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alouet29
77 abonnés
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1,0
Publiée le 17 février 2017
L'objectif est louable mais le film en lui-même est long, pompeux et incompréhensible. L'action plus que molle, la musique répétitive et omniprésente ainsi que le manque de dialogues vraiment construits sont agaçants.
Tout comme il n'existe pas assez d'étoiles pour le noter, il n’existe probablement pas assez de mots pour qualifier ce long-métrage de légende: Métaphysique, poétique, spectaculaire, minimaliste, philosophique, humaniste, nietzschéen, gnostique, psychédélique, contemplatif, alarmant, hypnotique, déroutant, universel… Enfin, si on ne devait ne garder qu’un seul et unique terme pour définir ce chef d'œuvre, celui-ci serait sans nul doute "transcendantal"! En s’attaquant au space-opéra, Stanley Kubrick nous a une nouvelle fois prouvé que quelque soit le genre, il n’en ressort que des références incontournables puisque la technique avec laquelle il filme les voyages spatiaux et l'image qu'il donne aux relations de l'Homme à l'infini, à la vie extraterrestre et à l'intelligence artificielle ont chacune révolutionnées la science-fiction plus qu'aucun film avant lui.
Plusieurs oeuvres de Kubrick sont pour moi des chefs d'oeuvre (Barry Lindon, Orange mécanique, full metal jacket, shining...), mais ici comme dans Eyes wide shut, le rythme est affreusement lent pour nous éblouir ou nous submerger, mais quelque soit le but, c'est avant tout de l'ennui que l'on ressent. Avec tout le respect que je dois à Kubrick, les longues images astronomiques interminables ne sont pas pour moi du grand cinéma. Je veux bien croire que ces images à l'époque étaient impressionantes, mais par pitié! un peu plus d'énergie! Cela en devient tellement pénible que je n'ai même pas essayé de me creuser la tête pour essayer de comprendre la vision de Kubrick dans ce film (Je veux surtout parler de la scène finale).
Je m'excuse avant tout auprès des fans et des inconditionnels de Kubrick, mais après trois films visionnés je suis désolé mais je ne comprends ni son oeuvre, ni le culte autour du réalisateur. Impatiente depuis plusieurs semaines de découvrir ce film, je m'installe avec beaucoup d'enthousiasme. Les premières notes de musiques résonnent, j'ai eu beaucoup de mal à comprendre ce long moment où rien n'apparaît à l'écrant (jusqu'à l'entract qui m'a ainsi permis de comprendre). On plonge donc dans la Préhistoire, à l'époque des hommes singes (pour le coup très singes) qui découvre une sorte de boîte noir (qui m'a fait penser à une clé USB mais cela n'existait pas à l'époque du film. Le scénario est une torture de plus de deux heures ! On ne comprend rien, on ne sait rien, on déduit certaine chose et finalement la seule séquence compréhensible a été la rébellion de Hal 9000 est encore... Certes, Kubrick nous offre de magnifique plan comme le jogging de Poole dans la station, tel un hamster dans une roue mais alors le reste. Un brouillon d'images, de séquence qui a mes yeux n'avaient ni queue ni tête. Des séquences longues et molles dont on a l'impression qu'on ne verrra jamais le bout. Je ne me rappellais pas avoir autant compter les heures et souhaiter que cela se finisse. Je me suis même tâté à partir à l'entract mais pensais que la rébellion de Hal 9000 se profilant cela allait s'améliorer. Mon esprit à capituler quand il se retrouve dans une maison, j'ai bien dormi et en me reveillant et en voyant un bébé en satellite de la Terre la j'ai capitulé à ne rien comprendre de ce film. Et la bande originale, une torture pour les oreilles tellement les sons sont aigus ! Et fort. Peut-être un mauvais réglage du cinéma, mais ormis les thèmes classiques que l'on connaissait déjà, le reste était épouvantable. Je ne peux même rien dire sur le casting, car j'estime qu'il n'y avait rien pour l'évaluer. Les plans sur le système solaire qui était fantastique au début finissent par être lassant. Donc non, désolé mais je ne vois aucun intérêt à ce film et pourtant j'étais dans de bonnes dispositions et je suis plutôt fan ce qui touche l'espace mais je ne vois pas en quoi il peut encore être un symbole de comparaison pour tout ce qui se fait maintenant, c'était très certainement très bien à l'époque et peut être que le contexte des années 70 aidait à la compréhension du film mais là non c'est juste pas possible. Ce film m'aura aussi prouvé que finalement sans scénario, et en laissant les spectateurs dans l'imaginaire cela ne me convenait guère et que j'avais besoin d'un cadre structuré. Donc tant mieux, s'il y a des fans de l'oeuvre du réalisateur, si ce film est toujours un symbole malgré les années. Mais moi je n'ai vraiment pas compris pourquoi et je capitule de comprendre un jour une oeuvre du réalisateur.
