Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
37 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
On s’explique mal pourquoi ce très beau film a été ignoré par le jury cannois.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Bande à part
par Emmanuel Raspiengeas
Si les thèmes abordés et la mise en scène du réalisateur restent absolument les mêmes, cette balade mélancolique surprend par sa retenue émotionnelle inédite, loin des grandes envolées lyriques des tragédies précédentes de Gray, qui affine ici son style jusqu’à l’épure.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
James Gray revient sur deux mois fondateurs de son enfance. Après la transcendance de « Ad Astra », l’appel à lutter contre l’injustice. Hanté et bouleversant.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Culturopoing.com
par Michaël Delavaud
En s'interrogeant sur la meilleure façon, bien que nécessairement vaine, de s'affranchir de l'aliénation du réel, "Armageddon Time" s'inscrit donc avec une remarquable cohérence dans la rhétorique du cinéma de James Gray.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Magnifique.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
La Septième Obsession
par Xavier Leherpeur
La mise en scène de James Gray, équilibrée entre l’insouciance de l’enfant et la gravité du citoyen, dit l’impuissance mélancolique de son auteur (…) Une réussite.
La Voix du Nord
par Christophe Caron
James Gray réussit une somptueuse chronique familiale autobiographique et revisite l’orée d’un basculement idéologique destructeur, dans le Queens des années 80.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Outre le commentaire social et politique d’un pays déjà rongé à l’époque par le racisme et l’antisémitisme, on est bouleversé par ce drame intimiste qui trouve sa puissance dans sa simplicité, par la mise en scène élégante, intelligente et subtile, sans oublier la photographie magistrale de Darius Khondji.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par La Rédaction
James Gray raconte la naissance de sa vocation dans les années 1980, celles de l’ère Reagan — l’expression « Armaggedon Time » est de l’ancien président républicain — en un tableau de famille étourdissant de justesse et de finesse.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Echos
par Adrien Gombeaud
James Gray propose un récit autobiographique sur la fin de l'enfance dans le Queens des années 1980. Un film à la fois intime et puissant.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Libération
par Olivier Lamm
Dans son film le plus intime, à la fois tragédie et récit d’apprentissage, James Gray brosse un portrait saisissant et cruel de son pays du début des années 80 à travers celui d’une famille juive qui ressemble à la sienne.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marianne
par Olivier De Bruyn
Dans « Armageddon Time », James Gray revisite son adolescence et signe un film magistral sur son pays natal, qu’il observe avec une amère lucidité.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Positif
par William Le Personnic
Gray orchestre une déchirante mise à distance dans son film le plus ouvertement proustien, proche du roman de réminiscence et d’apprentissage Du côté de chez Swann.
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
Le cinéaste aborde, avec sensibilité et intransigeance, l’illusion du rêve américain et le racisme systémique de son pays. Il n’en signe pas moins un film d’une grâce infinie sur l’enfance et la perte de l’innocence.
Télérama
par Jacques Morice
Poignant, pathétique même, Armageddon Time l’est, mais dans une tradition du mélodrame où le réalisme se teinte d’un peu de merveilleux. C’est en romantique déchiré et déchirant que James Gray a filmé le monde enfui de sa jeunesse.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La Rédaction
Un film bouleversant, sorte de Quatre cents coups à l'américaine.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Voilà donc le film le plus sincère et abouti de James Gray. Le réalisateur invite son spectateur avec une histoire a priori simple à penser la tolérance et le progrès social.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
CNews
par La rédaction
Un récit brillamment interprété, qui dissèque l’Amérique et reprend les thèmes de prédilection du cinéaste.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Cahiers du Cinéma
par Yal Sadat
Pas question de suivre un trajet de l’innocence vers un savoir qui protégerait de l’injustice sociale. L’enjeu est plutôt de retrouver un sentiment amer, comme on retrouve la rudesse de l’hiver : celui d’être à nouveau candide face aux promesses d’équité en Amérique, et donc de s’horrifier comme au premier jour du mensonge qu’elles enrobent – au lieu de le regarder d’un œil adulte et blasé. Il s’agit, en somme, de réapprendre un dégoût.
