Avis : Oblivion - Page 6

Super! Rien a dire d'autre! A part que ce film detient l'une des meilleur Bande Musicale de science fiction de tous les temps!

J'ai bien aimée le film,mais clairement il y'a un vrais problème de rythme durant tout le film(mis a part le dernier quart d'heure du film),bon autant je veux bien passer ce problème la,mais même les répliques ne sont pas...super super,surtout que le jeu de Olga Kurylenko qui joue Julia,ne ma pas dit tout transporter dans le film.J'ai préférai bien plus le duo Cruise/Riseborough,vraiment bon(est d'une beauté en plus...la scéne de la piscine),bref dommage qu'il ne sont pas plus exploiter.

Qui plus ait le début du film commence par une voix off qui ma plus souler qu'autre sinon j'ai vraiment bien aimée le début,un Cruise très bon,des CGI vraiment bluffant,et c'est drones de ouf,il me faisait flipper a chaque fois,d’ailleurs je tiens a dire que les sons des drones sont vraiment excellent.

Mais ensuite bah comme je l'ai dit plus haut,ça se casse un peux la gueule,est l'ennuie est venu me frapper,pourtant bien que l'histoire soit intéressante,il y'a un vrais problème de narration...c'est con quand mê heureusement que le cast est la,les apparition de Morgan Freeman sont sympa,mais j'ai préférai le persos de Nikolaj Coster-Waldau(Games Of Thrones),bien Bas Ass.

Donc en résumer un film très sympa,surtout pour ceux qui sont en manque de sf c'est dernier temps,et le dernier quart d'heure du film est vraiment bon,doté d'une bonne réal et de CGI vraiment efficace(le mec gère de se coté la).Mais malheureusement le film ne devient jamais un grand film a cause d'un vide au niveau du film un peux partout d'ailleurs,et d'une narration vraiment paresseuse.

Un très bon film de science fiction qui ravira tous les fans du genre. A voir.

Tous simplement excellent , je me suis régaler pendant 2h.. Un Tom Cruise parfait dans une histoire parfaite ! Enfin bref a aller voir vraiment ! Bravo

Musiques, graphismes, pour un fan de SF ce film est top !

Je n'ai pas vu Tron, et j'en ai un peu rien à faire (ni le premier si sa suite). Mais bon je dois dire qu'Oblivion je ne le sentais pas. C'est le genre de film où je me dis : putain le projet est jouissif sur le papier mais pourquoi lui à la réalisation et pourquoi pas un vrai réalisateur ? (et tant qu'à faire un vrai scénariste) (enfin je dis ça et je n'ai jamais vu un film du mec et je ne sais pas qui est le scénariste, mais je m'en fous complètement).

Bon déjà le premier truc qui m'a frappé c'est les premières minutes, j'ai tout de suite revu mes attentes à la hausse. C'est super propre, c'est loin de déborder de numérique dégueulasse. Et puis il y a Tom Cruise. Alias le mec qui a pu me faire aimer un film de Tony Scott. Enfin... pas top gun, faut pas pousser non plus. Il y a des limites à la connerie.

Et je trouve durant une grande partie du film que c'est plutôt bon, disons que ça fonctionne plutôt bien. C'est agréable. Il y a quelque chose d'intrigant là derrière et ça donne envie.

Et je dois dire que je suis assez amateur du second rôle de Riseborough, avec son air à la fois bienveillant envers Cruise, autoritaire, amoureuse et assez ambigüe finalement.

Et puis viennent les rebondissements qui ne sont ni prévisibles ni originaux, disons qu'on s'y attend et que ça s'enchaîne plutôt bien.

Cependant je trouve que les petites scènes d'actions cassent le film. Il n'en avait pas besoin. Et finalement même si j'ai trouvé ça bien foutu, bien rythmé, pas déplaisant, c'est complètement vain. Je n'ai pas eu l'impression d'être pris pour un con malgré des facilités scénaristiques, c'est déjà ça. Mais putain c'est d'un vide abyssal. ça ne raconte rien.

Enfin si, ça raconte l'histoire de ce mec qui porte une casquette NY, qui répare des trucs avec du chewing-gum, qui aime le superbowl (je ne sais pas ce que c'est, mais c'est sans doute de la merde). Une façon de crier "America". Ridicule.

Vers la fin ça devient un peu culcul, j'ai préféré le début, plutôt froid et vide d'émotions.

Bon après c'est pas pour dire mais le réal d'Oblivion arrive à mieux filmer Olga Kurylenko que Malick et ceci sans la déshabiller. Au moins on n'a pas envie qu'elle meurt à chaque plan parce qu'elle lève les bras comme une demeurée.