Il est impossible de parler correctement d'un tel film. Nous sommes face à un film qui n'a pas de réelle logique. On ne peut pas avoir la prétention d'analyser ce film, de parler des significations, de dire pourquoi ce film est un tel classique ou une chose bizarre. 2001 n'est pas un film conventionnel même après toute ces années. Je ne peux pas en parler comme d'un simple film ou un simple classique ou un simple chef d'oeuvre (prétentieux je suis ? Non je ne peux pas parler normalement de ce film). Le film en lui même est souvent classé dans la catégorie science-fiction mais est-ce réellement de la science-fiction ? Pour moi 2001 : L'odyssée de l'espace est l'équivalent ou même une représentation picturale de ce qu'est un rêve (ou un rêve que je peux faire). Qu'est ce qu'un rêve ? Pas une histoire linéaire qui a un début, un milieu, une fin avec des péripéties par ci par là… une succession illogique d'évènements qui n'ont aucun lien apparent mis à part la personne qui rêve. 2001 est un rêve incontrôlable. L'histoire n'a aucun sens apparent, il n'y a pas de réel début, pas de héros que l'on peut clairement identifié, pas de fin. Tout commence par ce qui semble être l'aube de l'humanité…une humanité qui vit dans une parfaite harmonie (sans parler de paix bien sûr) où animaux se côtoient simplement. Et puis un objet mystérieux, un monolithe apparait et c'est à partir de là que l'humanité va décliner…l'humanité découvre la technologie et va s'en servir pour détruire. Des siècles plus tard par une transition brutale devenue culte nous voici dans le futur. La technologie est à son apogée mais de nouveau la technologie va tuer, va pousser l'humanité à tuer. Et puis l'humanité devient plus rien, une vieille chose sous le joug d'une entité qui lui ait supérieure, elle respecte cette entité mais la craint aussi. Mais l'humanité ne pourra échapper ou vaincre ce qui lui ait supérieure, elle se laisse faire impuissante. Voilà comment on pourrait résumer l'histoire de 2001 et pourtant cette histoire de réelle logique, n'apporte pas aux spectateurs une quelconque explication rationnelle et même si ils en cherchent une, elle est vite balayée. Ce n'est pas comme Interstellar (j'ai rien contre le film, j'ai beaucoup aimé) qui cherche à toujours trouver une explication logique à chaque problème (et qui s'en retrouve toujours résolu au bout du compte). Bien sûr 2001 est une prouesse technique car personne, avant Kubrick, n'avait représenté l'univers de cette façon: pas seulement de manière réaliste mais également effrayante, indomptable. La réalisation démontre tout le bon de géant qu'a fait l'industrie des effets spéciaux, Mais la réalisation démontre tout un mystère, une terreur de l'histoire grâce aux angles de caméras qui donnent le vertige, l'impression d'impuissance. Et puis à cela se rajoute la musique: uniquement composée de morceaux déjà existants composées par de grands compositeurs comme Strauss et Ligeti. Le 1er montre les bienfaits de la technologie, rassure le spectateur. Le second fait peur, nous place devant l'inconnu, nous oblige à pénétrer dans un cauchemar terrifiant, ténébreux. Les morceaux de bravoure du "film" sont nombreux mais la découverte du pouvoir de la technologie, les voyages dans l'espace, le voyage astral dans l'infini et le plan final sont et resteront cultes. Quant à moi, 2001 : L'odyssée de l'espace est la parfaite représentation de ce que je rêve et Kubrick l'a parfaitement retranscrit. Un film ? Non, c'est bien plus que ça.
Enfin , je l'ai regardé! Et Quelle réussite! Tout y est maitrisé, que ce soit les plans, magistraux, la musique, collant parfaitement à l'image, les acteurs, très bons, l'histoire, tant sur le fond que sur la forme. Kubrick signe ici une adaptation ultra personnelle , réussie et intelligente du roman de C. Clark et je le re-dis, Wahou!
2001, l'odyssée de l'espace n'est pas un film, c'est une expérience. Il faut avoir de l'audace pour produire une telle oeuvre destinée au cinéma. L'audace d'assumer un long écran noir au début, l'audace de faire au moins 45 minutes sans le moindre dialogue avec des singes, l'audaces de mettre à fond du Strauss dans l'espace en montrant des plans plus beaux les uns que les autres dans l'espace. On est tout de suite immergé dans cette histoire, que ce soit au début avec les singes, sur la route de la lune ou de Jupiter ou même aux confins du réel et de l'infini où le temps devient une notion totalement relative. Mais de ces différents fragments, comment occulter la confrontation entre l'humain et le robot Hal, avec sa voix terriblement douce et ses intentions délicieusement ambigües et meurtrières. Le mystère demeure entier à la fin de ce film mais là n'est pas le but du film de dissiper les mystère, au contraire, on a presque envie de se prosterner devant cette oeuvre tels les singes devant le monolithe.
