Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
41 critiques presse
BIBA
par Mélanie Klein
Intelligent, engagé, drôle, absurde, doté d’une mise en scène riche et d’effets spéciaux fantastiques et surtout bouleversants, ce film atteint la perfection cinématographique.
Bande à part
par Isabelle Danel
Dupontel joue à Bonnie & Clyde dans cette odyssée tendre et caustique, désespérée et drôle. À la vie à la mort...
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Culturopoing.com
par Carine Trenteun
'Adieu les cons" est une fable haletante du début jusqu'à sa fin audacieuse, où le burlesque et le lyrisme s'harmonisent. Si l'ineptie est devenue la norme, être à la marge en faisant preuve d'humanité et de solidarité permet de vivre, enfin ! Mala vida !
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
GQ
par Jérémy Patrelle
[...] c'est très sûrement le meilleur long métrage français de 2020. Car il y a tout : l'émotion, le rire, la folie, l'absurde, la vérité, la vie qui défile, qui déchire les certitudes et creuse les inégalités.
La critique complète est disponible sur le site GQ
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Dupontel joue à fond la corde de l’émotion (parfois à l’excès, petit bémol). Mais il garde intacte son appétence pour le rythme effréné et la trouvaille visuelle. Et quel plaisir de passer en revue toute sa famille artistique (...).
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Albert Dupontel signe un opéra visuel magnétique et nerveux, fébrile et puissant.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Un délice de cinéma.
Positif
par Eric Derobert
Si depuis maintenant trois films (9 Mois ferme, 2013, Au revoir là-haut, 2017, et celui-ci), Albert Dupontel n’a pas changé son style à base de caméra exubérante et de couleur sépia, ni ses personnages paumés dans leur solitude, la facture acrobatique de ses récits – scénario compris – est de plus en plus tendue vers un regard chaleureux et social.
Rolling Stone
par Sophie Rosemont
Entre burlesque et tragédie, le septième long métrage d’Albert Dupontel est l’un de ses meilleurs, et frappe juste : en plein cœur
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Télé Loisirs
par Gwénola Trouillard
On retrouve l'énergie burlesque, la maîtrise visuelle et les dialogues percutants déployés par Dupontel dans "9 mois ferme". Mais en osant le mélo, il y ajoute une puissance romanesque et une émotion qui nous submergent. Quelle claque !
20 Minutes
par Caroline Vié
La rencontre entre un suicidaire, une femme condamnée par la maladie et un employé aveugle dans « Adieu les cons » se révèle une merveille de drôlerie et de poésie.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CNews
par La rédaction
Sans surprise, Albert Dupontel, punk dans l’âme qui s’est un peu assagi, égratigne la société avec la poésie et l’humour noir qu’on lui connaît.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Closer
par La Rédaction
Un rare sens du dialogue et de la poésie.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Albert Dupontel, clown désabusé et clairvoyant, n’est pas triste : si le ressort est dramatique, la situation est comique. Vous allez rire, beaucoup même, rire jaune, rire noir, de cette tragédie burlesque de la vie défaillante, emmenée par un improbable et formidable trio.
Ecran Large
par Simon Riaux
Film le plus émouvant de son auteur, où le punk cartoon se marie étonnamment bien avec des émotions aiguës, dont la justesse impressionne, "Adieu les cons" ne laisse pas indemne.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Elle
par Marguerite Baux
Un road trip sans temps mort, qui repose par ailleurs sur l'instinct maternel, la grâce des grands timides et autres irrésistibles mignonneries.
Femme Actuelle
par Amélie Cordonnier
On pense aux univers de Jacques Tati, de Wes Anderson ou de Terry Gilliam, autant de réalisateurs qui prennent des libertés avec le réel pour, finalement, mieux en parler à leur façon.
