AlloCiné
Mon compte
Note moyenne
3,7
4088 notes
En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
Votre avis sur Armageddon Time ?
5
33 critiques
4
77 critiques
3
79 critiques
2
65 critiques
1
23 critiques
0
10 critiques
Trier par :
Filtrer par :
Toutes les notes
J'ai aimé ce film, surtout la façon dont il est filmé cela m'a accroché et le jeune acteur avec cette candeur et cette tristesse dans les yeux qui se noie dans un océan de chagrin. Vouloir être soi-même et ne pas suivre la vie que l'on veut t'imposer même si cela est pour ton bien et garder son libre-arbitre, cette histoire assez classique dans les années 70 ou le racisme primaire domine encore est raconté avec douceur et simplicité comme si chacun accepté sa condition bien qu'elle soit injuste et terrible à la fois.
Je comprends pas les critiques si élogieuses de la presse et celles plus sévères des spectateurs. Pourtant, ce n'est pas un film incroyable ni même un film ennuyeux : il y a du bon la dedans. Le scénario est assez banal mais c'est sa manière de raconter qui est intéressante. En plus, ce film a une portée autobiographique, l'histoire se passant en 1980 et James Gray étant né en 1969, on peut facilement faire le rapprochement entre le perso principal et le réalisateur.
L'entrée au collège de Paul Graff et son passage à l'adolescence aborde plusieurs thématiques importantes des États-Unis dans les années 80 : l'immigration, le racisme, le rêve américain, la réussite, la place de l'art... Et c'est sur ce dernier point que Paul Graff se trouve : un peu rêveur, inconscient et passionné de dessin, il se retrouve souvent dans de mauvaises situations : spoiler: souvent puni, forcé de changer de collège et un passage au commissariat
Les acteurs sont bons, Anne Hathaway en mère juive est convaincante et le grand-père remplit bien la fonction du papi gentil et attachant. Les deux enfants sont aussi doués, ils se prêtent bien au jeu.
Franchement, c'est un bon film, même si il manque de force. Quelques passages plus axé sur Johnny aurait été utile parce-que là on se retrouve sur un film sans vrai "risque", on sait que Paul finira toujours par s'en sortir au vu de sa condition. Ne vous laissez par avoir par la presse qui vous vend un film sensationnel, c'est vraiment exagéré, mais regardez-le c'est un bon film.
L'entrée au collège de Paul Graff et son passage à l'adolescence aborde plusieurs thématiques importantes des États-Unis dans les années 80 : l'immigration, le racisme, le rêve américain, la réussite, la place de l'art... Et c'est sur ce dernier point que Paul Graff se trouve : un peu rêveur, inconscient et passionné de dessin, il se retrouve souvent dans de mauvaises situations : spoiler: souvent puni, forcé de changer de collège et un passage au commissariat
Les acteurs sont bons, Anne Hathaway en mère juive est convaincante et le grand-père remplit bien la fonction du papi gentil et attachant. Les deux enfants sont aussi doués, ils se prêtent bien au jeu.
Franchement, c'est un bon film, même si il manque de force. Quelques passages plus axé sur Johnny aurait été utile parce-que là on se retrouve sur un film sans vrai "risque", on sait que Paul finira toujours par s'en sortir au vu de sa condition. Ne vous laissez par avoir par la presse qui vous vend un film sensationnel, c'est vraiment exagéré, mais regardez-le c'est un bon film.
Un film intéressant et surtout très émouvant.
Un récit autobiographique à l'époque Reagan.
Racisme et sélection sociale.
Passionnant ?
Pas vraiment car persiste cette impression de déjà vu...
Un récit autobiographique à l'époque Reagan.
Racisme et sélection sociale.
Passionnant ?
Pas vraiment car persiste cette impression de déjà vu...
Mon premier James gray au cinéma, dommage que ça cash pas au states. Je me reconnaissais bien dans les deux gosses
Anthony Hopkins qui joue un grand père juif, désolé mais j'ai simplement dur à croire en son personnage, il y a quelque chose qui ne colle pas. Idem pour le reste de la famille. On voit régner ici l'exagération du sentimental, le sucré excessif qu'on a tendance à retrouver chez Spielberg. Le scénario et le dialogue quant à lui est assez creux et à difficile à tenir debout.
