"Je m'excuse" : voilà une phrase non-dit qui va déclencher l'ire de Russel Crowe. Pour faire simple, après avoir incendié le domicile conjugal, celui-ci va faire irruption dans la vie d'une mère et de son enfant, créant ainsi un climat de terreur au volant de sa grosse voiture. Un peu trop sage à mon goût, le film repose sur un Russel Crowe assez flippant spoiler: (la scène du restaurant est sans doute la meilleure) , avec un rythme soutenu. Souvent comparé à "Duel" de Spielberg, ce film n'arrive pas toujours à restituer l'angoisse permanente de ce dernier mais reste un divertissement correct.
Les pauvres… Elle a juste klaxonné et par la suite ils se font traquer et pire encore ! En sortant de la salle, je me souviens ma mère et moi sommes restés sans mot. On ne savait pas quoi dire parce qu'on été encore sous le choc de ce scénario épouvantable. C'est donc pour ça qu'on a trouvé le film ultra réaliste, car dans notre monde il y'en a des tarés. Film très accrochant et perturbant, Il passe très vite sachant que 80 % du film se déroule au volant d'une voiture. Le jeu d'acteur est très bon. PS : pour certains, arrêtez vos jugements sur le physique de Russell Crowe. C'est n'importe quoi ! PARCE QU'ON A GROSSI ON NE PEUT PLUS ÊTRE BON ACTEUR ??
Unhinged aurait gagné à ne pas penser, à se concentrer sur la traque de cette jeune mère et de son fils comme incarnation d’un rapport de prédation qui rattrape l’individu dans la société, comme incarnation de cette bête humaine qui sommeille en l’homme et qu’un coup de klaxon suffit à réveiller. Car lorsqu’il injecte dans son long métrage une prétendue analyse sociologique de l’individu contemporain broyé par le système, nous sentons que tout cela n’est que fumette, vole au vent et remplit l’heure et demie au lieu de véritablement réfléchir sur son sujet. En résulte une impression dommageable d’expérience pseudo-scientifique dans laquelle la famille et le pilote fou seraient des rats enfermés dans une boîte que le réalisateur secouerait pour observer leurs réactions. Une telle démarche supposait en amont la pertinence d’un regard et une rigueur d’analyse, ici absentes au profit d’une clausule bêtement rétrograde qui invite le spectateur, comme le ferait un clip de prévention diffusé sur chaînes publiques, à se détendre. Petite morale d’autant plus paradoxale que le film témoigne d’une complaisance dans la violence qu’il met en scène, confondant souvent le travail du suspense et le déchaînement primitif du mal avec l’arrière-boutique de la boucherie Sanzot, en particulier lors de l’entretien disons saignant avec le meilleur ami de Rachel dans un diner, tout à la fois invraisemblable et facile. Si Unhinged pèche en adoptant une posture intellectuelle qui ne lui sied guère, reconnaissons néanmoins sa force de mise en scène qui sait réaliser des séquences de traque haletantes en limitant la durée de ses plans sans les surdécouper, forte également de cascades fracassantes et d’une musique anxiogène signée David Sardy. Quant à Russell Crowe, sa prestation convainc sans faire des étincelles, la faute à la précarité d’écriture de son personnage que l’anonymat rend monolithique. En résulte un film tiède mais qui a le mérite de privilégier l’efficacité brute pour représenter la bête humaine contemporaine saisie dans sa radicalité fondamentale.
Enfin la reprise après ces longs mois de break? Semble-t-il.
Ce film, dont le postulat est simple à en être atypique, est une belle réussite pour cette seconde partie d’Août, et est efficace dans ce qu'il cherche à amener. Un psychopathe enragé du volant prend en chasse une femme ayant refusée de s'excuser après l'avoir klaxonné agressivement à un feu passé au vert, bien décidé à tuer son entourage afin de lui donner "une leçon", le film est haletant dans son rythme constant, brutal, et le couple bon jeu d'acteurs/bon cadrage/bonne ambiance sonore permet une immersion totale le temps de cette descente aux enfers, dans une ambiance à l
Bonne mise en scène, Russel Crowe est incroyable et frôle vraiment la perfection, cet tension tout au long du film est presque insoutenable, ce n'est pas fou fou, c'est du déjà vu et revu mais ça reste un bon film à voir au moins une fois.
Avec un grand acteur comme Russell Crowe, on aurait pu s'attendre à un film dans la lignée d'un Chute libre ou taxi driver. Mais non, c'est un film avec un scenario qui dure 20 minutes, et ensuite des courses poursuites... et plus aucune psychologie. Certes, Russell Crowe fait peur, mais ca n'est pas suffisant pour faire un bon film.
Pour commencer, Russel Crowe : pas du tout crédible en psychopathe, à moins que les cinquantenaires avec une bedenne ne vous donne des frissons. Le film est une sorte de clip de la sécurité routière mais version block buster : aucun intérêt et surtout pas du tout terrifiant, bref 6 euros de perdu.
Film désagréable à regarder, pas plausible pour un sous... (apparemment la police ne sait pas utiliser le bornage pour localiser un téléphone...). A éviter.
Immonde, d'une violence sans précédent . De plus les erreurs de tournage flagrants, la voiture n'a pas une marque derrière alors car plusieurs il lui rentre dedans... bref et à la fin la faute à qui ?
Ah enfin....le film de 2020, vu le lot de navets auquel on a eu droit. Le film porte bien son nom, enragé, spectaculaire, suspense, violent, tendu. Une réussite avec un Russel Crowe et ses au moins 160 kg!
Aïe aïe aïe ! Préparez-vous au pire en matière de violence ! Après 20 mn de malaise, je jette l'éponge avec une belle envie de vomir. Comment peut-on faire ce genre de film et à quoi cela peut-il bien servir ... l'Art ??? Que l'on ne me parle pas de divertissement ou alors pour les cinglés ! Je comprends pourquoi on vit une société si violente ! Que fait-t-on pour protéger nos enfants de ce genre de choses ?!