasser Mars ; il s'agit ensuite d'un vertige esthétique sans signification réelle , tellement vague qu'il se prête à toutes les interprétations possibles , et surtout à la fantasmagorie spirituelle et intellectuelle des exégétes auto-proclamés : une auberge espagnole en quelque sorte...
    Et vu les connaissances cosmologiques de l'époque , Kubrick s'empêtre dans une symbolique de bazar..
    Michael
    Michael

    40 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 août 2016
    Visuellement magnifique pour l'époque mais avec une vision de l'évolution de l'homme propre au réalisateur que je n'ai pas saisi...
    Max Rockatansky79
    Max Rockatansky79

    2 abonnés 25 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 16 août 2016
    Boudiou!!! Quelle soirée que j'ai passé hier en regardant ce film... Je n'avais jamais eu l'occasion de le voir et pourtant c'est pas l'envie qui m'en manquait. J'en avais vu une partie il y a de ça environ 15 ans, j'étais tombé dessus par hasard en zappant. Étant en plein milieu du film, j'ai arrêté ne voyant pas l'intérêt sans en avoir vu la 1ère partie. Hier soir, j'ai raté les 5 premières minutes, j'ai commencé le film au moment des primates. S'en est suivi 2 heures interminables! Ok, pour l'époque c'était visionnaires, c'est incontestable. Les plans dans la navette sont magnifiques, mais que c'est loooooong! J'ai regardé les heures passer me demandant quand ça allait enfin se terminer. Patient et acharné je suis allé au bout. J'ai failli faire une crise d'épilepsie avec ces mélanges de couleurs à n'en plus finir! Une torture visuelle. Pour aboutir à quoi? La vie, la mort, l'espace, la renaissance voir la réincarnation de l'esprit... Trop long, trop chiant.
    Emilien L
    Emilien L

    5 abonnés 27 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 16 août 2016
    Waouw. Je viens de me prendre une sacré claque, j'en suis encore chamboulé. Reprenons cela en douceur...
    Véritable film d'interprétation, Kubrick montre ici l'importance de la technologie au sens large du terme, indispensable pour l'Homme à toutes les époques de son existence. Il y présente aussi sa dangerosité à travers l'IA Hal9000 et la dépendance de l'humain à elle. Le thème en lui même peut être intéressant, mais il est par moment mal exploité par un scénario très vide et une réalisation oscillant entre le génie et l'ennuie. Si certaines scènes sont réalisées d'une main de maître et ne semblent avoir aucun défaut, d'autres sont interminables et plates et malgré des effets spéciaux d'une qualité impressionnante pour l'époque, celles-ci restent d'un ennui à endormir un insomniaque. En effet, le gros défaut du film est son grave manque de rythme qui empêche de bien rentrer dans l'histoire et de s'y accrocher solidement. Et pourtant, il vaut mieux être rentré dedans car si la grande partie du film n'est pas trop compliqué à comprendre (quoique par moment...), le final sans aucune parole force à se concentrer et surtout à faire travailler son imagination... Imagination qui était visiblement totalement éteinte chez moi, sans doute à cause du manque d'accroche du film, laissant ainsi mon cerveau dans un état perturbant d'incompréhension.
    The Claw
    The Claw

