Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
31 critiques presse
L'Humanité
par Cyprien Caddeo
On déguste alors le film comme on jouit d’une comédie musicale, chaque coup marquant le rythme d’un frénétique opéra. Fait rare dans l’action contemporaine, c’est au tournage que se joue la réussite de l’entreprise et non au montage : on n’est jamais perdu, tout est lisible, les scènes s’allongent et s’étoffent.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Un spectacle généreux, épique, résolument jouissif.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
20 Minutes
par Caroline Vié
Dans « John Wick : Chapitre 4 » de Chad Stahelski, Keanu Reeves pousse encore plus loin les limites du cinéma d’action.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Plus fort, plus haut, plus long : voici le meilleur de la saga John Wick, pas loin de 3 heures qu’on ne voit pas passer, bourrées d’action, de combats, de cascades, de traques sans fin entre New York, Osaka, Berlin et Paris.
Ecran Large
par Déborah Lechner
En plus d'être plus grand et plus fou, John Wick 4 a la bonne idée de faire Table rase de sa mythologie, à laquelle il colle symboliquement une balle entre les deux yeux.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Filmsactu
par Olivier Portnoi
Une claque en pleine poire ! L'épisode le plus fou, le plus spectaculaire et le plus ambitieux de la saga. Avec près de 3 heures de folie furieuse, John Wick Chapitre 4 va faire date dans l'histoire du cinéma d'action. Jubilatoire et gourmand et dopé par un final parisien dantesque.
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
IGN France
par Tarek Diouri-Adequin
Certaines scènes pouvaient paraître un peu longues mais l’essentiel du film est à féliciter pour son dynamisme et son intensité, qui met à profit la quasi-totalité de ses 2 heures et 49 minutes pour tenter de s'inscrire dans le Panthéon des films d'action.
La critique complète est disponible sur le site IGN France
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Superstar en Asie, un peu moins à Hollywood, Donnie Yen, l’un des plus grands acteurs chinois, le dernier d’une dynastie de stars des arts martiaux qui va de Bruce Lee à Jackie Chan en passant par Jet Li, aura bientôt 60 ans mais il est infatigable. Il vole la vedette à Keanu Reeves dans ce John Wick 4 de grande facture, aux combats immédiatement cultes.
Le Figaro
par Olivier Delcroix
En l'espace d'une dizaine d'années, Stahelski (ancien cascadeur hollywoodien passé à la réalisation et qui régla les cascades de Reeves sur Matrix), est parvenu à créer une nouvelle légende du cinéma d'action. Son nom est John Wick. On n'est pas près de l'oublier...
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Geek
par Allan Blanvillain
La promesse est tenue. Le réalisateur Chad Stahelski a décidé de nous offrir le long-métrage le plus meurtrier qui soit avec des scènes rallongées, diversifiées, mortelles à souhait.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Geek
Le Monde
par J.-F. R.
Le ressassement, l’essoufflement, l’inaboutissement deviennent les symptômes d’une douleur intime, sentiment secret d’une œuvre, faussement superficielle peut-être, pleine de bruit et fureur.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Michel Valentin
Le film insiste encore davantage sur la dimension crépusculaire de son anti-héros. L’opus n’est pas exempt de défauts, mais il fournira sans problème leur dose d’adrénaline aux amateurs d’action.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Simon Hoarau
Non sans quelques longueurs superflues, ce quatrième volet déroule un programme et une mise en scène toujours aussi inventifs et maîtrisés. Et s’il ne déroge pas aux codes établis par ses aînés, il surprend néanmoins en laissant poindre une émotion jusqu’ici prudente.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Ce qui accroche dans John Wick, ce n’est pas l’action en tant que telle, mais l’effet paradoxal de stase qu’elle produit, l’espèce d’apothéose zen dans la violence.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Olivier Lamm
Le spectacle qui se joue là est résolument l’un des plus originaux du cinéma contemporain, dernière étape avant quelque chose d’autre de la mutation de tout l’entertainment américain en spectacle d’action : le cinéma «CrossFit». Un cinéma qu’on pourrait juger vain si la question du corps ne faisait à ce point défaut partout ailleurs dans le blockbuster supervirtualisé ; et s’il ne réfléchissait pas aussi brillamment à son statut de cinéma monstre.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Edouard Orozco
La saga portée par Keanu Reeves, plus christique que jamais, arrive encore à se surpasser.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Julien Rousset
Un film virtuose qui va enchanter les fans, mais que les néophytes trouveront sans doute trop long (près de trois heures).
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télé 2 semaines
par Yoann Jenan
Sous un impressionnant déluge de séquences d'action et de combats, Chad Stahelski offre une belle conclusion à la saga.