T-Tiff
Malgré notre amour pour le travail de James Gray, nous n'avions pas franchement très envie de voir "Armageddon Time", dont le synopsis ne dévoilait pas grand-chose et semblait assez creux. Et c'est bien dommage, car une fois encore le cinéaste prouve qu'il est un des meilleurs réalisateurs du moment, avec un film particulièrement touchant. A travers ce drame familial, qui raconte l'enfance d'un garçon à New-York dans les années 80, le film aborde le sujet du racisme de manière très originale et avec beaucoup de finesse. Si Anthony Hopkins et Anne Hathaway sont très bons dans des rôles secondaires, les jeunes Banks Repeta et Jaylin Webb sont également particulièrement convaincants. Ce film malheureusement passé un peu inaperçu était une belle découverte, et nous ne pouvons qu'encourager tout le monde à le voir.
J'ai vraiment apprécié ce film. On ressent l'atmosphère de l'époque avec plus de chances pour les blancs et plus de mal pour la communauté afro-américaine. Les mentalités différentes aussi sont bien représentées entre les relations enfants-parents. Bref, très beua moment passé devant ce film
Un récit initiatique tout simple qui tient grâce à la fraîcheur de son interprète principal et à la présence rassurante d'Anthony Hopkins.
Le film à une touche de poésie, traitant d'un sujet assez grave, mais ne tombe jamais dans la facilité, plutôt long à démarrer et assez lent dans sa construction, de ce fait quelques longueurs plombe le long métrage.
James Gray évoque son enfance et accouche d'une magnifique, subtil et sensible film sur la lutte des classes.
Film émouvant, sur un rythme lent, qui permet de comprendre et de connaître chaque personnage. Anthony Hopkins est épatant dans le rôle du grand père maternel, et Banks Repeta est très touchant dans le rôle de Paul Graff. On s'attache très vite à ces deux personnages. On sent que le décès du grand père va faire basculer l'histoire. Que le petit Paul va évoluer suite à cette terrible disparition. Qu'il va prendre un virage, peut-être dans une mauvaise direction. On le suit un peu mais le film s'arrête trop tôt à mon gout. J'aurais aimé le voir grandir, le voir aller plus loin dans son cheminement personnel. La scène final nous le suggère, sans nous le révéler. C'est peut-être mieux ainsi, car il est difficile de trouver une bonne fin à ce genre d'histoire.
Alors qu'il s'annonçait touchant, ce film se révèle d'un ennui abyssal. Si ce n'est pour Anthony Hopkins, toujours impérial, le film présente un intérêt limité, sur la forme, comme sur le fond.
La complaisance des médias autour de ce film m'est encore plus déplaisante que l'ennui à le visionner. Pas mauvais mais sans grand intérêt.
Film sans réelle faute mais sans réelle surprise. Les sujets abordés durant le film sont intéressants mais leurs diversités alliés à la lenteur globale n'emballe malheureusement pas
C'est plutôt bien filmé mais pourquoi n'accroche t-on jamais à cette histoire, finalement très banale. Certes il y a une amitié entre un juif et un noir, et ensuite ? Peut être cela vient il du protagoniste principal qui manque de charisme ? Peut être de la lenteur du film. C'est long et souvent ennuyeux.
Il est vrai que j'ai vu le film en VF et que ça n'a pas arrangé les choses. Mais bon, on attend tout le film qu'il se passe quelque chose d'intéressant et puis le générique de fin arrive et on attend toujours.
Après le mauvais Ad Astra, on espère retrouver Gray en meilleure forme.
Sur le même thème, je vous invite à voir Le film français Sarcelles 1981 de Sined Onaicram qui est bien meilleur.
Il est vrai que j'ai vu le film en VF et que ça n'a pas arrangé les choses. Mais bon, on attend tout le film qu'il se passe quelque chose d'intéressant et puis le générique de fin arrive et on attend toujours.
Après le mauvais Ad Astra, on espère retrouver Gray en meilleure forme.
Sur le même thème, je vous invite à voir Le film français Sarcelles 1981 de Sined Onaicram qui est bien meilleur.
- Meilleurs films
- Meilleurs films selon la presse