    66 abonnés 727 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 août 2016
    Un excellent film de science-fiction qui se découpe en 4 parties. Dans la première partie, nous avons notamment droit à des plans magnifiques qui n'ont vraiment rien à envier aux films contemporains : presque 50 ans plus tard, le film n'a pas pris une ride. Dans la 2ème et 3ème partie, toute l'action se situe dans un vaisseau spatial. Par rapport à l'imagination de l'époque, on pourrait s'attendre à quelque chose de kitsch, et c'est peut-être en partie vrai (le coup du téléphone par exemple), mais ça n'empêche pas Stanley Kubrick de faire du "kitsch beau". Pour l'entrée en matière de la 4ème partie, on a droit à un feu d'artifices d'images saisissantes, on plane dans l'espace au coeur de couleurs de toutes sortes qui nous submergent. Et nous arrivons finalement au Terminus, un Terminus des plus étranges qui n'est pas pour me déplaire, avec son lot d'interrogations laissées en suspens : faites marcher votre imagination...
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 16 août 2016
    1968 bien a l'époque mais maintenant les 4 étoiles ne sont plus mérité surtout pour un film avec peut de dialogue.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 16 août 2016
    Bonjour,
    Si la lenteur et l'ennui avait une définition cinématographique, ce film en est une superbe représentation. Les glaces de l'entracte sont les seules à vous sauver de l'immense ''solitude'' dans laquelle ce film vous plonge. Tiens, je reprendrais bien un Miko !
    Bonne journée
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 15 août 2016
    Que dire de ce film, sinon qu’il est l’un des plus fascinants et intrigants de toute l’histoire du cinéma. L’aube de l’humanité, l’avenir, la technique, la guerre, la raison, les passions, le langage, la subsistance, la force vs la ruse… Bref, on le voit rien qu’aux thématiques soulevées, c’est un film très ambitieux qui fait réfléchir le spectateur, mais qui fut fort heureusement réalisé par un cinéaste visionnaire capable d’être à la hauteur. Ce film stimule nos sens dès les premières images avec cet alignement des astres, d’une symétrie parfaite. Car on est vite frappé par le degré de maîtrise et de perfection du film. Kubrick, perfectionniste obsessionnel, semble avoir voulu atteindre l’absolu, et le comble dans cette affaire, c’est qu’il n’a pas été loin d’y parvenir, tant le film est harmonieux, contemplatif, voire empreint d’un rationalisme forcené, ce qui n’empêche pas pour autant cette odyssée de nous faire rêver. Et que dire de la musique, sinon qu’elle achève de nous donner la chair de poule tant l’alchimie fonctionne. Bien sur le film prend son temps, mais c’est assez cohérent compte tenu du sujet du film. Le fait que celui-ci demeure ouvert est la meilleure garantie de son éternité. C’est cette part d’indétermination qui rend cette œuvre si mystérieuse. Le monolithe, ainsi que d’autres passages marquants du film, est le genre d’image qui restera dans nos rétines pour l’éternité, ah zut, c’est vrai que nous sommes mortels…
    Vous pouvez lire ma critique complète (et illustrée) ainsi que d’autres critiques et articles sur le cinéma ainsi que des extraits de films sur mon blog :
    Stephenballade
    Stephenballade

