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Marc L.
48 abonnés
1 643 critiques
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1,5
Publiée le 29 janvier 2024
Les Trolls est une des rares franchises que j’ai vraiment des difficultés à encadrer, et c’est complètement une question de principe. Déjà, parce que je déteste cordialement ces petits monstres, mes primes années ayant été hantées par la présence d’une de ces horreurs aux yeux globuleux et aux cheveux hirsutes dans mon environnement enfantin, ce qui remet en question l’universalité de la notion de “beau”. Ensuite, d’une manière générale, l’univers psychédélique hallucinogène dans lequel évoluent ces petites mochetées me donne l’impression que je vais dégobiller tout un arc-en-ciel d’un moment à l’autre. Paradoxalement, cette overdose chromatique permet à cet épisode de se livrer à quelques expérimentations visuelles plutôt bien vues. Enfin, on se doute que la contribution du scénario au succès du projet est purement symbolique car en dehors du grand imagier de toutes les valeurs positives et redondantes des films pour enfants, les Trolls tiennent surtout du gros juke-box de covers et de mashups pop. J’avais toléré la chose dans le second volet en raison de sa teneur quelque peu rock’n roll (quitte à faire des rockeurs les méchants de l’histoire et…non en fait, c’était très bien comme ça) mais celui-ci retombe dans la daube popisante la plus repoussante qui soit, et plus précisément la daube autrefois incarnée par les Boys bands : on y trouve même la première contribution à la destruction de tout ce qui est bon et beau des NSYNC fraîchement reformés après vingt-deux ans de silence. C’est vous dire le pouvoir de nuisance d’un tel film d’animation.
"Les Trolls 3", réalisé par Tim Heitz et Walt Dohrn avec un scénario de Jonathan Aibel et Glenn Berger, est une suite vibrante et énergique de la série d'animation populaire "Les Trolls". Après deux films où Poppy et Branch évoluent de la simple amitié à l'amour, ils sont enfin un couple (#broppy), offrant une nouvelle dynamique à leur relation. Cependant, cette évolution prend une tournure inattendue avec la découverte par Poppy d'un secret surprenant du passé de Branch : il faisait partie d'un boys band très apprécié, les BroZone, avec ses quatre frères Floyd, John Dory, Spruce et Clay.
Le film se transforme rapidement en une aventure palpitante lorsque Floyd, le frère aîné, est kidnappé par les méchants Velvet et Veneer, deux figures maléfiques de la pop qui convoitent son talent musical exceptionnel. Branch et Poppy, déterminés à sauver Floyd, se lancent dans une mission de sauvetage passionnante qui les amène à travers des mondes colorés et musicaux, typiques de l'univers des Trolls.
Ce troisième volet brille par sa capacité à mélanger les genres, offrant à la fois des moments d'action trépidants, de l'humour décalé et des scènes émouvantes. Les thèmes de la famille, de la fraternité brisée et de la réconciliation sont au cœur de l'intrigue, rendant le film attrayant pour un public de tous âges. La musique, élément central de la franchise, est encore une fois à l'avant-plan, avec des performances entraînantes qui raviront les fans de la série.
Visuellement, "Les Trolls 3" est un régal pour les yeux, avec ses couleurs éclatantes et ses animations dynamiques qui incarnent parfaitement l'esprit joyeux et exubérant des Trolls. Le film continue d'explorer le monde riche et diversifié des Trolls, introduisant de nouveaux personnages et de nouveaux décors.
Si vous avez aimé les 2 premiers impossible de ne pas allez le voir . Musique omniprésente du début à la fin , les petits Comme les grands ont adorés .
C'est bien pour les enfants et encore. Ma fille de 6ans m'a demandé quand est ce que ça se termine au bout d'une heure. Visuellement ça vaut les 2 premiers opus, mais franchement l'histoire sent le réchauffé et c'est cousu de fil blanc
Poppy et Branch s’aiment mais Poppy va découvrir le passé de son jeune compagnon : lorsqu’il chantait entouré de ses frères dans le boysband BroZone. L’un d’eux, capturé doit être libéré par ses frères. Ces derniers doivent donc se retrouver pour venir à son aide. C’est un joli film d’animation (qui se regarde aisément sans avoir vu les autres épisodes).
Comme souvent chez DreamWorks, le film gagne en rythme psychédélique ce qu'il perd en émotion et en profondeur. Ça va à 100 à l'heure mais ça ne se pose jamais pour creuser les persos, tout est prétexte pour de (jolies) scènes musicales. Mais comme dans le 2e volet (que j'avais personnellement préféré à celui-ci) le scénario est très linéaire, très prétexte et cousu de fils blancs. Si 2-3 répliques m'ont fait sourire (notamment celles des deux stars pourries gâtées obnubilées par leur image) , les rebondissements sont attendus et peu surprenants. Mon fils de 8 ans avait tout deviné dans le premier tiers du film. C'est dire...
Ne vous faites pas avoir... très décevant... scénario inexistant, l'humour n'en parlons pas aucun enfant n'a rigolé pendant toute la séance... les chansons remixer à tout va inaudible, mes enfants pourtant fan des 2 précédents opus sont sortis très déçus. Je vous aurai prévenu... allez faire un bowling en famille c'est préférable à voir cette daube
Nous l’avons vu en famille et même nos filles ados ont bien aimé. Il faut y aller avec l’esprit Troll! Le film et coloré, gai, drôle et nous avons beaucoup aimé les musiques qui donnent envie de danser.
Ce film est génial, on apprend un peux plus sur la vie de Branch et Poppy et c'est tout simplement fantastique. On voit aussi comment la famille est sacré et qu'il faut les chérir. Les musiques sont super entrainante et on retrouve les valeurs de la famille ce film est a voir en famille je le recommande fortement. IL NOUS FAUT UNE SUITE,ON VEUT UN "TROLLS 4"
Le film n'était pas mauvais, surtout lorsque le public visé sont les enfants, mais il n'a rien d'intéressant ni d'intrigant, ce n'est qu'un recopiage de ce qui se fait habituellement, et à un scénario super prévisible en plus d'être court. Bref, allez le voir si vous voulez passer un bon moment tranquillement sans vous casser la tête, c'est un film juste pour se détendre et pas pour être émerveillé. 13/20
Quelques fois, être papa, c'est savoir se sacrifier. Faire plaisir à son fils par exemple en l'emmenant voir Les Trolls 3. Et l'important est que ce petit bonhomme ait passé un bon moment avec l'envie de se lever de son siège pour danser ! Ceci étant dit, le papa a aussi le droit de penser que les créateurs de cette purge sans nom auraient pu faire le minimum syndical en terme de scénario, parce que là, c'est à peine digne d'un épisode télé de la série du même nom. Oui, le papa a vu des épisodes de la série, et c'était mi