"Shrek" est devenu pratiquement l'emblème des studio Dreamworks.Etendard de l'impertinence et des références en pagaille,l'ogre verdâtre et bougon est excellent à lui tout seul.Son mode de vie dans le marais donne lieu à des tas de moments marrants.Intégralement décliné en images de synthèse modelée,Shrek a surpris par son ton cynique,qui détourne allègrement les standards Disney(de la Belle au Bois Dormant à Pinocchio),et aligne les références visuelles(Matrix...).Cependant,la farce n'est pas poussée assez loin.En voulant préserver la chèvre(les parents)et le chou(les enfants),Shrek s'expose à une tiédeur qui ne lui rend pas justice.La morale est saine et sauve,et on reste en manque d'originalité.Inabouti scénaristiquement,Shrek a l'avantage de fédérer de par son humour nouveau,et son discours de tolérance et de beauté intérieure.Intéressant à une époque où la compétitivité et le look dominent la société.On passe un bon moment dans un univers de conte de fées chatoyant,ravivant nos souvenirs d'enfance.
Shrek est un chef d’œuvre d'humour et d'animation. On s'attache aux personnages qui sont tous excellents et le film est rempli de références à des contes, des films,...
Un excellent film, plein de reprises de contes ou de films célèbres se découvrent avec plaisir, Une histoire originale et très amusante. Seul petit point noir, la scène avec l'âne (qui dure 5-10 minutes) peut devenir insupportable .
"Shrek" est un bon film d'animation drôle et efficace (l'Ane est le meilleur personnage pour moi !) et la bande son est très bien. J'ai passé un bon moment. 14/20
Shrek n'est pas en soit un mauvais film, il a juste un sérieux problème de rythme. Plus de 90% des gags se trouvant dans sa première demi-heure, il s'en suit une dernière heure moins palpitante et souffrant parfois de baisse de régime. De plus, pour un film aussi ouvertement parodique de l'univers de Walt Disney, Shrek aligne les mêmes poncifs et les mêmes défauts, au rang desquels on pourra citer une morale de fin dégoulinante de bons sentiments.
Le studio Dreamworks se démarque ici de Disne en signant ici un conte sans auncune prétention et qui, sans régaler la verdeur des "fourmiz",nous livre des scènes cocasses, aussi parodiques. On en oubli pas ce fait les brèches du scénario.