    405 abonnés 1 239 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 16 août 2016
    Voilà bien une trentaine d’années que je n’avais pas vu ce film. Voire un peu plus. Tout comme l’internaute cinéphile Videoman29, je me souviens parfaitement l’avoir vu dans ma jeunesse. Si j’avais quelque peu oublié l’ensemble du film, j’avais gardé en mémoire cet immense océan d’incompréhension. Aussi, j’avoue être exactement du même avis que Videoman29, et c’est exactement pour les mêmes raisons que lui que j’ai retenté de comprendre l’imagination tortueuse de Stanley Kubrick, armé de mes 60 mois d’expérience sur Allociné. Bien sûr, je suis tenté de copier l’avis de Videoman29, mais je crains qu’il ne soit pas content, et ce serait normal. Mais revenons-en à ce film de Stanley Kubrick, puisque là est le sujet. J’ai beau avoir près de 45 ans, et donc l’âge de raison, je n’ai moi non plus toujours rien compris à ce film. Quelqu’un peut-il me dire s’il y a seulement un fond d’histoire que je n’aurai pas compris ? Mis à part le doigt mis sur l’intelligence artificielle et son autonomie complète, de sérieuses questions d’éthique sont posées. Alors que le titre laisse augurer d’une formidable histoire de conquête de l’espace, le film commence par une ouverture sur l’alignement de plusieurs planètes sur une composition de Strauss intitulée "Ainsi parlait Zarathoustra", pour ensuite entamer le 1er acte nommé "L’aube de l’humanité". Après une succession de nombreux plans nature sur des paysages sculptés par les éléments, sous le seul bruit du vent. Nous voilà avec des australopithèques, que bon nombre d’entre nous s’accordera à appeler des singes. Etonnant. Pire : déroutant. L’ancêtre de l’homme à la conquête des terres ? Avant qu’il ne conquiert les airs puis l’espace ? Puis brutalement, nous passons sans transition au 2ème acte, nommé "Des vaisseaux dans l’espace". Désarçonnant. Ainsi, les 22 premières minutes ressemblent plus à un opéra ou un ballet seulement dirigé par les compositions de Strauss, avec aussi "Le beau Danube bleu". Les premiers dialogues n’interviennent qu’au terme de ces 22 premières minutes, dans une ambiance aseptisée perdue aux confins de l’espace, dans des vaisseaux où l’apesanteur ne semble pas exister. A croire que Newton et sa loi de la gravité a été invité à bord… Une sacrée incohérence selon moi, et je m’étonne que personne n’en parle. Et c’est cette alternance de scènes dialoguées et de parades aux airs de tragédie grecque qui va durer tout le film, sans aucun rythme, à l’image de cette porte qui n’en finit pas de s’ouvrir sur les premiers humains. Entre autres incohérences (notamment avec ce cosmonaute qui fait une sortie pour réparation sans ligne de survie), et la voix de cette intelligence artificielle autonome digne d’une voix de gourou à la tête d’une secte quelconque (pour la version doublée en français en tout cas), laquelle a presque réussi à me plonger dans un sommeil hypnotique, le tout parait terriblement abstrait avec un scénario tenant sur un timbre-poste. D'autant plus que la musique alors utilisée est plus stridente, plus casse-oreilles, aussi horribles que les graffitis qu'on retrouve sur des toiles peintes par ce qu'on appelle des grands maîtres. En revanche, force est de reconnaître que l’esthétique visuelle de ce film hautement SF est bluffante. Difficile à croire que ce film date de 1968, et pourtant… Mais voilà, ça ne suffit pas à sauver ce qui est un désastre cinématographique pour moi. Je ne sais pas, je dois être comme Videoman29, quasiment résolu à croire que je suis aussi un "personnage sans imagination ni cervelle" (pour reprendre ses propres mots). Et si je pouvais voter sa critique plusieurs fois, je le ferai volontiers pour qu’il se retrouve en tête des critiques les plus utiles quant à cette bizarrerie de l’étrange Stanley Kubrick. A la différence près que je ne retenterai jamais l’expérience, ni dans 20 ans, ni plus tard. C’est bon : j’ai compris ma douleur pendant 2h20. PS : si jamais vous aussi n'avez rien compris à ce film, regardez donc un peu du côté de Wikipédia. Au moins, vous ne resterez pas dans l'ignorance...
    Bernard D.
    Bernard D.

