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Kana57
43 abonnés
945 critiques
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2,5
Publiée le 21 mars 2023
Quel Film Long plat et Chiant, après c'est plutôt bien Filmé mais James Grey se regarde le nombril avec une Histoire qui raconte rien au Finale . Les Adolescents ont des rêves mais ont t'ils tous les mêmes chances surtout quand on est un noir pas sûre ⭐️⭐️
il y a bien longtemps que je n'avais attribué 5 étoiles, mais quelle intelligence , quelle émotion, quelle justesse de ton se dégagent de ce film. ce dernier film de James gray peut paraître, à tort , différent de ses œuvres passées. on y retrouve pourtant le poids de la tradition et de la famille. la mise en scène certes classique ne peut faire oublier un scénario remarquable et une interprétation prestigieuse, aussi bien des enfants que des acteurs peu connus et que des stars Hollywoodiennes au top de leur forme.
C'est marrant cette manie de filmer les ados pour que les adultes regardent ces films. On s'ennuie. On se croirait dans une télé-réalité avec des intervenants avec un Q.I. un plus élevé quand même. Et puis, on s'en fout de ces films politisés ( gentils démocrates et méchants républicains). J'aurai dû m'en douter car les critiques ont aimé. D'après Spielberg, Tom Cruise a sauvé Hollywood avec Top Gun 2. Bah, là, le réalisateur vient de couler Hollywood.
Autobiographique. Une amitié impossible ble entre 2 garçons juif fauché, fils de plombier et noir qui vit avec sa grand mère, dans le bronks raciste. La fin de l'innocence pour le jeune sui voit son ami partir en prison tandis qu'il bénéficie de la protection d'un policier que son père a depanné.
Voilà, du James Gray classique, c’est assez pompeux, hyper académique, c’est pas très palpitant et rapidement on se désintéresse du sujet. Le film n’a pas su me faire attacher aux personnages, si ce n’est qu’à celui de l’immense Anthony Hopkins, touchant. Les autres acteurs n’ont rien à se reprocher dans le jeu, c’est très bon, mais malheureusement lestés par une histoire hyper somnolente.
Film qui se regarde mais qui est loin d'être le chef d'œuvre que certains prétendent... C'est l'histoire autobiographique d'un petit garçon juif issu d'une famille de classe moyenne qui ne supporte pas l'injustice et qui va se mouiller pour son copain noir issu d'un milieu pauvre. Le film présente une tranche de vie, on reste sur sa faim.
Viens le temps de la bien vieille innocence avec Armageddon Time signé James Gray. Je sors de du cinéma et le gout de l’après séance est plus qu’agréable.
Pour commencer, Deux gamins qui ont une certaine propension à refuser la discipline scolaire au sein d’une salle de classe et l'incapacité du système scolaire à gérer la différence. Une ouverture vraiment réussie, les choses sont faites dans la simplicité sans vouloir convaincre un spectateur incertain, et le film restera sur cette lancée durant les 2 h de visionnage.
Le filtre de la photographie représente la réalité de la ségrégation des noirs dans les années 80, La réalité du rêve américain. il est glaçant et froid, mais sans être désagréable pour offrir une saveur d’une beauté émotionnelle rarement ressentie. C’est un film généreux qui vous laissera sans doute un gout d’amertume par la sensibilité qu’il nous transmet.
De vraies attaches aux personnages comme je n’avais pas eu depuis longtemps.
Le film annonce une distribution complète, sur laquelle nous comptons plus que tout et le pari est pour ma part réussi. Un Anthony Hopkins remarquable (on le savait déjà mais à préciser), un gamin touchant, petit fils d’émigré russe, absolument incroyable dans son acting (Banks Repeta, notez bien son nom car il ira loin), une Anne Hathaway convaincante, hors de sa zone de confort avec le physique d’une mère fatiguée, que l’on a manqué de voir dans d’autres de ses films. la puissance d’une froideur glaciale chez un père compliqué, Jeremy Strong.
C’est une chronique familiale intime, qui ne vous fera pas vraiment réfléchir. D’ailleurs, Rien n’est vraiment développé, il est surtout très instinctif. Et c’est la qu’est la vrai efficacité de Armaggedon Time. James Gray à bien fait son travail en nous offrant un film semi-autobiographique, bien différent de ses oeuvres habituelles. Ça ne ressemble pas à un film dit « expérimental » ou « atypique » mais il est terriblement éloigné de tous les films que j’ai pu visionner cette année en marquant sa distinction par sa simplicité. Top 2022 avec After Yang qui resteront de forts souvenirs au cinéma.
Ca y est, James Gray rejoint le club (bondé !) des cinéastes livrant un récit initiatique sous forme de film semi-autobiographique. Tendance très forte de ses dernières années… Mais à la différence de ses pairs, James Gray ne cède aucunement à la nostalgie, bien au contraire. « Armageddon Time » dresse le portrait de Paul, jeune garçon de famille juive, élève à l’école publique à New-York en 1980. La photographie aux couleurs automnales, et l’atmosphère froide évoquent cette sortie de l’enfance qui n’a rien de plaisante. En particulier, Paul sera confronté aux injustices. Des parents stricts et une école peu ouverte, qui ne le soutiennent pas dans son choix de devenir artiste. Le racisme anti-noir et l’antisémitisme. Ou les inégalités sociales énormes, qui s’apprêtent à exploser avec les années Reagan. Vous l’aurez compris, on est loin du feel good movie ou même du portrait attendrissant ! Le regard de James Gray est dur, et s’appuie sur de solides comédiens. On soulignera tout particulièrement Anthony Hopkins, très à l’aise en grand-père bienveillant, pivot de la famille. Et le jeune Banks Repeta, touchant et juste, dont la carrière devrait décoller après cette prestation ! Moins fort que les autres drames familiaux réalisé par James Gray, « Armageddon Time » n’en demeure pas moins un drame intéressant et réussi.
ames Gray nous livre ici un film intimiste où il relate son enfance dans les années 80, à New York.
