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Votre avis sur I Care A Lot ?
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Un bon film qui installe son histoire sans ennui. Petite baisse de rythme avant la fin qui n'entache pas la qualité de l'ensemble.
En tant que thriller, on passe un bon moment télévisuel à voir s'affronter 2 méchants dans des situations assez peu vraisemblables il faut le reconnaître. Le cynisme sur l'exploitation des personnes âgées fait froid dans le dos (même si le manque de crédibilité des situations affaiblissent un peu le propos).
Un film de bonne tenue grâce à son scénario et à la terrible Rosamund Pike. On est ici à mi-chemin entre la dénonciation sociale (l'abus des maisons de retraite s'accaparant les biens de leurs clients), la comédie (par le second degré de beaucoup de scène) et le thriller. L'histoire est assez bien amenée, les personnages sont bien construits, la mise en scène est bonne. Curieusement le petit méchant a des faux airs de Brad Pitt, ce qui le rend encore plus décalé. Son avocat a droit à une ou deux scènes savoureuses. Pike démontre qu'elle sait tout faire, pourvu qu'on lui réclame d'être méchante. Et sa petite amie trouve sa juste place. En ne sortant que sur Netflix, le film assume en quelque sorte son statut de divertissement de soirée. Et la soirée fut assez réussie !
T-Tiff
"I Care a Lot" est un thriller de Netflix avec Rosamund Pike dans le rôle principal. L'actrice incarne une arnaqueuse plaçant des personnes âgées en maison de retraite afin de récupérer leur fortune. Le film commence plutôt bien, affirmant le cynisme de son personnage, sans aucune compassion. Puis progressivement, l'histoire tombe dans un affrontement entre celle-ci et le personnage de Peter Dinklage, qui n'est quant à lui pas franchement convaincant, alignant de plus en plus d'invraisemblances qui nous font un peu sortir de l'histoire. Si on apprécie la satire originelle, le scénario est clairement le point faible du film, entre longueurs et incohérences. On passe néanmoins un plutôt bon moment devant "I Care a Lot".
Un très bon film qui devrait cependant être classé dans la catégorie action, l'actrice plonge le spectateur d'entrée dans le film avec son côté mystérieux et strict
La morale est inversée par une société corrompue mais qui n'est pas déplaisant a regarder, ça change de ce que le public connait. Il y a de bons rebondissent avant la fin qui nous fit idolâtree l'actrice spoiler:
et puis elle est gay c'est sympas aussi de voir une femme qui détrôné le monde masculin spoiler:
Mais la fin est décevante dans les dernières minutes spoiler:
j'aurai voulu qu'elle reste envie spoiler:
La morale est inversée par une société corrompue mais qui n'est pas déplaisant a regarder, ça change de ce que le public connait. Il y a de bons rebondissent avant la fin qui nous fit idolâtree l'actrice spoiler:
et puis elle est gay c'est sympas aussi de voir une femme qui détrôné le monde masculin spoiler:
Mais la fin est décevante dans les dernières minutes spoiler:
j'aurai voulu qu'elle reste envie spoiler:
Au vu des extraits on pense à une comédie mais l'ensemble est plutôt dramatique. Le jeu d'acteur est plutôt bon dans l'ensemble. Le thème abordé est original. Ce n'est pas le film de l'année mais ce regarde sans problème.
J'ai bien aimé ce film! Un scénario qui change, où l'on adore détester Marla. Les personnages sont bien étudiés et charismatiques. Plein de rebondissements et imprévisible. Je le recommande!
selenie
Le film débute en mettant vite les pieds dans le plat : Maria Grayson est une femme "prête à tout" pour réussir, une ambitieuse aux dents longues et affûtées comme des rasoirs s'il le faut, comme une pelle de bulldozer si c'est nécessaire. Si impitoyable, si coeur de pierre, sans pitié, si froide, qu'on ne peut jamais s'attacher à elle. Ainsi, lorsqu'elle se retrouve à lutter contre la mafia, à se battre pour son bout de gras contre le parrain russe, on espère bien qu'ils vont faire payer cette femme qui n'a strictement rien pour elle. Ainsi elle est si impitoyable et froide qu'elle n'a jamais peur de la mafia, sorte de femme dénuée de sentiment et d'émotion, une dure à cuire en tailleur et talon aiguille en un plan elle fait passer ces mafieux pour des enfants de coeur. Par là même, on nous explique tout de même que ce clan mafieux a fait montre d'une redoutable efficacité depuis plus de 40 ans, mais ils sont assez couillons pour tenter un enlèvement en plein jour façon bourrin, assez stupides pour rouler avec une voiture en règle avec plaque et adresse !?! Dommage...