Critikat.com
par Marin Gérard
Armageddon Time est un film simple, dénué de l’envie d’impressionner dont témoignaient les premiers coups d’éclat du cinéaste, et cette simplicité, après le décevant Ad Astra, lui permet de retrouver une forme de grandeur.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Dans ce touchant récit de passage à l’âge adulte, l’enfance quand elle grandit apprend la gravité du monde, la banalité du mal, les injustices. Avec Armageddon Time , James Gray filme la sortie de l’enfance comme la perte de l’innocence. Il n’est pas le premier, mais on y croit fort grâce à Banks Repeta, jeune acteur surdoué.
Ecran Large
par Antoine Desrues
Loin d’être mineur dans la carrière de James Gray, Armageddon Time est une suite de portraits d’une efficacité dévastatrice, un film-monde dont la limpidité cache ses multiples niveaux de lecture. Bouleversant.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
GQ
par Adam Sanchez
Même si son titre laisse imaginer le contraire, Armageddon Time est un film modeste, balayant la nostalgie de ce genre d’œuvre pour installer une émotion lancinante.
La critique complète est disponible sur le site GQ
L'Humanité
par Cyprien Caddeo
Dans Armageddon Time, le cinéaste new-yorkais livre une chronique sensible de son enfance dans le Queens. Un petit bout d’histoire dans une plus grande : les années Reagan, le business roi, et le trumpisme qui s‘annonce.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Nicolas Schaller
Sans angélisme (chaque génération d’immigrés, montre-t-il, porte en elle la tentation du repli réactionnaire), dans un drame feutré, comme murmuré à l’oreille du spectateur, peuplé d’acteurs admirables (Anne Hathaway, Jeremy Strong).
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
James Gray filme la sortie de l’enfance comme la perte de l’innocence. Il n’est pas le premier, mais on y croit fort grâce à Banks Repeta, jeune acteur surdoué.
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Avec Armageddon Time, James Gray a réussi un cocktail des 400 coups et d’Au revoir les enfants. Il est une Nouvelle Vague à lui tout seul.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Mathieu Macheret
Ce récit de l’enfance revisitant la désillusion des années 1980 à travers l’amitié tuée dans l’œuf de deux camarades de classe, l’un blanc, l’autre noir, s’est parfois vu réduit à son postulat et considéré comme schématique. Or, chez Gray, tout se gagne dans la durée.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Nicolas Marcadé
James Gray fait un détour, direct mais sans complaisance, par l’autobiographie pour se livrer à une psychanalyse conjointe de lui et de la société. Un brillant exercice d’emboîtement entre théorie politique et pratique romanesque.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Emily Barnett
Si presque tous ses films sont associés à des quêtes intimes, Armageddon Time plonge dans la matrice. Cette œuvre à clés nous révèle que derrière la figure récurrente du père, il y a eu dans la vie de Gray un grand-père aimant dont la mort a constitué une perte irréparable.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Marie Claire
par Emily Barnett
Une ode bouleversante à l'art de trouver sa voie, par un fin connaisseur de l'âme humaine.
Rolling Stone
par Sophie Rosemont
Le soin apporté à la reconstitution ici est digne de la réputation de Gray, qui s’entoure de complices, comme le brillant directeur de la photographie, Darius Khondji, qui nous transporte littéralement dans le Queens de 1981.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Transfuge
par Frédéric Mercier
Ce classicisme au meilleur sens du terme permet à Gray de bâtir l’air de rien un portrait mélancolique d’un pays à la dérive, qui est train de trahir ses idéaux.
Télé Loisirs
par Thomas Colpaert
Un portrait de famille touchant porté par une grande puissance évocatrice.
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
Cinéaste de grand talent, habitué de Cannes, James Gray a néanmoins offert une version trop lisse, trop amidonnée, pas assez rugueuse de ses années de formation et de la perte de ses illusions. En dépit de la qualité formelle de cette œuvre, le jury ne lui a même pas accordé un accessit.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Paris Match
par Fabrice Leclerc
Si le talent de conteur de James Gray fait encore des merveilles, la multiplication des thématiques emmène parfois le film dans des impasses ou des territoires trop balisés, trop attendus.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Sud Ouest
par Sophie Avon
Présenté en compétition officielle au dernier Festival de Cannes, « Armageddon Time » du mélancolique James Gray raconte un gamin du Queens, dans les années 1980.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
20 Minutes
On s’explique mal pourquoi ce très beau film a été ignoré par le jury cannois.
