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Votre avis sur Armageddon Time ?
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Liens familiaux, amitié, racisme, loyauté… Beaucoup de thèmes sont abordés dans ce film autobiographique qui retrace une période courte de la vie du réalisateur dans le Queens à NYC, à savoir la transition entre l’enfance et l’adolescence, et les désillusions qui l’accompagnent..
Sobriété, justesse de la mise en scène, belle photographie. Joli film assez émouvant et personnel, tout en retenu… Bien loin de l’atmosphère mafieuse de The Yards ou We Own The Nigh, films tendues et rythmés, loin également de la maestria de Two Lovers.
Intimiste et émouvant, à défaut d’être brillant
Sobriété, justesse de la mise en scène, belle photographie. Joli film assez émouvant et personnel, tout en retenu… Bien loin de l’atmosphère mafieuse de The Yards ou We Own The Nigh, films tendues et rythmés, loin également de la maestria de Two Lovers.
Intimiste et émouvant, à défaut d’être brillant
Un très beau drame de James Gray sélectionné au festival de Cannes 2022 avec Anthony Hopkins, Anne Hathaway , Jeremy Strong.
Plutôt que de s’allonger sur le divan d’un psychanalyste, James Gray se livre à travers cette amère chronique d’inspiration autobiographique mélancolique. La famille, l’école, l’amitié et la discrimination alimentent la transition existentielle de ce gamin juif du Queen du début des années 80 alors que la question politique d’une Amérique pré-reaganienne n’est évoquée que substantiellement. Brillamment photographié par Darius Khondji, « Armageddon Time » ne distille qu’une émotion contenue mais offre deux beaux rôles à Anne Hathaway et Anthony Hopkins.
Alors que son titre semble promettre une apocalypse d'ampleur, Armageddon Time déjoue les attentes en racontant en fait un drame intime, celui du jeune Paul Graff, 11 ans, alter ego du cinéaste dont le monde s'effondre en effet. Grâce à son amitié avec Johnny, jeune garçon noir d'un quartier pauvre voisin, et grâce à son grand-père, un enseignant à la retraite qu'il vénère, Paul prend en effet conscience du racisme qui gangrène la société américaine et de son privilège de jeune garçon blanc - privilège toutefois à nuancer du fait de ses origines juives - dont il va apprendre malgré lui à profiter. Le tout est peut-être amené de façon un peu trop évidente et didactique, mais les personnages sont suffisamment attachants pour que cela fasse mouche. L'émotion est en effet au rendez-vous. Cependant, la réussite de Gray, c'est surtout de réussir à tisser, à partir de sa destinée individuelle, une histoire collective des États-Unis qui trouve les origines du Trumpisme et du courant réactionnaire à l'œuvre dans la société américaine dans le néo-conservatisme de Reagan. La thèse n'est peut-être pas entièrement recevable, mais elle a le mérite d'être bien exposée.
Pas grand-chose à ajouter aux mauvaises critiques que j'ai lues, le film est mou, le scénario inexistant, les personnages survolés, ni poésie ni sensations, un film ennuyeux. Côté positif, la photo est belle, les acteurs principaux sont bons et l'ambiance 80' bien rendue. Rien d'autre.
Armageddon Time porte vraiment la pâte de James Gray, avec laquelle j'avoue avoir un peu de mal. Il traite de sujet de société à travers le quotidien d'une famille banale (ce qui est très intelligent et intéressant selon moi) mais avec une froideur et une simplicité dans la mise en scène qui rend le tout assez mou à mon humble avis. Pourtant, avec sa palette d'acteur, Armageddon Time avait tout pour être touchant et c'est sûrement la relation entre Paul et son grand père qui s'en sort le mieux de tout le film. C'est dommage car le propos d'Armageddon Time est passionnant : un jeune qui ne se reconnaît pas dans la classe élitiste dont il est censé faire partie, et qui se voit épargner les conséquences de ses bêtises alors que son ami noir est toujours rattrapé par ces dernières. Armageddon Time est vraiment un bon film (voir très bon selon certains) pour l'intelligence qu'il a de critiquer la société à travers le regard d'un simple enfant. Mais le style de James Gray a tendance à ne pas m'emballer à 100% et j'avoue m'être un peu ennuyé par moment devant ce film. Ça reste une oeuvre intéressante, je vous conseille de la découvrir.
En 2022, James Gray signe un film personnel inspiré des souvenirs de son enfance. En nous plongeant dans les années 1980 à New York, il évoque l’apprentissage d’un adolescent confronté à un monde adulte rempli d’inégalités. Quelles soient religieuses, familiales, scolaires ou sociales, ces injustices sont dépeintes avec justesse mais sans saillance. Et c’est bien le principal défaut de ce long-métrage qui finalement ne dégage guère d’émotions. Seul le message en toile de fond d’une Amérique de plus en plus conservatrice interpelle sur l’éternel recommencement de l’Histoire. Bref, une œuvre alanguissante malgré la multitude des thèmes abordés.
