"Sans identité", film classique de noël ou encore comédie sentimentale et romantique de cette même période ? Je ne pourrais pas exactement cité le genre précis tellement les 3 n'en font qu'un. Nicolas Cage sort de ses très nombreux rôles de grosses productions ("Prédiction", "Ghost Rider", "Benjamin Gates"...) pour un rôles d'auteur, un rôle presque poser ou son corps se retrouve d'un instant à l'autre, totalement perdu. Une situation extrême pour lui, pour sa famille ne le reconnaissant plus d'un pouce, mais un jeu d'une perfection triple atomique ou son inconscient fini par se demander : "Ou suis-je ?", "Qu'est ce que je fais là ?", "Qui sont ces gens-là ?"... Une situation inédite ou il se remet en question mais tant que ça puisqu'il fini par quasiment craqué en faisant comprendre à sa "femme", qu'il n'à pas cette vie-là, qu'il n'à pas ce travail en réalité et ces enfants n'étaient guère les siens. Un film mélangeant habilement et de façon exceptionnelle, le drame social, le drame sentimental, le drame de noël donc, et le drame professionnel.
De nombreux drames qui le conduise à intervenir franchement à son vrai poste de "courtier" de Wall Street, se montrer radicalement face à un "boss" du haut-lieu New-Yorkais, des échanges franc ou il fait bien comprendre que même s'il on est pas du même milieu social ou hiérarchique, on est tous humain, qu'on à des loyers, factures, courses à faire, enfants à charge...
Un acteur démontant une performance délirante dans tous ses instants devant la caméra. Téa Léoni elle rayonne comme "femme de cet inconnu" qui ne comprend plus ou est sa réelle place au sein du cocon familiale.
Mais la scène du restaurant est d'une excellence possible, les instants dans leur chambre aussi ou d'un côté, Cage fait clairement semblant d'être le mari, mais ou "sa femme" s'y donne à grand cœur joie.
Un drame romantique, sentimental, social, festif, familial, certes loin de mes genres de prédilection, mais des fois, il en va de découvrir des films, des œuvres bien différentes de celles de notre... J'ai plus le therme, c'est pas grave. Donc voilà, un film parfait, un casting principal et secondaire parfait pour une œuvre parfaite.