    115 abonnés 613 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 17 juin 2018
    Je suis allé voir « 2001 : l’odyssée de l’espace » dans une version remastérisée pour les 50 ans de ce chef-d’œuvre. J’avais eu la chance de le revoir sur grand écran il y a quelques années dans le cadre d’une rétrospective consacrée à Stanley Kubrick avec – cerise sur le gâteau – une conférence de Michel Ciment, le critique spécialiste de ce cinéaste de génie qui a eu le privilège exceptionnel de pouvoir l’interviewer à plusieurs reprises.
    Un faux raccord m’a un peu chagriné cette fois-ci et quelques aspects ont pris un léger coup de vieux mais ….
    1) Quelle impertinence que de nous imposer en introduction « Ainsi parlait Zarathoustra sur fond noir bien avant que le logo de la MGM n’apparaisse … et de récidiver après le « the end » à nouveau sur fond noir avec « Le beau Danube bleu » ! Je ne connais pas d’autre metteur en scène ayant eu cette audace !
    2) Quel talent pour filmer des maquettes d’engins spatiaux qui sont plus vrais que nature avec des effets de cinétique et de lumière, l’incrustation de personnages aux commandes ou autres types d’action. Quel talent de pouvoir faire passer la caméra à l’intérieur de la structure de la station orbitale et quel talent que le fameux footing de Dave dans la rotonde du Discovery One en route vers Jupiter … et j’avoue ne pas avoir encore bien saisi la manière de faire même après avoir vu la maquette de l’espèce de « centrifugeuse » qu’il avait utilisée pour cela, lors d’une exposition consacrée à Kubrick à la cinémathèque de Paris il y a quelques années.
    3) Quelle intelligence enfin d’avoir déjà abordé il y a 50 ans un problème très actuel des « risques » de l’IA avec ce fameux super-ordinateur HAL 9000 qui se trompe ! La scène de la déconnection de HAL reste superbe avec « Que fais-tu ?», « Je me sens vidé », « J’ai peur » … et après à sa « mort » la ritournelle « Daisy Bell » que lui a enseignée son programmateur.
    La fin me pose toujours des questions mais pour ma part je rejette l’idée de la notion d’extra-terrestres même s’il y est fait allusion lors du message diffusé juste après la déconnection de HAL, quand la station arrive en fait à Jupiter avec la réparation des monolithes noirs. Pour ma part je reste sur l’idée d’une progression de la connaissance avec in fine un échec des progrès de la science avec comme seule valeur vraiment digne de l’homme l’art d’où la chambre de style XVIIIème siècle, période de Kubrick chérissait (cf. le superbe « Barry Lindon » sorti en 1975). Le dernier monolithe que Dave devenu vieillard moribond n’arrive pas à toucher, étant pour moi celui du mystère de la vie et de la mort … que nous ne comprendrons jamais … d’où cet œil un peu goguenard du fœtus qui nous regarde dans le dernier plan ? Retournez vite voir « 2001 : l’odyssée de l’espace » et comme le chante Vincent Delerm dans ??, expliquez-moi la fin de ce très grand film !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 7 juillet 2016
    Sublime film alliant brillamment science-fiction et métaphysique. Ce film est à la fois une épopée visuelle de par ses magnifiques représentations de l'espace (véritable tour de force pour l'époque de sa réalisation) et auditive de par la musique qui donne une véritable magesté à l'oeuvre.
    Le rythme très lent peut dérouter mais une fois plongé dans le film on est comme transporté dans l'espace à attendre ardemment le dénouement de l'intrigue.
    CarlJohnson73
    CarlJohnson73

    58 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 2 juillet 2016
    On frise la perfection sur ce film de SF des années 60. Je l'ai vu pour la première fois en 2016 et il a un côté extrêmement moderne, surtout l'intelligence de l'ordinateur de bord qui m'a bluffé.
    A voir absolument
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 25 juin 2016
    (...) Comme son titre l’indique, il s’agit d’un récit de voyage, une sorte de long poème humaniste, au rythme très lent, qui fait se confronter notre héros au mystère de l’univers. Le propos comme la manière sont donc extrêmement ambitieux, et le film, qui éblouit souvent ne paraît jamais prétentieux.
    En revanche, il y a dans ce voyage contemplatif, un ennuie latent qui parfois s’installe et qu’il faut accepter pour mieux observer, écouter, et ainsi, tenter de comprendre la logique de Kubrick car si tel est le cas le film devient rapidement un plaisir qu’on savoure. (...

    Lire l'article complet sur :
    Attigus R. Rosh
    Attigus R. Rosh

    202 abonnés 2 525 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 21 juin 2016
    Un chef-d’œuvre !
    Le seul véritable défaut de ce film est qu'il est assez inégale. Divisé en 4 parties dont on ne voit pas toujours le lien, la deuxième partie n'a pas véritablement d'intérêt, quant à la quatrième, basée en grande partie sur des effets spéciaux, a très mal vieilli. Mais ce sont les deux parties les plus courtes. Ensuite la troisième partie (la plus longue) est vraiment super, l'atmosphère est géniale spoiler: avec Hal 9000 en machine incroyablement maléfique et humaine à la fois
    . La première partie avec les singes est à mes yeux carrément un chef-d’œuvre.
    Les acteurs, pourtant peu connus, sont bons.
    Les effets spéciaux ont un peu vieilli mais les plans sont superbes et la mise en scène géniale.
    Le choix de la musique est mémorable.
    Un des meilleurs Kubrick (si ce n'est le meilleur).
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