L'Obs
par Nicolas Schaller
Ainsi, ce foisonnant « Adieu les cons » apparaît moins tenu, plus instable que « Neuf Mois ferme ». Un moindre mal tant la patte de Dupontel, ce mélange de satire sociale et de délire burlesque, reconnaissable entre toutes, nous venge du manque d’imagination dont souffre trop souvent le cinéma français.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
Virginie Efira, tout en émotions contenues, apporte un supplément d’humanité à la noirceur de son propos.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Une comédie corrosive au romantisme fou.
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Frénétique mais ultra-maîtrisée, la mise en scène met au centre l’émotion et offre de nombreux moments de grâce, comme une scène de déclaration d’amour pilotée à distance dans un ascenseur. Beau et fou.
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Albert Dupontel se surpasse et signe un film à la fois délirant et émouvant, qui raconte avec un humour ravageur le monde d'aujourd'hui et ses aberrations.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Fiches du Cinéma
par Gaël Reyre
Jolie comédie grinçante, le film ne convainc cependant pas totalement.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Marianne
par Olivier De Bruyn
Une comédie féroce.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Première
par Thierry Chèze
Le Dupontel 2020 est un excellent millésime.
La critique complète est disponible sur le site Première
Public
par La Rédaction
Le duo formé par Virginie Efira et Albert Dupontel fonctionne à la perfection.
Rolling Stone
par Sophie Rosemont
Entre burlesque et tragédie, le septième long métrage d'Albert Dupontel frappe juste : en plein cœur.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Trame à la fois explosive et tendre, par la grâce d’un cinéaste qui dynamite les codes mais ramasse la mise, et dont les acteurs sont également épatants (...).
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Dans ce pamphlet rageur et burlesque qui étrille la déshumanisation de notre société, on retrouve toute la tendresse d’Albert Dupontel pour les éclopés de l ’existence, les derniers de cordée, dans un monde de plus en plus dur où la norme est d ette fort avec les faibles et faible avec les forts.
Télérama
par Guillemette Odicino
POUR : Le cinéma d’Albert Dupontel ne cesse de surprendre par sa tendresse iconoclaste et rageuse.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par A.V.
Une tragi-comédie furieusement romanesque.
Paris Match
par Yannick Vely
Mais si le récit s'essouffle un peu, "Adieu les cons" est aussi traversé de moments de grâce. L'amour que porte Albert Dupontel pour les gentils "Freaks" traverse l'écran et il offre un rôle en or massif à Virginie Efira, sublime femme du peuple, un personnage à l'Italienne comme les incarnaient Claudia Cardinale ou Sophia Loren dans les années 60.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
L'acteur-réalisateur sort un septième film, fidèle à son style corrosif, dans une comédie pas toujours aboutie.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Efira jette autour d’elle des regards paniqués. Il n’est pas sûr que ce soit seulement à cause du rôle. Tous ces gens sur l’écran s’amusent beaucoup plus que ceux dans la salle.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Véronique Cauhapé
Le film, qui fait brailler les flics comme des gardes chiourmes, agir les informaticiens comme des pantins, trébucher l’aveugle, n’amuse pas. Et se fait oublier dès sa fin consommée.
Télérama
par Jacques Morice
CONTRE : Adieu les cons, qui tend finalement vers la douceur, n’est pas un mauvais film, mais un film con… formiste.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Le septième long métrage de Dupontel réalisateur propose un dispositif décalé et insolite mais tourne vite en rond, faute d’un scénario solide. Les effets visuels et sonores criards finissent en outre par lasser.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Marcos Uzal
Ce qu’il resterait d’insolence se dissout dans les poncifs. Même sentiment de ringardise face à la dimension mélodramatique du récit, dont la trame est digne d’un larmoyant feuilleton du XIXe siècle. Le pire étant sans doute la récupération opportuniste d’un sujet brûlant, les violences policières.
Critikat.com
par Josué Morel
Le cinéma boursouflé de Dupontel est décidément bien antipathique.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Les Inrockuptibles
par Marilou Duponchel
La grandiloquence kitsch de la mise en scène de Dupontel [...] opère à plein régime pour sursignifier, en même temps qu’elle ensevelit, les faits et gestes des héros·oïnes de ce conte moderne gonflé d’effets numériques disgracieux.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Didier Péron
C’est un genre d’"After Hours" rabougri, une cavalcade entre un bureau, un rond-point, un pavillon de banlieue et une tour impersonnelle [...].