Site : Selenie
Site : Selenie
Film a l'humour particulièrement noir qui montre le revers de l'American Dream et des gens qui sont prêts a tout écraser sur leur passage. la deuxième moitié du film manque quelque peu de cohérence, mais il est difficile de ne pas apprécier ce délicieux jeu de chat et la souris ou tout est permis pour réussir. La morale est certes douteuse mais cela permet de mettre en avant un réel problème aux US.
En tout cas Rosamund Pike irradie tout le long du film et les seconds rôles sont particulièrement bien trouvés.
La réalisation est également soignée, la photo très propre également.
En tout cas Rosamund Pike irradie tout le long du film et les seconds rôles sont particulièrement bien trouvés.
La réalisation est également soignée, la photo très propre également.
Bon film. En cette période d'abstinence, c'est plutôt une bonne surprise. Le scénario tient la route et R.Pike excelle dans les rôles cyniques. Un petit faux raccord capillaire à la 17ème. Elle passe d'un brushing naturel à un lissage lors de son arrivée dans la maison de retraite.
Une action particulière
De loin notre monde semble jolie, coloré et chaleureux. On navigue dans celui-ci sans réellement remettre en question sa composition. On préfère vive sa vie et son bonheur plutôt que de plonger son regard dans l’abysse de la souffrance humaine. Car oui, sous cet apparence de société évolué et porté sur l’individu plus que jamais, émane une grande malveillance ayant des sommets jamais égaler dans l’histoire. C’est simplement une question d’apparence pour passer quelques choses d’horrible en quelques choses d’acceptable voir de bien. C’est terriblement simpliste à faire et malheureusement largement répandu. De ce fait, il est plus que nécessaire que de pointer du doigt dans ce qui ne vas pas dans notre système. C’est dans ce processus de pensée que vient le long-métrage d’aujourd’hui. J’ai nommé ‘’Une action particulière’’ qui sonne l’alarme sur l’exploitation des personnes âgées.
Une action particulière est le récit d’une femme Marla Grayson (Rosamund Pike) profondément pragmatique et qui ce serre du système en place pour exploiter les riches retraités. En terme simple, elle dépouille ces victimes pour s’enrichir, puis elle les enfermes dans des hospices et elle recommence s’en s’arrêter jamais. Du moins jusqu’au moment où sa dernière victime va l’amener dans un tourbillon d’ennuis sans précédent. Va-t-elle s’en sortir? Et bien c’est tout le propos du film!
Je vais le dire en entrée de jeu, ce long-métrage ma laisser dubitatif sur sa pertinence d’exister. D’un côté le concept est intéressant à observer et avoir le point de vue du méchant de l’histoire tout le long du récit apporte de bonne idées. On développe une sorte d’état contemplatif et haineux à la fois sur la protagoniste de l’histoire. Le personnage de Marla nuit autant qu’elle aide l’œuvre. Ce n’est pas une tâche facile d’aimer un personnage profondément odieux. Pour ça, il faut souligner la tentative d’effort, c’était louable. Pourtant, on s’attache plus à un mafieux russe violent et cruel qu’à une femme d’affaire ignoble en tout point. C’est toute l’ironie de cette œuvre à mon avis. Le message que veut faire passer ce film est clair, il n’y a pas de doutes là-dessus, mais son exécution laisse un peu à désirer. Son final est d’ailleurs symptomatique de ce qui nuit au récit. Il y a trop une emphase sur le malsain et trop peu sur le bon sens. Pour le cas de la relation entre Marla (Rosamund Pike) et Roman (Peter Dinklage) dans l’histoire. Ils offrent une dynamique haletante, tendu et déconcertante. C’est bien là une des grandes forces de ce long-métrage.
Bref, pour clarifier ce n’est pas un mauvais film, mais ce n’est pas excellent à moins qu’on prend l’œuvre pour ce qu’elle est, c'est-à-dire un cri d’alerte dans un monde qui se renferme de plus en plus sur lui-même. Je ne le recommande pas à tous, il est important de savoir dans quoi on s’embarque avant de le faire. Ceci est t’en dit, c’est une sacré expérience à vivre, c’est moi qui vous le dit.