On retrouve les deus ex machina habituels, bien pénibles.

Et des incohérences dont une assez débile
spoiler: Le coup de la boîte noire dans laquelle parlent Cruise et sa collègue qui reste avec eux alors que le vaisseau se détache et qui est retrouvée plus tard dans la partie du vaisseau qui s'est détachée. Sans parler d'Olga Kurylenko qui dit se souvenir du Tec alors qu'elle était en stase. Enfin bon.


Mais sinon c'est sympatoche. Avec une belle musique de merde. PPPPOMMMMMMPOMMMMMMMMMMMMMM TAAAAAAAAAAAAAMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMMM.

Ce n'est pas le réalisateur qui m'a donné envie de voir ce film parce que Tron l'héritage, il faut le dire, était l'exemple type de film qui ne vit qu''à travers ses effets spéciaux, mais les bandes annonces qui avaient l'air de dévoiler un film plutôt originale. Enfin, je me rends compte que c'est une belle escroquerie puisque Oblivion ne fait que copier les classiques de la science fiction ( La planète des singes, 2001,total recall...) et les un peu moins classiques ( The Island) mais le film, même si il procure un horrible sentiment de déjà vu, dévoile des idées relativement nouvelles pour que l'on s'y intéresse, mais ce n'est pas ce qui défini Oblivion comme un film moyen car en effet, il l'est. Ce qu'il le défini comme un film à moitié mauvais, c'est son rythme et je pense que le réalisateur n'a vraiment aucun sens du rythme ou en tout cas il a un sens qui m'échappe car Oblivion s'écoule sur une BO tonitruante et un peu pompeuse alors que la plupart des images du film reflètent tout le contraire, c'est à se demander par la même occasion si le réalisateur sait ce qu'il fait, ce qu'il veut raconter. En revanche, l'univers du film est assez original comme sorti des jeux vidéo Rage pour les chacals et Portal pour Jack Harper et on sent que le mec s'y connait en effets spéciaux, c'est propre et parfois assez beaux. Au final, c'est un film qui souffle le chaud et le froid, qui tente de s'approprier le modèle des classiques mais qui n'arrivent jamais à les atteindre. En tant que bon élève, Joseph Kosinski nous sert un film de science fiction assez maîtrise et poncé avec un certain talent mais malheureusement dénué d'une vraie vision de cinéma.

Oblivion, Horizon, quel que soit son nom, tout ça est fort laborieux. Joseph Kosinski n’ayant pas connu le succès escompté en donnant vie à la suite du célèbre geek projet des années 80, Tron, ce dernier tente sa chance au travers d’un projet nettement plus personnel, un récit de science-fiction écrit de sa main. De là débarque un film avant-gardiste relativement lourd, maladroit parfois, qui coure derrière quelques réussites majeurs telles qu’Inception, Looper ou encore Prometheus. Oui, si Oblivion se démarque, c’est bien de par sa tentative d’amener un scénario hyper travaillé sur grand écran, sans la réussite probante de Nolan, Scott ou Johnson. Pour être un aficionado de scénarios originaux, à l’heure de la ressasse perpétuelle, c’était avec un certain espoir d’un nouveau coup d’éclat que j’ai rejoint la salle la plus proche pour juger sur pièce d’un film de SF annoncé comme habile et habilement divertissent. C’était sans compter sur le fait que le cinéaste à la barre, plein d’idées, s’emmêlerait les pattes en cours de route.

Joseph Kosinski bénéficie d’emblée d’un appui majeur, la présence du médiatique Tom Cruise dans le costume de son premier rôle. L’acteur, apprécier ou non, aura certainement donné un coup de boost à la promotion d’un film, qui il est vrai attire de par l’esthétisme de sa bande-annonce, mais qui aurait aussi bien pu passer aussi inaperçu que le Moon de Duncan Jones, quand bien même ce dernier étant nettement meilleur. Comme mentionné plus haut, le brave réalisateur et scénariste du projet n’aura su assumer sa tâche et transcrivant ses écrits, ses illuminations, ses idées à l’écran, perdant un bon pourcentage du public en route, certains avant d’autres, à force de retournements, de révélations qui tuent dans l’œuf toutes les prétentions scénaristique du bonhomme. Dommage, dirons-nous, alors que certains beaux discours, de-ci de-là, quelques belles prises de vue, parviendraient presque à redonner envie de découvrir la suite de l’histoire, alors que l’on n’était à l’instant en cours de consulter sa montre.