DE LA LUNE A LA TERRE. C'était le temps de James Gray. C'était son temps qui sonne la fin? Les cartes sont rabattues. Partition lourde, appuyée et boursoufflée. Le sens des choses se dérobe sous ses pieds fragiles. Bruce Willis n'a pas aimé.
Aimant beaucoup la filmographie de James GRAY, j'attendais avec impatience celui-ci.
Et je n'ai pas été déçu. Le film est vraiment très beau, tant visuellement que moralement. Les acteurs jouent très bien, notamment les deux jeunes acteurs principaux qui m'ont particulièrement bluffés.
"Armageddon Time" est pour moi le meilleur film de James GRAY.
Et je n'ai pas été déçu. Le film est vraiment très beau, tant visuellement que moralement. Les acteurs jouent très bien, notamment les deux jeunes acteurs principaux qui m'ont particulièrement bluffés.
"Armageddon Time" est pour moi le meilleur film de James GRAY.
Joli film très épuré sur la pré-adolescence Rebelle et perdue d'un gosse à New york dans les années 80. Ici pas d'effets du spectaculaire mais plutôt un portrait intimiste de cette famille juive ou seul le grand père (magnifique Hopkins) parvient à tisser un lien relationnel avec ce gamin insolent. Le film est aussi et bien evidemment une critique acerbe de l'Amérique puritaine et injuste où les chances ne sont pas les mêmes pour tous.
Belle maîtrise et beau film.
Belle maîtrise et beau film.
Un drama leger sur les tentions raciales dans le queens des annees 80, on adore des les premieres scenes, le naturel rebel du jeune garçon, le pere violent, la mere qui dit rien, c’est cliché mais c’est tellement bien filmé, tout est zero defaut sans qu’on ait une image ou une esthetique d’emballage…
Je mets une recompense parce qu’avec Hopkins et rien a redire c’est evident !
🎖
Je mets une recompense parce qu’avec Hopkins et rien a redire c’est evident !
🎖
Un peu déçu par le résultat par rapport
à ce que nous vends la bande annonce. Malgré tout, James Gray transforme sa nostalgie des années 80 en un film poétique. On s'attache facilement à cet famille, et le casting est vraiment réussi.
à ce que nous vends la bande annonce. Malgré tout, James Gray transforme sa nostalgie des années 80 en un film poétique. On s'attache facilement à cet famille, et le casting est vraiment réussi.
Un beau film dans le Queens des années 80 qui traite joliment, mais sans concessions, de l'accomplissement de soi, la difficulté de trouver sa voie... Un peu plombant mais servi par une sacrée brochette d'acteurs.
Je suis vraiment sidéré par tant de bonnes critiques.
Des dialogues interminables et assez creux, beaucoup de scènes inutiles, un film qui traine en longueur et qui nous ennuie…
Vraiment pas terrible en ce qui me concerne.
Des dialogues interminables et assez creux, beaucoup de scènes inutiles, un film qui traine en longueur et qui nous ennuie…
Vraiment pas terrible en ce qui me concerne.
Un excellent film, car de n'est pas du tout un film à petit budget sur la destruction de la terre, non, c'est un film sur comment on détruit sa vie et qu'un jour survient l'Armageddon de son avenir! Car tout le film repose sur deux enfants, un qui rêve qui crois avoir accès à tout dans la vie, qui croient que ses parents peuvent tout faire pour lui, et qui ne voit pas comment ses parents et grands-parents ont peinés pour lui offrir ce qu'ils peuvent lui offrir de meilleur mais qui est quand même un peu limité, un enfant pour lequel on a tout fait, on en a trop fait comme dirait Maria Montessori, et du coup il a du talent, en dessin notamment, mais l'insertion est impossible, et son copain noir, qui n'a qu'une grand -mère qui ne peut quitter le lit! Un film qui fait réfléchir sur les défaut de nos éducations modernes, parfois nous n'en faisons pas assez, et parfois trop! Faute de moyen mais pas toujours... et pourtant, tout cela a été expliqué par la première femme diplômée en médecine d'Italie... mais de système perverti en compétitions futiles : on passe notre temps à être évaluer sans réelle connaissance, sur du par coeur... quand ce n'est pas de la sélection cachée par les options qui ne bénéficient qu'à ceux qui les ont mis en place... un excellent film, dur pour les enfants envers lesquels on est trop dur trop injuste, mais si pédagogique pour les enfants perdus dans des rêves irréalistes, et des parents qui en font trop, et qui sont à bout de souffle! Et merci, on retrouve le grand Antony Hopkins en grand père... et une actrice dont on se dit, elle n'a rien fait... à part le potable le diable s'habille en Prada, mais là elle a un rôle de mère qui est perdu, qui ne sait plus que faire, qui ne comprend pas les réactions de son fils dans la lune qui refuse le monde réel et qui se dit... "mais qu'est-ce que je pourrais faire de plus..." un excellent film qui n'a rien à voir, malgré son titre avec un film catastrophe de série B! Alors regardez-le, vraiment!
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