Télé Loisirs
par Yoann Jenan
Derrière la caméra pour la quatrième fois, Chad Stahelski utilise à merveille son sens de la chorégraphie et conclut la saga en beauté sous un déluge de scènes d'action.
Voici
par La Rédaction
Très énergique et impressionnant de virtuosité.
Critikat.com
par Clément Colliaux
Le film dessine ainsi par endroits un prototype de film d’action ultraviolent et sans affects, qui enchaînerait avec épuisement, mais aussi une certaine grâce, les mises à mort. Ces ambitions sont cependant entravées par ce qu’il reste du canevas narratif.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Sur près de trois heures, le film ressemble à une bande-démo géante où Chad Stahelski se dépense sans réserve.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
GQ
par Adam Sanchez
Avec sa durée extravagante (2h50, 70 minutes de plus que le premier opus) et sa myriade de décors, se téléportant de Tokyo à Berlin pour finir à Paris, John Wick 4 est d'une puissance de frappe implacable mais sans doute engoncé dans son désir de livrer un cinéma total.
La critique complète est disponible sur le site GQ
La Voix du Nord
par Christophe Caron
La saga John Wick n’a plus grand-chose à raconter. Mais… Deux éléments majeurs quand même. La présence de Donnie Yen (...). Une seconde partie parisienne proprement hallucinante.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Point
par Philippe Guedj
Dans John Wick : chapitre 4, tous les ingrédients sont bien là et la mayonnaise prend assurément, mais impossible d'ignorer ce je-ne-sais-quoi de légère déception. Pas grand-chose, mais tout de même…
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Echos
par Adrien Gombeaud
A force de surenchères visuelles et sonores et d'avalanches de corps perforés, ce chapitre 4 finit par épuiser son spectateur.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
Assurément, un renouveau du cinéma d’action.
Télérama
par Marie Sauvion
Avec cette chapelle Sixtine de la baston, le réalisateur et ex-cascadeur Chad Stahelski signe un solde de tout compte en forme d’apothéose.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Vincent Poli
Sur le rond‐point des Champs‐Élysées ou l’escalier de la butte Montmartre, Stahelski lorgne franchement vers le vidéoludique en faisant mine d’ignorer le grotesque des affrontements.
Mad Movies
par François Cau
La franchise en est rendue au stade "Fast & Furious 6" de sa dévitalisation, comme peut en attester son traitement d'une ultraviolence travestie de façon cosmétique. Le savoir-faire des cascadeurs hollywoodiens est passé de l'artisanat en attente de reconnaissance au statut de consortium cannibale de toutes les influences possibles.
L'Obs
par François Forestier
Ce n’est même pas un nanar, c’est juste débile.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
L'Humanité
On déguste alors le film comme on jouit d’une comédie musicale, chaque coup marquant le rythme d’un frénétique opéra. Fait rare dans l’action contemporaine, c’est au tournage que se joue la réussite de l’entreprise et non au montage : on n’est jamais perdu, tout est lisible, les scènes s’allongent et s’étoffent.
Le Journal du Dimanche
Un spectacle généreux, épique, résolument jouissif.
20 Minutes
Dans « John Wick : Chapitre 4 » de Chad Stahelski, Keanu Reeves pousse encore plus loin les limites du cinéma d’action.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Plus fort, plus haut, plus long : voici le meilleur de la saga John Wick, pas loin de 3 heures qu’on ne voit pas passer, bourrées d’action, de combats, de cascades, de traques sans fin entre New York, Osaka, Berlin et Paris.
Ecran Large
En plus d'être plus grand et plus fou, John Wick 4 a la bonne idée de faire Table rase de sa mythologie, à laquelle il colle symboliquement une balle entre les deux yeux.
Filmsactu
Une claque en pleine poire ! L'épisode le plus fou, le plus spectaculaire et le plus ambitieux de la saga. Avec près de 3 heures de folie furieuse, John Wick Chapitre 4 va faire date dans l'histoire du cinéma d'action. Jubilatoire et gourmand et dopé par un final parisien dantesque.
IGN France
Certaines scènes pouvaient paraître un peu longues mais l’essentiel du film est à féliciter pour son dynamisme et son intensité, qui met à profit la quasi-totalité de ses 2 heures et 49 minutes pour tenter de s'inscrire dans le Panthéon des films d'action.
Le Dauphiné Libéré
Superstar en Asie, un peu moins à Hollywood, Donnie Yen, l’un des plus grands acteurs chinois, le dernier d’une dynastie de stars des arts martiaux qui va de Bruce Lee à Jackie Chan en passant par Jet Li, aura bientôt 60 ans mais il est infatigable. Il vole la vedette à Keanu Reeves dans ce John Wick 4 de grande facture, aux combats immédiatement cultes.