De loin notre monde semble jolie, coloré et chaleureux. On navigue dans celui-ci sans réellement remettre en question sa composition. On préfère vive sa vie et son bonheur plutôt que de plonger son regard dans l’abysse de la souffrance humaine. Car oui, sous cet apparence de société évolué et porté sur l’individu plus que jamais, émane une grande malveillance ayant des sommets jamais égaler dans l’histoire. C’est simplement une question d’apparence pour passer quelques choses d’horrible en quelques choses d’acceptable voir de bien. C’est terriblement simpliste à faire et malheureusement largement répandu. De ce fait, il est plus que nécessaire que de pointer du doigt dans ce qui ne vas pas dans notre système. C’est dans ce processus de pensée que vient le long-métrage d’aujourd’hui. J’ai nommé ‘’Une action particulière’’ qui sonne l’alarme sur l’exploitation des personnes âgées.
Une action particulière est le récit d’une femme Marla Grayson (Rosamund Pike) profondément pragmatique et qui ce serre du système en place pour exploiter les riches retraités. En terme simple, elle dépouille ces victimes pour s’enrichir, puis elle les enfermes dans des hospices et elle recommence s’en s’arrêter jamais. Du moins jusqu’au moment où sa dernière victime va l’amener dans un tourbillon d’ennuis sans précédent. Va-t-elle s’en sortir? Et bien c’est tout le propos du film!
Je vais le dire en entrée de jeu, ce long-métrage ma laisser dubitatif sur sa pertinence d’exister. D’un côté le concept est intéressant à observer et avoir le point de vue du méchant de l’histoire tout le long du récit apporte de bonne idées. On développe une sorte d’état contemplatif et haineux à la fois sur la protagoniste de l’histoire. Le personnage de Marla nuit autant qu’elle aide l’œuvre. Ce n’est pas une tâche facile d’aimer un personnage profondément odieux. Pour ça, il faut souligner la tentative d’effort, c’était louable. Pourtant, on s’attache plus à un mafieux russe violent et cruel qu’à une femme d’affaire ignoble en tout point. C’est toute l’ironie de cette œuvre à mon avis. Le message que veut faire passer ce film est clair, il n’y a pas de doutes là-dessus, mais son exécution laisse un peu à désirer. Son final est d’ailleurs symptomatique de ce qui nuit au récit. Il y a trop une emphase sur le malsain et trop peu sur le bon sens. Pour le cas de la relation entre Marla (Rosamund Pike) et Roman (Peter Dinklage) dans l’histoire. Ils offrent une dynamique haletante, tendu et déconcertante. C’est bien là une des grandes forces de ce long-métrage.
Bref, pour clarifier ce n’est pas un mauvais film, mais ce n’est pas excellent à moins qu’on prend l’œuvre pour ce qu’elle est, c'est-à-dire un cri d’alerte dans un monde qui se renferme de plus en plus sur lui-même. Je ne le recommande pas à tous, il est important de savoir dans quoi on s’embarque avant de le faire. Ceci est t’en dit, c’est une sacré expérience à vivre, c’est moi qui vous le dit.
Pas mal. Scénario qui gagne en subtilité au cours du film.
J'adore les spectateurs qui jugent de comment la mafia russe est traitée dans le film. Ils la connaissent bien : par le cinéma américain :D :D :D
J'adore les spectateurs qui jugent de comment la mafia russe est traitée dans le film. Ils la connaissent bien : par le cinéma américain :D :D :D
Le personnage principal est particulièrement exécrable, détestable, mais en ce sens, il est réussi et très bien joué. On passe tout le film à espérer qu'il lui arrive malheur à la fin. Bon suspense.
Formidable pendant une demi heure, le film vire hélas à une sorte de fable politique anticapitaliste assez lourde.
Le tournant se situe dès l'instant où les superméchants s'avèrent aussi peu doués que Aldo Maccione dans ses films de gangsters.
La toute fin semble plaquée et artificielle.
Reste le jeu toujours impeccable de Rosamund, glaciale prédatrice homo qui fout les chocottes.
Le tournant se situe dès l'instant où les superméchants s'avèrent aussi peu doués que Aldo Maccione dans ses films de gangsters.
La toute fin semble plaquée et artificielle.
Reste le jeu toujours impeccable de Rosamund, glaciale prédatrice homo qui fout les chocottes.
Le film commence comme une comédie sociale cynique à souhait, et demeure captivant les 40 premières minutes, avant de virer au thriller à coup de situations invraisemblables et des personnages caricaturaux. C'est dommage car cela gâche quelque peu le propos. Il reste néanmoins sympathique avec une héroïne que l'on adore détester.
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