Au premier visionnage, vous n'allez pas du tout aimer ce film. Il ne se passe pas grand-chose, les acteurs sont simples, on ne comprend rien. Et puis passé la mauvaise surprise, on regarde une deuxième fois le film, et on comprend tout son intérêt: 2001 n'a pas d'intérêt du point de vue de l'intrigue, c'est son esthétique qui importe. Un des plus beaux films de l'histoire du cinéma, grâce à des musiques inoubliables et un rendu visuel visionnaire, encore aujourd'hui c'est un bijou rétinien inégalé. 2001 est un film à voir, revoir, rerevoir, rererevoir à l'infini.
A travers l'évolution de l'homme au fil du temps, ce chef d'oeuvre visuel et sonore nous rappelle à tous que sans outils ni machines nous ne serions rien ... On ne peut qu'applaudir le génie du visionnaire Stanley Kubrick. Et dire qu'en 1968, on en était qu'à l'apogée des découvertes spatiales...
Après avoir vu "Full Metal Jacket", on peut légitimement penser que Kubrick est un excellent cinéaste et avoir envie de découvrir ses autres œuvres. Mais quand en plus on se rend compte que c'est lui qui a réalisé le "chef-d'oeuvre" "2001 : l'odyssée de l'espace", on se jette littéralement dessus. Malheureusement, lorsque l'on est habitué à tous ces blockbusters qui sortent à la pelle où tout est toujours plus gros, plus impressionnant, ce film de Kubrick nous apparaît alors bien fade. On ne peut pas nier les évidentes qualités de ce film : la musique est très bien utilisée (et composée) et à été judicieusement choisie; la mise en scène est soignée; les décors sont impressionnants de réalisme et les effets spéciaux réussis (pour l'époque). Néanmoins, ce film est d'une lenteur... Chaque plan s'éternise à n'en plus finir et se répète inlassablement. Cela provoque un sentiment d'ennui qui aura du mal à se dissiper jusqu'à la fin du film. Bien que le film soit considéré comme un chef d'oeuvre par beaucoup et qu'il soit novateur pour l'époque (les jeux de gravités dans les vaisseaux spatiaux sont stupéfiants), on attend désespérément la fin. D'ailleurs, cette fin est pour le moins étrange, Kubrick nous y emmène dans des réflexions philosophiques sur la vie et la mort, ce qui semblait être son but depuis le début et pendant tout le film.
J'ai vraiment du mal avec Kubrick moi. Je trouve que c'est un des réalisateurs les plus suréstimés de l'histoire. Non, Orange Mécanique n'est qu'un film moyen, pas le chef d’œuvre annoncé. Et non, "2001 : L'Odyssée de l'Espace" n'est pas un film qui marque.
Je sais très bien que le film est sorti en 1968, c'est pour cela que je classe les effets spéciaux dans les très rares bons points de ce film. Pour vous donner un ordre d'idée, ils sont de même qualité que ceux de Star Wars sortis 20 ans plus tard ! Cependant, et je le dis encore aujourd'hui pour des films sortis cette année ou l'année dernière, il ne suffit pas d'avoir des effets spéciaux impressionnants pour faire d'un film un bon film. Ici, cela vaut tout particulièrement puisque Kubrick mise essentiellement sur cette révolution au niveau des effets spéciaux pour vendre son film. Malheureusement, lorsque l'on néglige quasiment tous les autres aspects de son film, ce dernier fait flop.
Tant que je suis sur les points positifs, j'évoquerais l'unique autre point positif : la musique qui est devenue culte, d'une part, mais, d'autre part, qui est surtout sublime et qui se fond bien avec ces plans de l'espace.
Voilà, c'était tout pour les points positifs. Maintenant, côté points négatifs, il y a surtout le scénario : invisible, inexistant et qui donne au final un film vide. Oui, vide. "- 2-3 dialogues par-ci par là et puis on va mettre des tonnes de plans sur l'espace et les vaisseaux avec de la musique derrière pour montrer à quel point on est fort nous niveau effets spéciaux. - Hmmm, faudrait quand même pas oublié de mettre une histoire les gars pour justifier l'existence de notre film ! - Bon, on va inventer une histoire de complot étatique, ça passe toujours ça". Ben non, ça ne passe pas et on s'ennuie bien bien comme il faut vu l'absence de scénario et le rythme très très lent ! (Carl, le robot, a probablement inspiré Jarvis d'Iron Man mais il parle avec une telle lenteur qu'il est un bon exemple de ce que j'appelle le rythme mou de "2001 : L'Odyssée de l'espace". Sérieusement, comment pouvez-vous aimer ça ? C'est juste chiant et les acteurs n'ont aucun charisme. Moi, je n'ai pas tenu les 2h20.