Inégal, donc, dans tous les domaines. Au niveau du scénario d’abord, intéressant mais brouillon, captivant mais lassant. Cela vaut aussi pour la photographie, les effets visuels. Si l’on apprécie certaines séquences d’action, principalement lorsque les véhicules funs, drones et j’en passe sont de la partie, l’on n’est parfois consterné devant des passages bruyants sans intérêts qui démontrent que Tom Cruise était parfois bien embarrassé devant les grands fonds verts. Esthétiquement, si l’on apprécie tous les véhicules, les tours, les paysages, l’on n’est fort étonné de constater que la combinaison de notre héros, ses boots, son bien en deçà d’un bon nombre d’inspirations dans les décors. L’on notera aussi qu’hormis quelques belles réparties, les dialogues sont pompeux, techniques et saoulant, numéro par ci, drones par-là, le tout n’aidant pas à captiver le public.

Drôle de film que ce Oblivion, apparemment captivant mais finalement presque indigeste. Une star hollywoodienne qui se caractérise par un choix de rôle admirable s’enlise, des décors réjouissant qui se perdent dans la mélasse scénaristique pour ne plus captiver, des bonnes idées momentanées tuées la séquence suivante par un retournement étrange, une scène d’action peu spectaculaire ou encore des dialogues creux. L’on se demande souvent si l’on aime ou non, cela démontre l’incapacité du public type à s’immerger dans l’histoire que tente, je dis bien tenter, de nous raconter l’ami Kosinski, un mec qui aurait la carrure de devenir une pointure de la SF mais qui s’auto flagelle en voulant plus que ce qu’il est capable d’offrir. Oui, tous les jeunes cinéastes ne s’appellent pas Duncan Jones, cinéaste éminemment intelligent qui éblouit tout en restant les deux pieds sur terre. Etrange. 08/20

J'ai passe un très bon moment devant ce film . Les décors sont magnifiques , les effets spéciaux très bien réalisés , de bons acteurs .... J'aurais simplement aimé en savoir un peu plus sur le " méchant " mais bon ! À voir

bravo tom cruise en forme tres bon film musique super scenario bien ficeller moi jai kiffer jme suis pas emmerder pendant 2 h le realisateur signe une perfomance apres tron l'heritage je vous conseille d'aller le voir tres vite ses de la BOMBE

Alors OK, "Oblivion" ne brille pas par l'originalité de son propos (mais qui, à part "Cloud Atlas" l'a fait cette année ?) Il n'en reste pas moins une chose qui est pour moi loin d'être négligeable, c'est que ce Joseph Kosinski est quand même un sacré maître plasticien, qu'il s'agisse aussi bien de sa conception de l'image, du montage ou de l'habillage sonore. D'ailleurs, si le propos est basique, il a au moins le mérite de faire dans l'épuré et ainsi mieux laisser la vedette à tout ce qui lui permet de créer un univers. Chaque plan est truffé d'inventivité visuelle ; l'effet d’intrigue – même si il pompe beaucoup à "Moon" - a au moins le mérite d'être huilé et efficace (même s'il n'est parfois pas toujours cohérent avec lui-même) ; et enfin – the last but not the least – la B.O. de M83 est juste à tomber (après Daft Punk et M83, qui sera le prochain génie de l'électro Made In France à signer une B.O. de l'ami Joseph ? Kavinsky ? J'achète tout de suite !) Pour moi, elle est donc là, la force de cet "Oblivion" : elle est dans la création d'un univers de sensations, et non dans l'énumération d'un propos qui fait sens. Ceux qui sont esclaves du verbe s'en mordront les doigts, je le conçois... Mais... HEY ! C'est du cinéma non ? Alors qu'on ne crache pas sur ceux qui construisent leur monde autour de l'image et du son...

Un très bon film de S.F. Un très beau graphisme, une photo magnifique, très beau décor, un scénario bien construit et une durée généreuse. Réalisation de qualité. Quelques conciliabules à moitié chuchotés un peu parasites, mais heureusement en nombres limités ce qui fait décroché quelques secondes mais ne gâche pas le film. Quelques plans inspirés d' "Independence day", "La jetée" ou encore "Matrix" qui constituent des petites références cinématographiques plutôt sympas.

Un excellent film de SF, l'intrigue est bien ficelée,les effets spéciaux ainsi que la musique sont bluffants.
Bref un bon moment de cinéma.