Le Figaro
En l'espace d'une dizaine d'années, Stahelski (ancien cascadeur hollywoodien passé à la réalisation et qui régla les cascades de Reeves sur Matrix), est parvenu à créer une nouvelle légende du cinéma d'action. Son nom est John Wick. On n'est pas près de l'oublier...
Le Journal du Geek
La promesse est tenue. Le réalisateur Chad Stahelski a décidé de nous offrir le long-métrage le plus meurtrier qui soit avec des scènes rallongées, diversifiées, mortelles à souhait.
Le Monde
Le ressassement, l’essoufflement, l’inaboutissement deviennent les symptômes d’une douleur intime, sentiment secret d’une œuvre, faussement superficielle peut-être, pleine de bruit et fureur.
Le Parisien
Le film insiste encore davantage sur la dimension crépusculaire de son anti-héros. L’opus n’est pas exempt de défauts, mais il fournira sans problème leur dose d’adrénaline aux amateurs d’action.
Les Fiches du Cinéma
Non sans quelques longueurs superflues, ce quatrième volet déroule un programme et une mise en scène toujours aussi inventifs et maîtrisés. Et s’il ne déroge pas aux codes établis par ses aînés, il surprend néanmoins en laissant poindre une émotion jusqu’ici prudente.
Les Inrockuptibles
Ce qui accroche dans John Wick, ce n’est pas l’action en tant que telle, mais l’effet paradoxal de stase qu’elle produit, l’espèce d’apothéose zen dans la violence.
Libération
Le spectacle qui se joue là est résolument l’un des plus originaux du cinéma contemporain, dernière étape avant quelque chose d’autre de la mutation de tout l’entertainment américain en spectacle d’action : le cinéma «CrossFit». Un cinéma qu’on pourrait juger vain si la question du corps ne faisait à ce point défaut partout ailleurs dans le blockbuster supervirtualisé ; et s’il ne réfléchissait pas aussi brillamment à son statut de cinéma monstre.
Première
La saga portée par Keanu Reeves, plus christique que jamais, arrive encore à se surpasser.
Sud Ouest
Un film virtuose qui va enchanter les fans, mais que les néophytes trouveront sans doute trop long (près de trois heures).
Télé 2 semaines
Sous un impressionnant déluge de séquences d'action et de combats, Chad Stahelski offre une belle conclusion à la saga.
Télé Loisirs
Derrière la caméra pour la quatrième fois, Chad Stahelski utilise à merveille son sens de la chorégraphie et conclut la saga en beauté sous un déluge de scènes d'action.
Voici
Très énergique et impressionnant de virtuosité.
Critikat.com
Le film dessine ainsi par endroits un prototype de film d’action ultraviolent et sans affects, qui enchaînerait avec épuisement, mais aussi une certaine grâce, les mises à mort. Ces ambitions sont cependant entravées par ce qu’il reste du canevas narratif.
Franceinfo Culture
Sur près de trois heures, le film ressemble à une bande-démo géante où Chad Stahelski se dépense sans réserve.
GQ
Avec sa durée extravagante (2h50, 70 minutes de plus que le premier opus) et sa myriade de décors, se téléportant de Tokyo à Berlin pour finir à Paris, John Wick 4 est d'une puissance de frappe implacable mais sans doute engoncé dans son désir de livrer un cinéma total.
La Voix du Nord
La saga John Wick n’a plus grand-chose à raconter. Mais… Deux éléments majeurs quand même. La présence de Donnie Yen (...). Une seconde partie parisienne proprement hallucinante.
Le Point
Dans John Wick : chapitre 4, tous les ingrédients sont bien là et la mayonnaise prend assurément, mais impossible d'ignorer ce je-ne-sais-quoi de légère déception. Pas grand-chose, mais tout de même…
Les Echos
A force de surenchères visuelles et sonores et d'avalanches de corps perforés, ce chapitre 4 finit par épuiser son spectateur.
Télé 7 Jours
Assurément, un renouveau du cinéma d’action.
Télérama
Avec cette chapelle Sixtine de la baston, le réalisateur et ex-cascadeur Chad Stahelski signe un solde de tout compte en forme d’apothéose.
Cahiers du Cinéma
Sur le rond‐point des Champs‐Élysées ou l’escalier de la butte Montmartre, Stahelski lorgne franchement vers le vidéoludique en faisant mine d’ignorer le grotesque des affrontements.
Mad Movies
La franchise en est rendue au stade "Fast & Furious 6" de sa dévitalisation, comme peut en attester son traitement d'une ultraviolence travestie de façon cosmétique. Le savoir-faire des cascadeurs hollywoodiens est passé de l'artisanat en attente de reconnaissance au statut de consortium cannibale de toutes les influences possibles.
L'Obs
Ce n’est même pas un nanar, c’est juste débile.