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Nicothrash
365 abonnés
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3,5
Publiée le 9 septembre 2020
Un retour tonitruant dans le cinéma d'action des 90's avec cet Enragé, thriller sous pression avec un Russel Crowe grossissant et énervé à l'affiche ! La rapide introduction laisse vite place à l'action et aux agissements de psychopathe d'un Crowe aux abois qui n'a visiblement plus rien à perdre et l'on ne met pas bien longtemps à comprendre jusqu'où il est capable d'aller pour une simple incivilité. Ce n'est pas sans rappeler Les Nouveaux Sauvages ou Chute Libre dans un autre style ou quand le quotidien vous rattrape et vous fait vriller. Très rythmé, on ne voit pas le temps passé avec Enragé, en outre c'est sans concession car plutôt violent et malgré une ou deux incohérences, on ne se perd pas dans de multiples rebondissements improbables et sans fin. Pas un grand film évidemment mais particulièrement divertissant et efficace. A voir.
Le film souffre des lacunes habituelles du genre : scénario un peu léger et nombreuses invraisemblances. Il est sauvé par un rythme de folie et un Russel Crowe en grande forme et vraiment flippant qui arrivent à nous embarquer. Au final c’est sans originalité mais quand même plutôt efficace.
Un film fait pour les amoureux du délirant, du sanglant, du trash et du flippant. Pour celles et ceux qui ont aimé la scène de la voiture des "Nouveaux sauvages", vous adorerez.
Un film impressionnant par sa noirceur sa froideur a l'image de notre société actuelle hyper violente pour un regard de travers ou une place de parking ! Russell Crowe est tres impressionnant dans ce rôle psychotique ! Un film angoissant à l'image de son introduction
Un film violent, bourrin et prévisible mais haletant. Russell Crowe est terrifiant dans le rôle du conducteur psychopathe. Simple mais bougrement efficace.
Ce film m'a un peu déçu, en tout cas ce n'est pas ce à quoi je m'attendais...Il s'agit ici d'un psychopathe qui s'attaque sans raison à une femme (et à son enfant). D'entrée de jeu, le ton est donné, dans l'ultra-violence, avec des coups de pioche etc...En réalité, ici l'antagoniste est un psychopathe, si j'ai bien compris en raison de la prise d'un médicament qui le rend fou furieux. Il n'y a pas d'évolution psychologique du personnage, pas d'explication autre que médicamenteuse...Il fait plutôt penser aux tueurs que l'on voit par exemple dans Vendredi 13 ou dans Jason...à ceci près qu'ici on le voit beaucoup trop, qu'il parle beaucoup trop. Il n'y a pas non plus de connexion avec le propos qu'on aurait pu attendre de la scène d'introduction du film, qui semble dénoncer la montée de la violence dans la société: ici ce n'est pas vraiment possible car on a ici affaire à un psychopathe isolé, une sorte de loup solitaire rendu fou par des médicaments. Je retiens quand même une scène, dans le restaurant, qui est choquante non pas en raison de sa violence mais plutôt en raison de la passivité des autres clients.
Que de choses me traversent l’esprit pendant le visionnage de ce thriller. Les bonnes pour commencer… Russel Crowe est bon, son interprétation est parfaite même s’il parle un peu trop. Sa posture, son embonpoint, son regard, tout est juste. La mise en scène des poursuites est assez réaliste, pas de surenchère inutile, peu de cascades pour un rendu plus normal et anxiogène. Une jeune femme littéralement pourchassée par un détraqué, voilà qui fait penser à l'excellent "Duel" mais la comparaison s'arrête là. Le film de Spielberg est bien plus subtil et plus stressant. Un homme qui n'a plus rien à perdre, voilà qui nous rappelle l'excellent "Chute Libre" avec Michael Douglas mais ici encore la comparaison s'arrête là. Le film de Schumacher est bien mieux amené, la tension augmente à mesure que le personnage se "radicalise". "Enragé" nous montre dès les premières images un homme détruit et au bord de l'explosion. Justement, le choix des premières minutes est à la fois judicieux (le décor est planté) mais risqué (rien de ce qu'il fera par la suite ne pourrait être pire). De plus, l'absence des forces de police est navrant et ne colle pas à la réalité. L'homme semble se balader au volant de son pick-up sans être réellement recherché alors qu'il a été identifié. Les rares interventions policières sont molles et inutiles et spoiler: le meurtre commis dans un dinner se fait en toute impunité alors que le gars est encore une fois logiquement recherché . Pour toute ces raisons, il est difficile de garder son sérieux face à Enragé. Le mieux aurait peut-être été de ne pas trop en montrer et de laisser le spectateur dans le floue pour un meilleur ressenti final.
Remake Américain de l'excellent "Le tueur de l'autoroute" a forcément joué la carte de l'action, mais reste tout aussi intéressant à voir. Excellente prestation de Russel Crowe.
je ne comprends pas ceux qui ont la mauvaise critique. ils savent très bien de quoi il faut s' attendre. je ne vois pas pourquoi ils notent que c'est risible et que ça ne casse pas 3 pattes a un canard etc... leur critique fait pitié. la tension monte de plus en plus le suspense ma tordu l'estomac.... moi personnellement je me suis accroché à mon fauteuil j'étais vraiment impliqué dans ce cauchemar et j'attendais avec impatience le dénouement ..... à me retourner dans tous les sens dans mon fauteuil ! j'ai passé un excellent moment. à vous de tenter l'expérience....ou pas
Vous allez réfléchir a deux fois avant de klaxonner parce que la voiture de devant n'avance pas !! Le pire c'est que je pense que cela est possible dans la vraie vie. Russel Crow interprète ce psychopathe a merveille. De plus vous comprendrez également l'utilité d'un bon mot de passe pour protéger vos données et famille. Je ne peux que vous le conseillez
Film beaucoup plus amusant qu'effrayant. Russel, qui a pris de nombreux kilos, ressemble à un homme des cavernes lancé à plein régime. On dirait Obélix quand il fracasse une porte avec son petit doigt. Quant au scénario, il est également à hurler de rire : ce film devrait normalement s'arrêter au bout de 30 mn, lorsque l'Ogre de Los Angeles commence à tabasser l'avocat dans la salle de restaurant. A priori, tout le monde, à ce moment-là, devrait appeler la police, qui devrait rappliquer dans les cinq minutes qui suivent. Or la conversation s'éternise, laissant à Obélix le temps de massacrer l'avocat sous les yeux terrorisés de l'assistance. Et toujours pas de police. L'homme des cavernes quitte le restaurant à pas lents sans qu'aucun véhicule, toutes sirènes hurlantes, soit en vue ! Saisissant ! La police américaine est-elle aussi lente à intervenir ? Ensuite, évidemment, il est aisé d'allonger la sauce jusqu'au dénouement, dans lequel, encore une fois, la police n'a aucun rôle à jouer, puisque c'est l'héroïne qui vient à bout de Onkrh, l'abominable homme de Los Angeles. Tout cela est assez drôle au fond.