Tonton Tom Cruise, sectaire à ses heures perdues, a une prédilection pour la science-fiction. Visiblement, il l'aime, en vie et s'amuse à étoffer sa légende, en nous proposant à chaque fois de nouveaux films tous un minimum originaux. En d'autres temps et en d'autres lieux, j'aurai bien cité tous ces films, mais bon, vu que beaucoup les connaissent, je trouve ça tout à fait inutile. La seule chose que tu dois savoir, c'est qu' "Edge of Tomorrow", sortit cet année, est surement la meilleure de ses oeuvres dans le genre, et si tu n'as pas lu ma critique sur ce petit bijou de SF, je t'invite à le faire, tu ne devrais pas être déçu. Et donc, Cruisy, il a tourné, l'année dernière, dans un truc du nom d' "Oblivion", sorte de film de science-fiction plutôt classique dans un monde post-apocalyptique. Enfin, dans son propre monde post-apocalyptique, parce qu'il ne ressemble à pas grand chose qui est sortit de près ou de loin sur nos écrans. Tu vois "Mad Max"? Tu vois "Resident Evil : Extinction" ( plagiat du film avec Gibson )? Ils avaient la particularité de placer leurs héros dans un monde désertique à l'air presque orangé, poussiéreux et sale, où tous devaient se débrouiller pour survivre entre les pillards et les charognards. Là, c'est complètement l'inverse. La Terre est carrément inhabitée, dépeuplée, vide, à l'excepté de tonton le brun et de Vika, sa compagne de mission ( son nom était trop pénible à déchiffrer ). La chose relativement originale? Les décors. Ils sont magnifiques, larges, profonds, splendides, s'étendent à perte de vue, faits de couleurs toutes plus belles les unes que les autres, souvent d'un vert éclatant. Car oui, le futur ravagé de "Terminator" est loin de nous, loin derrière nous. La question légitime, c'est pourquoi est-ce que John Connor n'est pas devenu le chef de la résistance? Et pourquoi est-ce que Skynet n'existe plus? La saga coûtait sans doute trop cher aux producteurs, qui ont surement décidé de la stopper après le septième épisode. Bref, complètement débile, cette parenthèse. Sauf que bien sur, si nos deux héros évoluaient comme ça dans ce monde plutôt paisible, ce ne serait pas marrant, et le film se finirait de suite ( à moins que ce ne soit "Titanic" sans l'Iceberg et le bateau ??? ). Détrompez-vous, ce n'est pas Cameron qui a fait ce film, alors pas de romance niaiseuse. Enfin, presque. Mais bon, le sujet n'est pas là. Et donc, dans cet espace ravagé par je ne sais trop quoi expliqué dans la scène d'intro ( au style oral que je n'aime pas du tout, d'ailleurs, mais c'est personnel ), il y a quelque chose qui évolue, une sorte de bête tapie dans le noir. Non, plusieurs bêtes tapies tapies dans le noir, des dizaines même. Et c'est pour ça que nos deux compères sont là, pour faire un peu les "Watchmen" s'ils sont attaqués, et surtout réparer les drones défaillants. A première, tu te dis qu'il n'y a rien de bien fantasmagorique dans l'histoire, et franchement, laisse moi te dire que t'as raison. On va tourner autour du pot, il y a trop peu d'originalité pour un film de SF, dans ce début. Heureusement, pas dans le reste. Parce que c'est là, quand la vie "paisible" de ces deux tourterelles va se voir chamboulée, que viendra l'intérêt principal du tout, des twists comme s'ils en pleuvaient et qui te retournent plus qu'un manège à Disney Land. Imprévu et impensable sont alors maîtres mots, et toi, tu n'es que leur sujet. En gros, tu vis selon les nouvelles qu'ils t'apportent. Oui, je sais, c'est triste. Et moi qui croyais que l'esclavage était aboli. Oui, je sais, je vais trop loin, et non, je ne suis pas déchiré, je m'amuse juste. On s'amuse comme on peut. Ouais, et donc, à partir de ce changement de direction de l'intrigue, viendra une drôle de morale, que tous n'apprécieront pas. En gros, l'amour, il peut-être reproduit sans arrêt? Et est-ce qu'on aime une personne pour son physique ou pour son intellect? Bon, la dernière est beaucoup plus commune dans la vie de tous les jours, mais la première, faut quand même dire qu'il fallait la trouver. Et là, jviens de capter un truc. Depuis tout à l'heure, j'appelle Tom Cruise par de drôles de surnoms, sans même parler de son jeu d'acteur et de celui des autres. Mais avant ça, je tiens à faire une remarque : est-ce que les noms des personnages sont choisis au hasard? Le héros s'appelle Jack Harper, nom et prénom très communs dans les films ricains, ressemblant grandement à "Jack Reacher", avec Cruise; sa copine Vika, version futuriste de Vita; Morgan Freeman en Malcom Beech, le Malcolm surfer, et enfin la trop absente Melissa Leo en Sally. Mais bon, c'est un détail. Tous jouent bien, globalement, et Tom Cruise, comme à son habitude, est celui qui ressort le plus. Enfin, presque. Il y a un autre gars, un nouveau dans le cinéma américain, un ancien d'une série que tout le monde adore, Nikolaj Coster-Waldau. Bon, là, je suis sûr qu'il ne vous dit rien, dit comme ça, mais si je l'appelle "Jamie Lannister", ça vous dit quelque chose? Voila. Donc, ce gars, il est vraiment excellent, et je dois bien avouer que c'est assez surprenant de ne pas plus le voir dans d'autres grosses productions américaines. Non parce qu'il faut avoir les yeux en face des trous, ce mec, il a une sacré gueule, une vraie quoi, qui pourrait le faire passer dans nombre de rôles de guerriers ou de soldats. Mais bon, peut-être que tout ça changera avec le temps. Concrètement, si "Oblivion" parvient à briller, c'est plus pour son esthétique globale que pour son scénar, quand même plutôt bon. On peut ne pas aimer, mais force est de constater que Joseph Kosinski a un talent de dingue! Le mec te filme les décors et l'action et avec une maîtrise et une propreté dans l'image tellement rares! Il n'abuse pas de la caméra à l'épaule, et préfère se contenter de tout montrer avec lisibilité, offrant clairement une atmosphère unique à son oeuvre, atmosphère particulièrement appuyée par la bande son impeccable et collant parfaitement avec le tout. Même les effets spéciaux sont parfaits, et livrent un réalisme et une netteté des plus rares. Vraiment, de ce point de vue là, c'est le top du top. Visuellement monstrueux, avec des décors de dingue et des effets numériques soignés et étrangement réalistes, "Oblivion" est un bon film de science-fiction, fait pour les fans de Tom Cruise comme pour ceux, peut-être plus ou moins nombreux du genre, mais également pour le spectateur moyen, qui y trouvera quand même son lot de consolation. Un très bon divertissement.