Un film qui donne tout son sens à un mot tel que CINEMA. Une pièce maitresse. L'une des plus grande œuvre jamais réalisée. Des effets speciaux magnifiques pour l'epoque, on s'y croirait. un delire total, une reflexion sur notre monde, des couleurs, des images, une musique, des effets. Des larmes. 2001 l'odyssée de l'espace est au cinéma ce que la Joconde est au Louvre
C'est simple, soit ce film passionne, soit il ennuie. Pour moi, c'est la première solution. Je crois que cela restera vraiment le chef d'oeuvre de la science-fiction. Stanley Kubrick était décidément un génie, c'est une évidence à chaque fois que l'on revoit l'un de ses films. Ce qui est encore plus fascinant, c'est qu'il arrive à nous émerveiller alors que le film ne contient quasiment aucun scénario, aucun dialogue, ce qui est bien sur. C'est un spectacle visuel de toute beauté, incroyablement mis en scène, provoquant émerveillement donc, mais aussi crainte parfois. La transition entre le baton lancépar un singe et la découverte du vaisseau est un moment mythique, et la musique classique qui berce le tout apporte sa pierre à l'édifice. De plus, le message philosophique en fin de film est lui aussi tout à fait magistral. C'est vraiment le cas de le dire : 2001, l'odyssée de l'espace est un film EXTRAORDINAIRE!!
Ce film est certainement l'un des plus grands films jamais réalisés. C'est une histoire racontée avec un rythme particulier ou chaque instant vous adsorbes dans le merveilleux et l'absolu. De quoi parle le film: il dit surtout et non pas par des mots mais par des moyens cinématographiques d'expressions exceptionnelles pour l'époque avec un parfait mélange d'effets spéciaux spectaculaires et d'une musique qui apporte aux créations de la vie une imagination humaine de manière à la fois réaliste et poétique. L'histoire elle-même est assez simple à première vue. Comme le titre l'indique, il s'agit d'un voyage par excellence, un motif répété pendant des milliers d'années. Cette parabole a toujours été utilisée non seulement pour décrire le voyage dans l'espace et le temps, et au-delà. Mais a une riche signification philosophique. Le film est une contemplation poétique d'éternelles questions les plus passionnantes. Ce n'est pas seulement une odyssée d'une personne, c'est une odyssée de notre espèce. Le film est excellent en soi, «quelle est la relation entre l'évolution de l'humanité et le développement de la moralité humaine». Après avoir vu le film vous aurez cette impression assez grande d'être tomber dans un genre cinématographique ultime ou vos connaissances seront à jamais changées aussi bien d'un point de vu technique sur l'approche du cinéma mais surtout sur la force et la puissance transcendante du pouvoir du cinéma lorsque celui ci s'approche de la perfection. Mais très certainement au delà de toutes techniques, une catharsis mi homme mi processeur puisque le héros du film n'est pas humain, une approche de l'évolution de l'humanité, cet instant ou l'homme laissera sa place pour une nouvelle espèce, pour disparaitre et n'être enfin partout et nulle part, via ce monolithe qui représente la compréhension. Et surtout cette conceptualisation, que l'univers ne fait qu'un avec nous. Car finalement rien n'est défini par les propriétés esthétiques des objets ou des œuvres, mais seulement par le concept et l'idée. Il s'oppose ainsi à la définition dominante de la beauté dans la critique de la faculté de juger, selon laquelle "la réduction de l’art à des idées pures". Donc 2001 est un chef d’œuvre du cinéma cela ne fait aucun doute mais au-delà de la pellicule et très certainement à travers notre esprit comme l'a voulu Stanley.K
Ne pas reconnaitre à 2001 ses qualités de film visionnaire serait de la pure et simple mauvaise foi! En effet,tout concours dans ce film à imposer au spectateur une "vraie" vision futuriste bien avant ce que la trilogie star wars allait établir en matière de règle science fictionnelle.Pourvu d'une thématique EXTRAORDINAIREMENT bien mise en scène dans un déluge de réflexions d'une profondeur exemplaire,2001 de kubrick démontre à quel point le bonhomme savait faire du BON cinéma efficace,intelligent,cohérent,inventif et visionnaire,ce qui ne fait que rajouter à l'incompréhension la plus totale qui caractérise le dernier quart d'heure,pour le spectateur qui ne se serait pas pris un petit shoot au LSD avant la séance.J'imagine cependant qu'il est plus facile pour la critique malhonnête de crier au génie quand tout semble indiquer que le maitre dans un élan de communion céleste,a sans doute oublié qu'il réalisait un film rien de plus,destiné au commun des mortels!