Bande à part
Si les thèmes abordés et la mise en scène du réalisateur restent absolument les mêmes, cette balade mélancolique surprend par sa retenue émotionnelle inédite, loin des grandes envolées lyriques des tragédies précédentes de Gray, qui affine ici son style jusqu’à l’épure.
CinemaTeaser
James Gray revient sur deux mois fondateurs de son enfance. Après la transcendance de « Ad Astra », l’appel à lutter contre l’injustice. Hanté et bouleversant.
Culturopoing.com
En s'interrogeant sur la meilleure façon, bien que nécessairement vaine, de s'affranchir de l'aliénation du réel, "Armageddon Time" s'inscrit donc avec une remarquable cohérence dans la rhétorique du cinéma de James Gray.
Franceinfo Culture
Magnifique.
La Septième Obsession
La mise en scène de James Gray, équilibrée entre l’insouciance de l’enfant et la gravité du citoyen, dit l’impuissance mélancolique de son auteur (…) Une réussite.
La Voix du Nord
James Gray réussit une somptueuse chronique familiale autobiographique et revisite l’orée d’un basculement idéologique destructeur, dans le Queens des années 80.
Le Journal du Dimanche
Outre le commentaire social et politique d’un pays déjà rongé à l’époque par le racisme et l’antisémitisme, on est bouleversé par ce drame intimiste qui trouve sa puissance dans sa simplicité, par la mise en scène élégante, intelligente et subtile, sans oublier la photographie magistrale de Darius Khondji.
Le Parisien
James Gray raconte la naissance de sa vocation dans les années 1980, celles de l’ère Reagan — l’expression « Armaggedon Time » est de l’ancien président républicain — en un tableau de famille étourdissant de justesse et de finesse.
Les Echos
James Gray propose un récit autobiographique sur la fin de l'enfance dans le Queens des années 1980. Un film à la fois intime et puissant.
Libération
Dans son film le plus intime, à la fois tragédie et récit d’apprentissage, James Gray brosse un portrait saisissant et cruel de son pays du début des années 80 à travers celui d’une famille juive qui ressemble à la sienne.
Marianne
Dans « Armageddon Time », James Gray revisite son adolescence et signe un film magistral sur son pays natal, qu’il observe avec une amère lucidité.
Positif
Gray orchestre une déchirante mise à distance dans son film le plus ouvertement proustien, proche du roman de réminiscence et d’apprentissage Du côté de chez Swann.
Télé 7 Jours
Le cinéaste aborde, avec sensibilité et intransigeance, l’illusion du rêve américain et le racisme systémique de son pays. Il n’en signe pas moins un film d’une grâce infinie sur l’enfance et la perte de l’innocence.
Télérama
Poignant, pathétique même, Armageddon Time l’est, mais dans une tradition du mélodrame où le réalisme se teinte d’un peu de merveilleux. C’est en romantique déchiré et déchirant que James Gray a filmé le monde enfui de sa jeunesse.
Voici
Un film bouleversant, sorte de Quatre cents coups à l'américaine.
aVoir-aLire.com
Voilà donc le film le plus sincère et abouti de James Gray. Le réalisateur invite son spectateur avec une histoire a priori simple à penser la tolérance et le progrès social.
CNews
Un récit brillamment interprété, qui dissèque l’Amérique et reprend les thèmes de prédilection du cinéaste.
Cahiers du Cinéma
Pas question de suivre un trajet de l’innocence vers un savoir qui protégerait de l’injustice sociale. L’enjeu est plutôt de retrouver un sentiment amer, comme on retrouve la rudesse de l’hiver : celui d’être à nouveau candide face aux promesses d’équité en Amérique, et donc de s’horrifier comme au premier jour du mensonge qu’elles enrobent – au lieu de le regarder d’un œil adulte et blasé. Il s’agit, en somme, de réapprendre un dégoût.