Dans Oblivion , Jack Harper (Tom Cruise) fait partie d'une équipe de deux personnes chargée de protéger les ressources restantes de la Terre après une invasion extraterrestre cataclysmique . Avec son partenaire Victoria (Andrea Riseborough), Jack supervise et gère une armada mortelle de drones de defense - chargés de proteger les ressources contre les attaques hostiles .

Le duo est soutenu par le commandant de la mission Sally (Melisso Leo) qui vit à bord du Tet - une station spatiale orbitale et la base des opérations de récolte. Dans deux semaines, les cueilleurs ont recueilli suffisamment de matières premières de la Terre pour assurer la survie à long terme de l'humanité sur Titan.

Toutefois, lors de la réparation d'un Drone , Jack commence à se poser des questions dangereuses sur sa mission.

Oblivion propose de raconter une histoire contemplative - qui ne peut pas être simplement passé sous silence avec des moments d'action mémorables. C'est un équilibre intimidant et difficile à trouver - surtout dans un projet si personnel.
Heureusement, avec l'aide des scénaristes , Oblivion raconte aussi une histoire captivante - avec des rebondissements intéressants et des moments divertissants d' humour et de légèreté. les fans de science-fiction seront en mesure d'anticiper une partie de l histoire, mais même dans les cas où les cinéphiles avertis devinent correctement, elle détourne rarement de la récompense émotionnelle prévue.

En fait, Oblivion priorise l' histoire du personnage central dans presque tous les autres éléments de la production - ce qui signifie que certains spectateurs qui s'attendaient à une histoire de guerre post-apocalyptique à haut indice d'octane pouuron,t être deçus par l'action limitée. Le film comprend tout de meme quelques scènes de combat passionnantes - chacun avec des effets visuels impresionnants - mais par rapport à l'histoire des personnages et dans l'ensemble la construction du monde, des moments d'action à grande échelle sont en nombre insuffisant. Au lieu de cela, Oblivion dévoile une histoire de mystère de science-fiction aux multiples facettes -

Oblivion n'est pas la plus excitante expérience de science-fiction , a mon gout le film aurait gagné en intensité si certains secteurs auraient été develloppé (qu y a t il sur le TET ? ,a quoi sert toutes ses ressources ? Le clonage? son sacrificeetc )enfin il me reste encore beaucoup d interrogations puis avec un fin si decevante je ne peux ne donner qu un 3/5