La mise en scène est épurée, presque sombre. En fait, James Gray explique qu’il a volontairement éloigné ses acteurs de la lumière principale pour retrouver l’ambiance de ces années 80 dans le Queens. Autre fait intéressant, le réalisateur s’est attaché à reproduire à l’identique les lieux de son enfance, notamment sa chambre, où prône un poster de Mohamed Ali.
Ce film, très personnel donc, est l’histoire d’une amitié entre un jeune garçon, Paul, issue d’une famille aisée d'ouvriers et d’un jeune garçon noir, Johny, sans foyer véritable avec qui ils font les quatre cent coups, jusqu’à ce que les parents de Paul décident de le changer d’école pour lui offrir un cadre plus propice à l’ascension sociale. Porté par des acteurs excellents, avec la musique de The Clash en fil rouge, le film nous montre l’incompréhension de l’enfance face aux décisions des adultes et à un racisme ambiant. Sans aucun manichéisme, et c’est là une des marques du génie de James Gray, il nous montre également la difficulté de trouver sa place pour cet enfant qui a la tête dans les étoiles, qui rêve de devenir un artiste et qui est tiraillé entre ses désirs, ceux de ses parents qui souhaitent un parcours beaucoup plus conventionnel pour leur fils afin qu’il obtienne une place légitime dans la société américaine (place qu’ils ont eux-mêmes si difficilement acquis), le discours d’un grand père qu’il admire éperdument, un ami rejeté, une école qui pousse à l’excellence des élèves triés sur le volet… Tout cela nous est raconté du point de vue de l’enfance, avec cette émotion particulière où le drame laisse rapidement la place aux jeux et à l’imagination, où cette insouciance et cette innocence touchent en plein cœur.
Critique acerbe de la société américaine et plus généralement de notre société occidentale. Sous des airs d'e banales histoires de gamins dans une famille quelconque, c'est une caricature de nos sociétés où les traits sont grossis et exagérés pour bien faire paraître en premier plan tout ce qui est caché derrière les sourires de l'American dream. Bravo à l'auteur de ce film.
Le thème familial qui traverse toute l’œuvre de James Gray est traité à la source dans ce récit autobiographique qui prend la forme d’une élégante réminiscence des instants perdus. Qu’on ne s’y trompe pas, ce sont des enjeux universels qui s’affirment au travers de cette histoire éminemment personnelle : amitié adolescente, racisme endémique de la société américaine, inégalités sociales installés au cœur du système scolaire, mémoire des génocides des pays de l’Est, intégration de populations immigrées au rêve américain, etc. Tout cela passe sans être matraqué, avec une infinie délicatesse. La relation avec le grand-père (Hopkins magistral) est bouleversante, à l’image de la scène clé du film (lancement de la fusée au parc).
Grâce au 25ème Festival Cinéma Télérama, j’ai découvert « Armageddon Time » de James, sorti en 2022 et présenté à Cannes. Nous sommes en 1980 à New York dans le Queens. Quatre personnages principaux : un père (Jeremy Strong) sévère et violent en fait marqué par son origine sociale et son métier, souhaitant que ces 2 fils puissent progresser ; une mère (Anne Hathaway) femme d’intérieur un peu soumise mais aimante et fière d’être la représentante des élèves à l’école de son fils ; un grand-père (Anthony Hopkins) d’origine juive et originaire de l’Ukraine (coïncidence politique ?) très sage et qui est le « ciment de la famille » et très proche de son petit-fils Paul Graff (Michael Banks Repeta) au visage angélique, un « peu lent à l’école » car d’un tempérament artistique encouragé par son grand-père. Paul n’hésitera pas à se lier à l’école avec Johnny, un afro-américain redoublant et en marge de la société, appliquant ainsi un conseil de son grand-père « être un Mensch ». Suite à un souci à l’école, Paul sera envoyé au Kew-Forest School, un collège privé très sélectif, administré par Fred Trump, le père du futur président des USA. Mais passionné plus par la peinture de Kandinsky né à Moscou que par la rigueur de ce collège, Paul s’y sentira mal à l’aise. Un film de près de 2 h qui pour ma part a du mal à démarrer et comporte un peu trop de pathos dans sa fin et quelques lourdeurs. Un film en partie autobiographique sur le fameux « rêve américain » au-delà de sa pluralité ethnique et avec un « humanisme » un peu tapageur … contrastant avec l’élection de Reagan et sa politique guerrière et nucléaire d’où le titre du film.
Loin des films d’aventures et du milieu de la mafia, le nouveau James Gray retourne à ses origines new-yorkaise en signant un film intimiste racontant une partie de sa jeunesse. Pour le réalisateur c’est surement l’un de ses films les plus abouti tant il se révèle personnel et nous permet de comprendre d’où vient l’inspiration future du réalisateur. Mais malheureusement je suis quand même déçu par le film car celui-ci est loin d’être emballant, il possède néanmoins une ambiance qui tient en haleine mais semble avoir du mal à aller au bout de ses idées, malgré un casting 5 étoiles, Anne Hataway et Anthony Hopkins sont (encore une fois) au top, avec des prestations exceptionnelles. On regrette que celle de Jessica Chastain ne soit pas plus approfondi.
J'avais très très envie de voir ce film et pourtant j'ai été très très déçue. j'ai trouvé le rythme traînant, l'histoire sans émotion, les acteurs sans vie. je n'ai pas aimé.