Critikat.com
Armageddon Time est un film simple, dénué de l’envie d’impressionner dont témoignaient les premiers coups d’éclat du cinéaste, et cette simplicité, après le décevant Ad Astra, lui permet de retrouver une forme de grandeur.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Dans ce touchant récit de passage à l’âge adulte, l’enfance quand elle grandit apprend la gravité du monde, la banalité du mal, les injustices. Avec Armageddon Time , James Gray filme la sortie de l’enfance comme la perte de l’innocence. Il n’est pas le premier, mais on y croit fort grâce à Banks Repeta, jeune acteur surdoué.
Ecran Large
Loin d’être mineur dans la carrière de James Gray, Armageddon Time est une suite de portraits d’une efficacité dévastatrice, un film-monde dont la limpidité cache ses multiples niveaux de lecture. Bouleversant.
GQ
Même si son titre laisse imaginer le contraire, Armageddon Time est un film modeste, balayant la nostalgie de ce genre d’œuvre pour installer une émotion lancinante.
L'Humanité
Dans Armageddon Time, le cinéaste new-yorkais livre une chronique sensible de son enfance dans le Queens. Un petit bout d’histoire dans une plus grande : les années Reagan, le business roi, et le trumpisme qui s‘annonce.
L'Obs
Sans angélisme (chaque génération d’immigrés, montre-t-il, porte en elle la tentation du repli réactionnaire), dans un drame feutré, comme murmuré à l’oreille du spectateur, peuplé d’acteurs admirables (Anne Hathaway, Jeremy Strong).
Le Dauphiné Libéré
James Gray filme la sortie de l’enfance comme la perte de l’innocence. Il n’est pas le premier, mais on y croit fort grâce à Banks Repeta, jeune acteur surdoué.
Le Figaro
Avec Armageddon Time, James Gray a réussi un cocktail des 400 coups et d’Au revoir les enfants. Il est une Nouvelle Vague à lui tout seul.
Le Monde
Ce récit de l’enfance revisitant la désillusion des années 1980 à travers l’amitié tuée dans l’œuf de deux camarades de classe, l’un blanc, l’autre noir, s’est parfois vu réduit à son postulat et considéré comme schématique. Or, chez Gray, tout se gagne dans la durée.
Les Fiches du Cinéma
James Gray fait un détour, direct mais sans complaisance, par l’autobiographie pour se livrer à une psychanalyse conjointe de lui et de la société. Un brillant exercice d’emboîtement entre théorie politique et pratique romanesque.
Les Inrockuptibles
Si presque tous ses films sont associés à des quêtes intimes, Armageddon Time plonge dans la matrice. Cette œuvre à clés nous révèle que derrière la figure récurrente du père, il y a eu dans la vie de Gray un grand-père aimant dont la mort a constitué une perte irréparable.
Marie Claire
Une ode bouleversante à l'art de trouver sa voie, par un fin connaisseur de l'âme humaine.
Rolling Stone
Le soin apporté à la reconstitution ici est digne de la réputation de Gray, qui s’entoure de complices, comme le brillant directeur de la photographie, Darius Khondji, qui nous transporte littéralement dans le Queens de 1981.
Transfuge
Ce classicisme au meilleur sens du terme permet à Gray de bâtir l’air de rien un portrait mélancolique d’un pays à la dérive, qui est train de trahir ses idéaux.
Télé Loisirs
Un portrait de famille touchant porté par une grande puissance évocatrice.
La Croix
Cinéaste de grand talent, habitué de Cannes, James Gray a néanmoins offert une version trop lisse, trop amidonnée, pas assez rugueuse de ses années de formation et de la perte de ses illusions. En dépit de la qualité formelle de cette œuvre, le jury ne lui a même pas accordé un accessit.
Paris Match
Si le talent de conteur de James Gray fait encore des merveilles, la multiplication des thématiques emmène parfois le film dans des impasses ou des territoires trop balisés, trop attendus.
Sud Ouest
Présenté en compétition officielle au dernier Festival de Cannes, « Armageddon Time » du mélancolique James Gray raconte un gamin du Queens, dans les années 1980.