La critique complète est disponible sur le site Libération
BIBA
Intelligent, engagé, drôle, absurde, doté d’une mise en scène riche et d’effets spéciaux fantastiques et surtout bouleversants, ce film atteint la perfection cinématographique.
Bande à part
Dupontel joue à Bonnie & Clyde dans cette odyssée tendre et caustique, désespérée et drôle. À la vie à la mort...
Culturopoing.com
'Adieu les cons" est une fable haletante du début jusqu'à sa fin audacieuse, où le burlesque et le lyrisme s'harmonisent. Si l'ineptie est devenue la norme, être à la marge en faisant preuve d'humanité et de solidarité permet de vivre, enfin ! Mala vida !
GQ
[...] c'est très sûrement le meilleur long métrage français de 2020. Car il y a tout : l'émotion, le rire, la folie, l'absurde, la vérité, la vie qui défile, qui déchire les certitudes et creuse les inégalités.
La Voix du Nord
Dupontel joue à fond la corde de l’émotion (parfois à l’excès, petit bémol). Mais il garde intacte son appétence pour le rythme effréné et la trouvaille visuelle. Et quel plaisir de passer en revue toute sa famille artistique (...).
Le Parisien
Albert Dupontel signe un opéra visuel magnétique et nerveux, fébrile et puissant.
Ouest France
Un délice de cinéma.
Positif
Si depuis maintenant trois films (9 Mois ferme, 2013, Au revoir là-haut, 2017, et celui-ci), Albert Dupontel n’a pas changé son style à base de caméra exubérante et de couleur sépia, ni ses personnages paumés dans leur solitude, la facture acrobatique de ses récits – scénario compris – est de plus en plus tendue vers un regard chaleureux et social.
Rolling Stone
Entre burlesque et tragédie, le septième long métrage d’Albert Dupontel est l’un de ses meilleurs, et frappe juste : en plein cœur
Télé Loisirs
On retrouve l'énergie burlesque, la maîtrise visuelle et les dialogues percutants déployés par Dupontel dans "9 mois ferme". Mais en osant le mélo, il y ajoute une puissance romanesque et une émotion qui nous submergent. Quelle claque !
20 Minutes
La rencontre entre un suicidaire, une femme condamnée par la maladie et un employé aveugle dans « Adieu les cons » se révèle une merveille de drôlerie et de poésie.
CNews
Sans surprise, Albert Dupontel, punk dans l’âme qui s’est un peu assagi, égratigne la société avec la poésie et l’humour noir qu’on lui connaît.
Closer
Un rare sens du dialogue et de la poésie.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Albert Dupontel, clown désabusé et clairvoyant, n’est pas triste : si le ressort est dramatique, la situation est comique. Vous allez rire, beaucoup même, rire jaune, rire noir, de cette tragédie burlesque de la vie défaillante, emmenée par un improbable et formidable trio.
Ecran Large
Film le plus émouvant de son auteur, où le punk cartoon se marie étonnamment bien avec des émotions aiguës, dont la justesse impressionne, "Adieu les cons" ne laisse pas indemne.
Elle
Un road trip sans temps mort, qui repose par ailleurs sur l'instinct maternel, la grâce des grands timides et autres irrésistibles mignonneries.
Femme Actuelle
On pense aux univers de Jacques Tati, de Wes Anderson ou de Terry Gilliam, autant de réalisateurs qui prennent des libertés avec le réel pour, finalement, mieux en parler à leur façon.
L'Obs
Ainsi, ce foisonnant « Adieu les cons » apparaît moins tenu, plus instable que « Neuf Mois ferme ». Un moindre mal tant la patte de Dupontel, ce mélange de satire sociale et de délire burlesque, reconnaissable entre toutes, nous venge du manque d’imagination dont souffre trop souvent le cinéma français.
La Croix
Virginie Efira, tout en émotions contenues, apporte un supplément d’humanité à la noirceur de son propos.
Le Dauphiné Libéré
Une comédie corrosive au romantisme fou.
Le Journal du Dimanche
Frénétique mais ultra-maîtrisée, la mise en scène met au centre l’émotion et offre de nombreux moments de grâce, comme une scène de déclaration d’amour pilotée à distance dans un ascenseur. Beau et fou.
Les Echos
Albert Dupontel se surpasse et signe un film à la fois délirant et émouvant, qui raconte avec un humour ravageur le monde d'aujourd'hui et ses aberrations.
Les Fiches du Cinéma
Jolie comédie grinçante, le film ne convainc cependant pas totalement.
Marianne
Une comédie féroce.
Première
Le Dupontel 2020 est un excellent millésime.
Public
Le duo formé par Virginie Efira et Albert Dupontel fonctionne à la perfection.
Rolling Stone
Entre burlesque et tragédie, le septième long métrage d'Albert Dupontel frappe juste : en plein cœur.
Sud Ouest
Trame à la fois explosive et tendre, par la grâce d’un cinéaste qui dynamite les codes mais ramasse la mise, et dont les acteurs sont également épatants (...).
Télé 7 Jours
Dans ce pamphlet rageur et burlesque qui étrille la déshumanisation de notre société, on retrouve toute la tendresse d’Albert Dupontel pour les éclopés de l ’existence, les derniers de cordée, dans un monde de plus en plus dur où la norme est d ette fort avec les faibles et faible avec les forts.
Télérama
POUR : Le cinéma d’Albert Dupontel ne cesse de surprendre par sa tendresse iconoclaste et rageuse.
Voici
Une tragi-comédie furieusement romanesque.
Paris Match
Mais si le récit s'essouffle un peu, "Adieu les cons" est aussi traversé de moments de grâce. L'amour que porte Albert Dupontel pour les gentils "Freaks" traverse l'écran et il offre un rôle en or massif à Virginie Efira, sublime femme du peuple, un personnage à l'Italienne comme les incarnaient Claudia Cardinale ou Sophia Loren dans les années 60.
Franceinfo Culture
L'acteur-réalisateur sort un septième film, fidèle à son style corrosif, dans une comédie pas toujours aboutie.
Le Figaro
Efira jette autour d’elle des regards paniqués. Il n’est pas sûr que ce soit seulement à cause du rôle. Tous ces gens sur l’écran s’amusent beaucoup plus que ceux dans la salle.
Le Monde
Le film, qui fait brailler les flics comme des gardes chiourmes, agir les informaticiens comme des pantins, trébucher l’aveugle, n’amuse pas. Et se fait oublier dès sa fin consommée.
Télérama
CONTRE : Adieu les cons, qui tend finalement vers la douceur, n’est pas un mauvais film, mais un film con… formiste.
aVoir-aLire.com
Le septième long métrage de Dupontel réalisateur propose un dispositif décalé et insolite mais tourne vite en rond, faute d’un scénario solide. Les effets visuels et sonores criards finissent en outre par lasser.
Cahiers du Cinéma
Ce qu’il resterait d’insolence se dissout dans les poncifs. Même sentiment de ringardise face à la dimension mélodramatique du récit, dont la trame est digne d’un larmoyant feuilleton du XIXe siècle. Le pire étant sans doute la récupération opportuniste d’un sujet brûlant, les violences policières.
Critikat.com
Le cinéma boursouflé de Dupontel est décidément bien antipathique.
Les Inrockuptibles
La grandiloquence kitsch de la mise en scène de Dupontel [...] opère à plein régime pour sursignifier, en même temps qu’elle ensevelit, les faits et gestes des héros·oïnes de ce conte moderne gonflé d’effets numériques disgracieux.
Libération
C’est un genre d’"After Hours" rabougri, une cavalcade entre un bureau, un rond-point, un pavillon de banlieue et une tour impersonnelle [...].